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D E E A G R È C E .
PLANCHE CVIIl .
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I x T)idbendar-Aga.
C’e ^ l’OlIicior cliargc fi’aiq.riUer lo UiiRai, clc Sa llaulcsse, c’cst-à-
Rrc dan-aagcr la mousseline (diilbemi) aulour du cama ou Ijouuel.
(,ot on in cr aecompaguc loujours le Sultan dans lo.s grandes cérémonies.
II porte toujours à sa maiu les altribuls dc sa charge, c’est-à-dirc
un turban. ’
PLANCHE CIX.
14 hch og lan -A g a .
L e s Itchoÿlans, ou pages dc Sa Hanlcsse, sont élevés, couformémcut
a leur dcslinalion, dans les sérails tle Constantinople ct d’AndrinoriIe
où ds entrent fort jeunes. Cc sont des cnfans dc Chrétiens, enlevés dès le
bas âge, ct que l’on conduit à Coustaiitiuople, où on leur fait cban"cr
de religion. Ils onl des maîtres jionr le lurc, farabe et le persan, soldes
langues que les Turcs étudient; ou leur apprend à manier un clievil
a lancer tics javelots el ties ilècbes, et à remplir toutes les fonction!
CJUI licimcnt a la pcrsoime du Prince. Leur nombre est considérable-
c’cst la véritable Noblesse tlu jiays, cl la plupart s’élèvent aux cb'arge!
pniicipalcs tle FELat. °
p l a n c h e s c x e t c x i
L e S o la k -H a ch i, el le S o la k -P é ik .
L a garde parliculière de la personne dn Princc est confiée à un
tmips dc .j ou 5oo hommes, pris parmi les janissaires, ct qu’ou api,elle
S o la h , coniinamlés par tics capilaines appelés .Vo/oA--/R,c/„-v
^ Sous le nom tle P è ik s , on tiesigne un grand nombre de valets du
scrail, dont le mérite consiste tlans leur grande légèreté à la course-
ils mai-ebent dcvanl le Grand - Seigneur ; ils font aussi partie de son
coiTcgc.
PLANCHE CAIL
L e B a ïta dji.
L a gravure i-ejn-éseiilc le costume tlu Balladji dans rorigino - elle
manque à-i„-ése„l de vérité. Les ISidtadjis étoient origiuaii'-ement uu
corps qui, lors tics excursions des Sultans, les act-ompagnoienl au
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