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4“. Le conepatl ou vulpecula puerilis: de Hemandès ( Mexic,, 33s ) , qui n’a
que deux raies: blanches se.prolongeant sur la queue.
5°. Le mapurito de Matis ( lettre à Alstroemer dans les Méra. de Stockholm,
pour 1769, p. 68, etap. Humboldtj obs. zool., I , p. 35i ) , qui n’a qu’une raie
et le bout. de. la queue blanc.
.•u6%Jte, sjSjtpA de Quito de M. Humboldt, obs. zool.., X, p. 346 qui autan
raies blanche^ et la queue, mêlée, de noir et de blanc.
7°. La moufette du Chili de Bujffbn ( supp. VII, pl. LV I I ) , qui a deux rades
et laquelle toute entière blanche. .
,,,8°.; Le chinche du mêipe(Hist., XIII, pl. XXXIX ) , dont le dessus est.blapc',
avec une ligne noire sur la croupe, et une queue touffue et blanche, t
9”. La prétendue moufette du Bengale de Cation (Sliaw, vol. I , part. I I ,
P'- 94 ),v avec des taches blanches à la tête , quatre raies blanches sur le dos, et
une queue très-touffue , blanche et nuageuse . , ;
ro°. Le chinche de Feuiilée{ Obs,,phys,,,.I,-27.2),..que Gmelin confond à
tort avec le grison , marqué de deux, raies blanches qui s’écartent et finissent sur
les côtés., à queue comme celle du renard.
it °. Le Chinga de Molina, noir avec une bande de taches blanches et rondes
le, long du dos; la queue comme à un écureuil.
12°. Leyagouare de fjiz p a r a f IJarag, trad. f r . , p.\ 211),, marqué de deux
raies blançhés qui vont jusqu’à la queue.
i 3\ Lé polecat ou skunk, ou fiskatle de Kalm ( trad. allem., I I , MÆ , quia
cinq raies blanches,
i 4°. Le zorille de Gemelli Carreri, indiqué seulement comme blanc et noir.
i 5°. Le mapurito de Gumilla{ Orénoq., I I I , 240 ) 1 tout tacheté, de blanc et
de noir avec une belle queue.
.ijyV La bête puajite de Lepage Dupratef Louis., 11,097;), dont suivant son
texte le mâle est noir et la femelle bardeiée de blanc,,maisquesa figure représente
rayée en travers de blanc et de noir.
13?. Voriohula de Femandèsfp, 6 , c. i6 ) j noir et blanc, avec du fauve
sur quelques.parties.
18“. Enfin 10 tamaxtlu du même, sans fauve , avec quelques anneaux noirs
et blancs à la queue..,
Jé le demande, quel scroitaujourdhui le naturaliste assez, hardi pourfaireun
choix dans pes dix-huit indicatipps,ypuur, déterminer celjes qui doivent rentreras
unes dansles autreg0 pour décider énfin combien,dr’espèces véritables, ont servi de
fondement réel à des descriptions si variées ?
Il y, a plus > no.uérivuf ons par, dçs témoignages, positifs que dans .le même. pays
lesdjverSjjndjyidussqnt diverse ment colorés.,i, j
« Tous ceux que j’ai vus, dit Catesby, 11, 6 a . étoient noirs et blancs y
u quoiqu'ils .ne ifqgsep.tjp^uiarqu^stie la même, manière,
DK Pt: TDIS. ( f l
Le putois fydmériqu'efpoleêhtibu siïuttksfydkvbàm*sbn ( Càrbl?} iitj)>
» est plus épais que celui d’Europesëtdé plusieurs Cèuleülè ,"-‘êàiis qü’un’indivîdu
».ressemble-à fautif. w1 ?r
iis:« Dans la multitude dé peaui que nous vendentleslndiens, dit F ‘Az£âra, T ,
».216, on remarque qu’avec’ le temps elles perdéttir îèur cbuledr’ ,noiî%clqtii ®
»ehange-en châtain brunes ét inêmè'blttndhâîtbs dans
» la partie de l’épine ; quelqU'eS-arireê mâHIdèht hB^èbtm’eilt 'dé'dbïf^'Mahôli®
•0 Iby-.en a'qui'Ies ènt â panelSndiquëêsiéh’pét} éèhsibïëk # r WWI® ;r Jt dans
» d’autres elles s’étendent plus ou moins ou pêifft’ du totirlsuî!ïfô ëè'?difd‘è Jf
» jquehe./Quëlquehipë^ohii&nfdnt'ïssdHlPavoir'Vu d*és 'îhdi^idiPs^eu'tiéreineiit
» blancs. » .9.
-Kahn,; pI4i*2'j ditMtü^i qttdl’od efe v8h ;qtfèldu'éfors')îo’16nt blân6s!JiC'
c;-Ainsi Kérioantôft’pUnmultîflRr'énèord’Betrfcoii^lèédycViptionV dé'^moufettes'1*
si l’on avoit eu les diverses peaux qbb!fiSli^iihê'iïd‘W. d’Àÿzfy■ a. ' n
Voàerinairstèïfsht cèP^ue j^i obsirvé^iu'm^MnèiîiK“ 1’
J’aiivuvivànt nnaSimàl tddt
lequel ne répandoit point à beaucoup prèsime1 o'd'eff:•7 aüssï;tè'rnblè qir’on là rèpre-'
senLeôcommUnémént. Menace- pSrmn chien, sa 'colère où’ sà crainte se hornoil à.
relever sa queue en l’étalant comme un pànache. Appaiemmënt cjud etoif dans le
cas de ceux donPparîê XAzzara, qui"; apphvoisësdîi b*onne heuf:^,%eÿrepaiiâen t
point leur méphitisme. Mon frère l’a rcprésUrrié dansébif Histoire dÜ la jNIeqagenëi1
Cefcanimal est -plnsUgrés ,$JùkrimSW'-mrVW putois ; i'I’esPén grande parLie 'plantigrade
; son pelage est noir. Une ligne blanche commence sur la base ciu nez \ s’e-'
largit pardegrés; amvéüirl’oéèipnt élIe'Ü’élargit fà e i pour couvrir' tout lé dessus
du .ooüCeli.duagaTirott«Vers lè%oimneneéînènV diV dos' ,ôlle-se''biiMrqù,è %‘f forme
alors deux bandes qui vont en s’élargissant et en s'écartant , dé' iriÀilïefe â^cél?yrir
les .cotés de la croupe -, mais le derrière est noir. Erttre'Vê's’ dbVx bâtides'en‘kst une
noire-sur le dos,et sur lés lombes, qûi éc prolonge en'bè’perdant comme par images '
sur la queue ; laquelle est garnie de tr is-longs^ilé'la'pftpirt îifaiPiîÛfe f e ® 1
côté du coucderrière-Threiflé est-uné* petite- lignèdblànche “ f a uni bahde
blanche au coté externe des quatre jambes ; l’oreille eUe-mêmeL" est téutc tièîrè’. '
La tetede cet individu a deux p'otfcés èl demi îé lcoi'j>s fietTf 'à dix pèiicé^ ; mais '
étendu il auroit pu en avoir douze ; la queue dix pouces à un ÿiê’d',’ i'n6cdm®anl
les.poils du bout. Sa hautoiir au garrot est d'e; cinq poncés/-”’
Le chiuehecreprtéseqté ’par- Büffoa ételt- éSSicteniènt sémblàbidl,c'Sài-iif,f> maïs:
on- en avoitelrop-bourréde v-entrey W-la têt# privé#’ dé 'ëèé os''ëtoit;rêstdè[b;op ;
petite et trop pointue.
Les peaux ah lieu
de noires, comme dAzzara le dit d e '
distribué, comme à mon individu.«. Iï
La moufette du Chili rapportées par 'DoMhy èf ifè^Wsf-’diëë^a^u'ffon ^'Suppi.