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N" 3 i. Tclc de Wei-eurc, com-crlc d'im chapeau dc forme bizarre;
au revers, uucadiicioe et uu foudre.
N 3 a. lc tc dc Jupiter; au revers, la ligure do Mercure avec le mot
A IN taN .
N° 33 . D’un côté, la tète dc Mercure; dc l’autre, uu Esculape.
N S j. Jetc dc JJcrcurc vtic dc iàcc; au revers, un jircssoir.
3 a. Tèlc de Alercurc; au revers, une clièvrc ct uu llambcau.
N 3ü. l’ ctilemèdaillc Irès-aiiciciiiic; les lettres initiales y sont jiiacces
en lîouslropbcdoii .auprès du caducée.
De CvFSELA. N° 37. Médaille inédite dc Cvpsela, ville dc la Thracc,
l>cu éloignée d’.-Euos, et sur IJlèbre : celte médaille présente d’un côté
une lèlc dc femme; au revers , uu vase avec les syllabes KTiE.
.In s c r i p t i o n s . ^
Si les médailles sont des monumcns précieux, également utiles à
fliisloire cl à la géographie, 0,1 doit allacbcr jilus de prix encore à
ces mariircs auxquels les anciens confièrent leurs lois, leurs décrets,
et les bomiiiages rendus aux citoyens bienlàilcurs dc la patrie. Tes
inscriptions nous reportent aux époques qi,’elles furent cli.aigécs dc
transmettre a la postérité; ct nous éprouvons quelque satisfaction, en
voyant que l’attente des anciens n’a pas toujours élé irunipéc : les coii-
seri-er, c’est acquitter une obligation qu’ils léguèrent aux générations
appelées à jouir du fruit dc leurs travaux; c’csl payer ,111c dette do la
riche succession que notis ont laissée ces siècles dc gloire, tpii nous
ollnroul a jamais tics modèles. Et qui pourroit sans une vive émotion
retrouver ces mots .sul,limes, qui sur ics Thermopyles rappeloicnl au
loyagcur les trois cents liéros morts pour la patrie? qui iiroit saus un
profond intérêt, sur un cippe fiinèlirc le nom dc Miltiade, ou sur une
coJoiiiic, les décrets oiitcims [lar l’éloquence de'Déniostlièncs ?
Ce fut une belle victoire remjiorléc sur le temps, que la découverte
des mari,res de Paros, moiiumciit unique <|ui fixe pour toujours les
grandes éjioques rie l’iiisloirc des (Jrccs jus,|u’au règne d’Alexandre.
Si toutes les iirseriptioiis qui nous onl élé conservées, nc réveillent
l>as de tels souvenirs, et ne r<>Mniis.senl pas d’aussi importantes uotioiis.
elles offrcul jircsque toutes des détails instructifs sur la liirnic rlu goiiver»
d e l a G R È C E . jg
ne,lient, sur la religion, les moeurs ot les eoniioissaiiees des aiieieil !
flreu ifon et do sagacité; toutes ont donc des droits à notre ) rm ^
et lies memos qn, ne paroîtroient pas an premier aspect dignes T e’
imbliees, peuvent un jour aider à en expliquer dc j.lus préeienscs.
I n s c r i p t i o n c o p i é e a S e r i u i è s .
i . i i .
,y ,to lis c’est i que Paul Emile reçut la première lettre, p !
un gonvernemeiit, dont l’ambition insatiable et lonjours eale ilée i ’!
mettoit 11, pitoe, n, justiec : le successeur d'Uexandrc ne mit , 1
M o - , p - e qu’i, osoit, après sa delèite, eoiiservor eiiLre L ffl!:
Roi, et ce fut vamemciit qu’d couse,lüt ensuite à s’eu dépouiller lui
meme dans I espoir d’etre écouté. Nous avons raiipelé, à farm.le
itamotlirace, la fin tragique de ec monarque q.u, ilaeé à la t ’! !
natioi, beiliqucuse, j.ouvoit dn moins lutter quelque temps eouti.r’!!
puissance romame, et périr avec o-]N„.n '»'uc ia
.’ostc .seule au courage. ^ ‘■'‘'l— nt
l’Aieanc de ly-sauce uous api,re„d qn’il éloit parlé do la ville de Ser
rWs dans le X V livre de flustoire de Tliéopompe, q,„ „0 „eus a p o iij
conservée : d ,a nommoit SJr/mq Tite-Live écrit .Smipi ^
( 0 - Tx.-IAv. I.il,, Xl.V, C.'tp. 4, *
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