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b,M. Greiotrapporte ic i mie Hittoire -div ê r-'
tiffante qj qu’i l donne comme l ’ayant prile
'â‘"Atrieü. ■ Mo us* Lavions emprioetce de iui*>
comme plusieurs a u tm c^oles q u i caneex-
n e n t l a! de fe r ipr io n de- Conff an t i n ople, de la -
v é rité defquelles nous avions £ tc confirmez :
par nôtre, propre, expériences - Mais comme
q^elqviqS, (gavants.que nous avons-confultez ■
de puis., fur : c e n fait p art iculi er,. nou s. affûr en t
q u e cette H illo ire ne* fé trouve-point dans $
l’ancien. Auteur à qui lé Sr. Grelot l'attribue,
nous, né- nous faifons p’as-nôtre affaire de la
garantir *. ôc laiffun LcertexLifcùlïioma, 1 ’habi-
le^Lbmmç dè qui nous tavion-sfemprurifcpe L*
qui a peut-êtr.e:cn main de quoi j uflifier fa*ci- '
r a t i o n no u s .np.Us.contfentç.rons de rapporter,
la ebofe re lié que;M> jCr^lo tn cu s la donne. .j:v
Ü dit donc qu’ A rrie n l’HiltorienA qui étoit?:
voifin des C h ai ce do n i e u s , puifque la ville de
Nic.omedie.lui donna le j our , dit que ces peuples
ayant négligé-pendant quelque tèms le-:
eulté). d’une. Divinité; a- quii leurs:* Ancêtres^
avoient éle v é ;ü n Temp 1 e,, ƒ ur e nt e h étiez d’une
maladiesliojneufe.,:sà.laque 11 e rie tro-ùvant
poi n t d e .r em e de ils; crurent; que. lé' plus
prompt étoit de re tran ch e rla partie infebfcée,,t
quelque confidé'r able q u e lle pût être, pour
fauver le tout. Cette D iv in ité en coîerè étoit;
apparemment Vénus, puis q.u’elle avait un>-
forir
e n , ; E c « T f ï à S n ï ^ ^ éôj:
fort L e au t em p le LChalcedoinét, m que le
. mal qui â ü ig è o it lé s Glial^tedoniêiis Ito it un
de ceu« qu’ apporte: cette Déèffé. La maladie
étoit à la vé rité .facheufo 4 mais-le retnedé
l ’étoit encore davantage j ôte s’il y eût eu 11;
quelqu’un de nos Empyriques pour faire affi-
clier aux Carrefours f comme ils font toits les -
jours àLarisi q u -ilsgné rilW rinfailiib lem en t
d e roifeiles maüx q ù e p e u r caufer Vénus*} il
auroit bien fait plaifir aux Dames Chalcedo^
nie un es, q u-i fe trouver en 1tout es V euves fans >
^Vôdr perdu leurs -maris. -
Ce Templede-Vénus ne f&voiiptks à Ch aï-*
oedomeÿûon plus que c e lü id ’Apollon,.qffum
ce r t a in! Qatcorids rendit célébré- par les Or a^:
eles qu'il avoit ta d r e ffe de. faire prononcer
. pateeettODi v in i t é. jp$p $$ f$ ^N|f p 4
: Ge Cocconas portant' envie- aiïx‘ Ville s dê
De lphe s- ,-de Gl aros, ôc de De Los, qui s ’ éro-iè nt :
renduës célébrés , ■ ôc s etoient énriehiës pair
lis Oracles d Apollon ,, le mit en tête d’en
faire-rendre auffi par cette Divinité-dans le-
tem p le s qu’elle -avoit L Chaleedoine. Pour
pet effet il fe fit recevoir Prêtre d’A p o llo n ,,
m
{à) Il n’éfl jfas furqüe ce
temple fut! Chalcedoiâe,
^ etûit a,Citryibp.olis qui en
étoit fort prochei .Strabén
ditj dans l’endroit que.noas.
avons dêja cité : Chryfopb-
lis eft un lienf près de- GfaaL
cedoine.où; ifjft le Temp5ie.
desehalcedoniensi