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sur le cadre du tableau A IO M H A O T 2 A P I 2 T E I A , le courage de Diomède.
Ou voit sur celte bande Pallas excitant Diomède contre Venus, cjui
enlève Enèe. Cc cher semble menacer la Déesse, qu’il blesse bicnlôt
à la main. IMus loin est un guerrier grec prêt à tuer un Troycn tombé à
lcrre ct cjii'il saisit ¡»ar derrière; c’est peul-êtrc Mérion, ¡»longeant son
épée dans les flancs de Phéréclus (¡ui l'iiyoïl.
Le tableau central ofirc une ¡»arlie des murs de la ville de Troie avec
scs tours. Sans doute ce lal>leau représculoit, ainsi (jue celui du Ca-
¡»itüle, les derniers momens de la ville de Troie, car les monumcns y
sont disposés de la nu'mc manière. Sur une terrasse, ou voit une
femme tombée sur ses genoux et tenant un enfant daus ses bras :
seroit-cc Andromatjuc clierehanl à sauver sou fils Astyanax? Près d’elle
csl un guerrier dont la lctc et les bras manquent, mais qui par son attitude
scmbh' combattre. Plus bas, sur le mur d’un temple, on lil le mot
A IN E I A 2 , E n é e , ct la fracture du moiiiimenl laisse encore voir une lèlc
VOYAGE PITTORESQUE
DE
LA GRÈCE,