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gneur. Ces \&À%
te , qu’il y avoit un.étranger qui yenoit de
Conlîantinople y &, qu’il é_toit dans leur mai*
fou , me firent prier de youloir bien leur par«
1er ayant que. de.partir;; Je leur fis dire que j ’i^
rois incontinent les.trouver- j ’étois alors oc^
cupé à defiiner de delTus une petite Tour , qui
étoit a-u fiau td e la mailon y un très-beau bâtiment
qui é to it tout auprès , &c dont-je donne
je y le plan. On dit qUO c ’eft Sultan Cjori qui l ’a
fait bâtir.- |ft ■■■■ 1jj ;
M Dès que j ’eus achève mon; defie in?,-je me
rendis aù Heu où étoieneees Agas^qiii-me rét
purent d’une maniéré-fort Gi,vile, & me prie-?
rent de m’alfeoir auprès d’eux fur le Sopha*
Aulfi-tôt ôn me prefehta du ta.bac. & du caffc,
qui? furent fu-ivis de diverfes
tares & autres çhofes délicates qui font en
ufage chez les Turcs > & afin de me faire plus
d’honneur & de me faire palier le t-ems plus
agréablement,, ils firent venir dans la chambre
que 1 q ues joüeurs , r q u i . e n touchant avee
les doigts une efpece de tambours- de bafqute,
faifoient un fon aifez a gréable, q:u’ils inter-
romp oient de tems-en teras-pour y entre-me-
ler quel q ues airs qufils chantaient.,
Le plus.noir des A g a s • qui me pa-roi-iïbic
t tr enn homme fort fpinçnel J me fi t dire p ar
le Truchement qui étoit debout fur le Sopha,
M aifotf de
Sul(San Go-
ri. '
CoüŸerfô-
tion avec
deux- A-gasv