I y
E G .Y ï> ï E ÿ s $ Y R I..B 4 V&*C. 43 3
mes y .& 1 a lettre B. une cpmp agnie de fem-
-mes.- É
■ dis aie fe promènent |amais dans une c ta n ière,
ou dans quelque autre endroit, en allant
& venant plufieurs fois ., comme c ’eft la coutume
parmi nous.. Ils fe moquent mçme tout
ouvertement 4 ei Francs quand ils les *yoy:ent
fepromener a in iii îôg les traitants comme des
f o u s i l s leur demandent ce qu'ils ont tant à
faire dans un lieu où ils vont fî fou v e n t ,
4 on.t on le s vo it revenir à jchaque moment,
fan s qu’il paroilfe qu’ils y ayënt rien fait, la)'
Mais
Pour avoir en;peu de
4nqt,s une idée générale cte
JLa maniéré dont vivent fes
Tfu rc s, ilLfaut fa'yoir qu’ils
ife lèvent à une heure & demie
pour: aller au Bain, fai-
4P l ’Ablution j & la|>remie-;
j e Priere ,q u i dpitpréceder
l e ’‘lever- du Soleil , dont
l ’Empereur même riefe did^-
ipenfe pas , à moins qu’il ne
,fpk4nçpmpaqdé. i la fe co n -
de fe fait à midy, la tromé-
më à trois heures du loir j la
quatrième au Soleil couchant
, & la cinquième Ja j
'deux ’hêùres> de nuife Aiiifi j
on fait cinq fois p a r jour la.
Priere & l ’Ablution , fans:
squoy elle ri’auroit aucun
Xem.1.
mérite. Ils font deux repas
par jour , qui ne durent
tout" àu plus qu’une petite
demi-heure chacun, Stpaf-
l fent le telle de la journée,*
; ou dans le Haram de leqrs
•femme?:, ou.stfljs fur leurs
j Àofis â fumer "8c à boire dû.
•Caffé 8c d ?autres • liqueurs.
Les? exercicesordinaires de
(Ceux qui vivent noble-
f ment, font le cheval, Parc,
^ fa lancé, 'St lé dard, qu’ils
manient avecbeaucoupd’a-
drelfe; On-fe couche ordi-
: nairementàtrois hfairçs
muit aprpsla derniqre Prière.
Lé; lit cpnfifte en un ou.
• deux maüelats., que l ’on
| étend tous le? foirs fur 1p.
I l l