
T
I k r ii
.¿-'r- > Itei
l'M i
. f*
01 NEOI
APXIEPEA KAI A r i î N O e E r i l N
TOT KOINOV MAKEAONl iN
APXIEPEA AE KAI ArSiNO©EIUiN
KAI T H i AM<MI IOAEr r i>N ¡ lOAESi i
l lPi îTON AE A r n X O 0 E ï l i N TUY
AlPPAl f lN nOAEÎ ) 2 ai j : EK Ï ÜX
lAl üN rVMNAXIAPXON
TI KAATAION AlOTENOVi YION
KYPINA AIOTENH APETI I2 ENEKExV
E n iM EA H 0E NT O 2 KA2Ai \AP0Y
TOY KA2ANAP0Y.
« Les jeunes gens , à la vertu do Tiberius Claudius Diogènc iils dc
.) Diogènc , dc la tribu Quirina, qui a etc pontife et agonollictc dc la
» communauté des Macédoniens , ct dc la ville d’Aznphipolis, ct premier
» agoiiothètc do la ville des Sirrhèens. Il a etc deux fois gyninasiarquc à
» scs propres frais. Cassandrc üls dc Cassandrc a etc charge dc I’cxccu-
» don de ce monument. »
L ’agonolhcte, ainsi que son nom l’indique, étoit chargé de la disposition
ct do la police des jeux : les jeunes gens avoient décerné à celui
ci ce témoignage de leur rcconnoissancc.
La ville de Scrrhès est aujourd’hui l’entrepôt d’un commerce très-
considérable cn colons et en tabacs. La fertile plaine qui les produit
s’étend depuis le lac d’Amphipolis, jusqu’à la ville dc Mélénick : clic
a plus de quinze lieues de longueur sur trois à quatre de largeur ; elle
csl arrosée par le Slrvmon sorti du mont Scomius, l’une des cimes dc
la chaîne qui sc termine au monl Pangée.
Celte belle vallée n’csl qu’une partie des riches possessions du Bcy dc
Scrrhès, qui gouverne toute la contrée avec un pouvoir absolu, cl travaille
sans relâche à s’agrandir encore. Né daus une famille distinguée,
Ismacl-Bcy fut d’abord viclimc do son amljilion, et forcé par ses rivaux
de s’expatrier; mais depuis vingt ans, il n’on coimoîl plus dans la province
où ii est rentré avec des troupes Albanoiscs, dont le (.IcvoucmciU
assure son autorité. Il a mieux fait, au reste, que dc vaincre; il a su con-
quénv l’opiuion , riàablir l’ordre ct la confiance , et faire recevoir comme
des bicufails les moyens les plus surs pour lui d’assurer son pouvoir
S “ - “ ' - - - '1 “
aux ordres du graud-sciguou,-, ma,s avec ,es fbemcs rem
<iuc leur co,n,„a„delareligiou : ,,s p..e„„o,u, souvc.u
Munc o,, (es gucrcs c,v,lcs pou,- dc simples l,-acassc,-ics dc cour- cl
le.s a,-mes a la mam, ,1s proleslcnl de Ici,,- adclUé- ,-V -,
p l - ror.m,IIe d’expvime,- qu’ils sont .uéecueus du’ .„ „ „ s ,è r e " , # 7 ,)'
P»re,.l d „ „ e prov,„ce, eomme moyen dc fai.-e parveul,- la vé,-ite au!
p,cds du tronc, ct toujours sous pretoxle d’y réfomter les abus Le „‘ou
reau gouvc-ueur, s’il est un peu couscicucieux civoic au tré ' '
les t.-,buts d’usage; le g.-a„d-visir se résigne alors facilement 7 7 ! #
ner ces promoUons i'orcées ; et sa pol.tiqne, tou,o.u-s bornée aux i- ,,!-# :
ornent, lu, fa,t même voir sans peine de g,-ands vassaux,
blcs s,Iselo,outd’accord, s’attaquer ot s’épuiser m,uuelie,,,e,.t L ’cmpi;.!
E f us dcspot.quou’estauj„„r(fht,„ dans la .-éabté, q.,’„ „ ,-un lé d i 7
endesorc re, et dont l’anarclne n’est encore eoutcue que par l’u t,!
ceudaut d t„ .e ,y-u,e croyauee, et j,ar une longue haLtude de ,- -s 7 ; ;
pou, uuc race .llusl.-c , le jour o,', pérlroit le deruier des p,-|„ees C
ottms, sermt probablement une de ces epo.jues léeondes p 7 r ^ f
desastreitses j,our des générations eut,ères. Comble,, de desli,, , ’
poreut sur cotte téte , unique rejeton des Amurath, ot des Solv,,,“ , " '
Ccst uuc opunou géuéralemeut accréibtée paruti les Tu,-cs‘ !,u’',
^cEmt des deseculaus d’Oth.uau, le pottvoir su,„-é,„e doit j.assi-:-,’. cet !
¿ Z ' T ’ " ans sur les Ta.:
, et que uous aious vu surcombe,- eu ,« 8 3 sous la f ,
g.Eio de Catlu-riuo U; ,„als lo ,.-ô„e de la è .àu ’ée l i t ,
=« cclu, de Coustau.iuoj.le, uu degré qui „ ’existe Jtbts.’ pom-)!’# ; ; ; :
M
1-4
s
iL é i 'd ■
/ ri::’!-!
7 :
i? ai è ^
Mi
: U W