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î?oj>4ge de S my me a Epheje: Pitoyable état de Cette'
Paille. Ruïnesi* ÿr refies d Antiquité^ DeJjwigtior&
de S cala-Nova. Retour à Smyvne.
Départie qg- . £'<>•; d 'd t ïo îife •.*<£?$. Eprès^miaV' ÜOtt#.
Smyrfie» w1p '« '/« c*o"m; '*m*? le^wnRç*â mes-> notre Vo y aI-g • e* , noA lul.Aec,r'
compagnie étant compo fée de foixante-dou-
Sedequi. ze perlonnes.. Nous nous arrêtâmes a Sede-'
qui j qui eft un» Bourg â trois lieues de Smyr-
ne> fitué dans un très-beau pars ,: ce qui etl
caufe que ch aq u e^ on ful y a une maifoii de-
plaifance 5 ou i lv a f o u v e n t fe 'd iv e r tir 8c-
prendre leplailir de Iachaffe. Çe lieu eft fort;
connu y 8t l&s Marchands Européens vont
fouvent s’y-ipromener,
Le lendemain- au matin nousreprîmes no-’
tre chemin * 8c âpres, que' nous eûmes mar--
ché quelques heures-,, j ’aperçus à main gauche
y un peu loin duchemin, quelques .vieilles
ruines^ Je piquay jufques-lâ >, St j;e le*
trouvay telles que je les reprefente dans la l i gure
que j ’en ay delËnée. Nous p affame s en-'
luite par quelques Bourgs , St-nous arriva-^
Arrivée à mes avant le foir à Ephefe , que les Turcs:
Ephefe. appellent Aja Suluhjr c ’eft-â-dire, le Temple
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