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M on te Gre-
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£trop1yç|i.
4<J V O Y A G E A U L I V A N t :
clièrent une chalouppe > avec quelques Officiers
, qui vinrent à nous à la rame pour demander
des nouvelles à notre Commandant ^
a quoi ayant répondu , nous çontinuànies no-»
tre chemin.
v. Le matin du 14. >nous eûmes un grand Ota-f
g é , accompagné de tonnerre , qui nous obli-r
gea de plier les voiles, Le 15. le Y a i fie an
nomme ie Saint Nico las , qui çtoit deitiné
pour Naples, fe féparade nôtre compagnie,
ayant alors r ifle Ichia au Nord-Lft, Après*
midy le Commandant fit mettre le Pavillon
blanc au haut du mât de m ifaine ? pourflgne
qu’on eût à s’affembler pour conférer enfenH
ble. Nons baiffâmes donc toutes nos voiles
jufqu’à cé qu’ori eut çomfultq 4 après r quoi
n o u s continuâmes nôtre rou te , Ôt nous eûmes
le foir Monte Grego au Nord-JEft-Nord,
environ à' dix ou douze mille 4 o nous, Le
lendemain nous tinmes encore çonfeil f &:
tournâmes nôtre cour Te par le Sud-Eft a Meft
fine. Une Flûte A n g lo ife , deftinée pour MaU
the , fe fépara de nous en cet endroit.
: La nuit nous vîmçs brûler la Montagne
$trornboli.(4 ) . • ^
C?eft l’ancienne Stron- J Stn’efl éloign ee <|ue 4e Çif^l
,gïlé > ainfi appéllee >-à eau- J pu fix lieues de 1 iile de L r
fê de fa rondeur.’ Elle â en- pare. Elle eû fort abondant:
yiron dix 'initie de çimûtj- J teen fruit & en eotpn. G?ei|
VITE DE SMYPNE ET PU POPT