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E lk s font fort étroitement ®ardéesr&:
£eï^éès j les un àsdans leur fer v ice^ &: les ài]^
très damsïeur-apparseaaae&tLes Sultânes n’em
fojetent jamais-que,-fous|la* conduite d e . ces.»
Eunnquë^iencô-re-CelaaEri're-i>ili.£ürt, rarer
inent j èc non fans uiiepetmiflien exprei&v^
qui me ^’açeorde. qu’a un petit-nombre; à/lab^
fois. Quand elles ont obtenu ce congés elles
• font environnées; de- ces Moirs Inipudf-
faiit sv Les Boft an gis., ou au tre s Officiers qui
les rencontrent par hazard en leur chemin ,,
font obiigez*de ie tken aüfli-tôt à l ’é c a r t,
d& f c tourner -le. y ifagq vers la terre/,
qu'on
rjeupde çe Palais aux Mo-? !
nafteres où le filence eitle |
ffiieux' obfefvé.“ Tel efl le q
'oefp'èâ qüé tout le hïonde a
pour le Maître dç çe;lieu>4er. t
vant qui les premiers Officiers
q ’ôfent leyer les yeux;,
Un Auteur Turc , traduit,
par M* de la Croix, va encore
plus loincomparant l’intérieur du Serrai! à TE-
çole-dë Pytagofe où l’on
gardait tiffiïi^lcMftg filéheë,
puifque céluiijm- s*f obfer-
ve efi fi régulier >• que l ’on
n’ofe prëfque y parler que
par lignes & à cèllë de Lâ-
Cedemone où; l’on ccièi-
gnpit ra iilie rî^ la frqga--
f litë", la tempérance , la met
j deltidi & la ëeritâolë mâë
niere. de foùm iffion .p a r /
. une obéïlï^iceav^qglq que •
bâtons ces^prifonriiers ;
honorables >. què laddetfi--
té. des tempéraments, aulfi-i
|
oppoféé que ©elle des cli- •
mats d’où iis fortent, n’ém-
pêché pas de:fuivre 8e de:
garder k même ordre fans -
murmurer ni le quereller , .
- 8t, de faire .-Un Hoviciat lü
; idîïg Sc fi rude i avec 'une
; union 'qui ne fë trouve que
. dans ce Palais».
y E ï t? ô l
^qu on ine puiife pas direqqanduntliomnié ait
^m a is regarde- la; moindre des Sultanes du
C ran d S&rrail j- pendant* qmklle.y a demeu-
me.r Oe p r iv i lé ^ m’ appartient qu’au
S e ign eu r , qm. n’en £adt(p*j#dpejrfgrrne^ 3 -
sn oft-que quandil v en& fairei’kotaneûr à;qqel-
sqnë' B aCa ,,r ou à béf que autre qn iïu i ajcdndu
d ’impoïtants k rm c e s d a l ;peèrpqt[ qn/oni tihe
mu iSéàrrail uneIides? Snltâ|ï©s ddrit iLjqéï t
ipîiasi, &c qumÉjlâiÉùi^donneien Mariage. >
■ l>afl :a dëfcriptiiqn que j e; viens dedaire de la
• 0u ^ rai 1,, i l teffi daifé de m b fnp ren1-
d r e q u ’ilforme uneprefqu’Ifle,dont dey^co-
W lo^ e irv k o n n o ^ dëdn iner^ ûm muràille
:danquée;de plufieurs XOuts^ tant rondes que
muarrees , &: afTe-zprockesks linesdes autres,
duir fert d’enceinte. On fait garde la nuit fur
^ ? ou« * & ce font les-îdaigomojtlaHs, ou En^-
fans de Tribut qu’oil y em ploy é / tan t pour
prendre garck;â cç qui poufrqir/arrïver daps
d intérieur d u ..Serpail & :auxdny:^ron-s , ^qu’ap
weù qui fait fduvent de grands <ravag'es- dans
»Conftantinople^ J
)Q- Ç eft dans çette vad e enceinte que font
compris non-feulement les Bâtimeps du Pa-
Sa ïs , mais auHiffës Jardins, an milieu dei^uels
font les Bâtiments furja Place laplus.élevée
s u Promontoire, appëlleeautrefois, comme
mous .avonsdii A ,l
Mm -AÎais