5 9 4 V o Y A G E A q L e v a fg f g|
qui fervent, à pfiifet i ’q'au. Iby< en a qui prç.T
tendent que Cêiîte eau yyîent du N il par.-dql^
fousherte ymaisie^aiïtres difent q u e lle v ien t
tie four eà, à Ce;t tfeder-niejre qpi nion nae paf01 ç
la p 1 u s v ray d e mB 1 a b l e 3! tan t parce que. .cet
endroit eft trop edoigne du N i l , que par,crp
que j comme le témoignant les habitants „du
lieu y' lorique l’eau du N i l eft fort troubled
cel lève y demeure toujours très - c la ire: Sc
qu’elle n’ a point fon acxroiflemenL & fa dir
hiinution, comme le .N il a les * fj e ns t o u e $
ans vauili lehommême que porte ledfeu fern*?,
ble favorifoîr ■ c& derniér fientiment. fÉ||r Md>~
tàreav ien t d e Matarug, q u ifign ifie dc l eau;f^ r
the\ Les Mahometans ; veulent qu’elle a it fa
four Ce du Puits 3 iHjfvnfin3 qui eft une,eau,rq,q*
racüleufe de leur Prophète Mahomet. Cette
fôUrce eft a Aîerhor., qui eftdrenvfiron. quinze
journées du G a irê iâ y allepspaf^^âra,vaiieD^
: On montre prèsdelà dansun J ardin un gros
morceau d’un arbre| q u i, d it -o n , croit là du
teins de la.venuë de Jofeph & d e M ar ie.Qn en
raconte ô tl’on en écrit bien de? Fables :ii y q.n
a qui difént qu’un jour la V ie rg e JMarie voulant
iie r e p o fe r contre l’ arbrè f i l Touyrit>
x ont me pour lui procurer un repos commode;
d ’autres racontent que l’arbre"fecnürbia,pqpr
faire honneur à Jefus-Cbrift, .de 1 a me me m.a*
niére rjue lesancie ris Eaÿeus ont Cru que les
arbres
E N En Ÿ P T E jî Y R I! E i ^ C . 595
Irbrés' tfHerfriàpo&éià:EgyptC-firent à'Ieuï'SijOiv
Vinitez. Tous ceux qui voyagent prennent
ordinairement un petit morceau du bois d e
t é t arbre , ce' qui apporte un grand profit au
M a îtfé J du Jardin. Jd fu iv is l’exemple des au*
très j & je voulus aüfli en avoir un morceau,
plus paf Curiofité, que par aucune vertu-que-
je lui attr 1 b d u r - ; • & héan*
hforiis’ ;6cJfëït^ôri^Setixi. JD ’autres
iri’ont rapporté que la : V ie r g e ’ Mariev étant
pour fui v ie par quelques hommés 7 -ôt p allant
ûav.ee fo.n Fils Jefus auprès de cet arbre,-qu’ils
d t f ë n e fin figuier fau vagèy ou Æguieide
Pharan, il s-’ofivrit pour lès recevoir ,8 tNque
Te’Refermant auffi-tôb -, il lérv it de gâchette
n Jefifis vG b r id & a faM e r e ijû fq u ’ acd q ue ce s
méchants fuffent p allez , & qu’nlorsilfier.’oiq-
Vrit & demeurn toujours en ^ t l é t a t , dyaant
même porté du fruit jufqu’ a l’ an 1^5^. qu’un
ânoteeau en fut rompu ôe, fép ^ e d u „trpnc,
peut - être eft - ce ee morceau qu’on montre
^aux:voyageurs., ;
„ Hprs de ce Bourg , il y a encore dans un
champ umbel Obélifque pu .Aiguillè de pierr
e qui eft debout, fM Je iieTay point vnë>nid$
F f f f ij - : coiti*
|| jr a) Gét Obélifque, dont
«WT'irot^èf- fe^guŸèfda&Sdé
itroifléme Voyage de ALPaul
Lucas, Tom. II. eitdemar
b ts gtariire d’ii «e fbu(le J>ie-
ce; y & d?une grande r beau*