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ch angéde deftein y ainfi le *4. du même mois
mous fûmes de retour i fhmyïher .
* ; À y an* qu e de q ni t ter ce i ■ q u ar tiers pii fera
-Bon de dire qulelquecdrofe’d e v a i t des - peït-
fonnes du- pais & d e leur manière de Vha-
ibilfer. /
Les femmes Grecques des Ides de l ’Archi-
ÿ e l , 4 <sat on y o it icMafigure^ne font pas kp-
itrement vétnësq^uand eMesibrteinf, queJorfb
q u ’elles demeurent à-la maifon., -ôc leur ha-
millèment ordinaire eft d’ avoir- un corps de
fro e a rd to n g c ou dé drap, d'or y quitabat par
-derrière
.ohe mi fe fo n t : e x tr ê m e me nt g rabde s ôc gar-
mie^^ë dentelle; : E lle so n t entorcÉlé autour
yle la tête un mouchoir fort propres-, qui eft
ou;jaune| ou couléur de ro-feç ou blanc-, §t
q u ijâ auflï de la dentelle au bout. Ædles' en
i ai (Tent pendre quelquefois un bout fur Je
corps , &c quelquefois tousj les deux ; leur tâf
;b 1 i e r , qui eft de toile bl anche, eft aufli à'den-
^elle.r heur juppe eft de la couleur qui leur
p laît le plus, affezfoüvent blanche, Stpleine
de plis f| ce qui fait qu’iï. le ur f a ut h e au coup
d étoffe , parce que cès plis font larges corn-
me la main. Elles portent des bas rouges, tra*
va ille z avec de l ’or , & leurs pantoufles en
font au (fi brodées, hes femmes de Sm^rme^
jj($ fout reprefentéesici > ont fur la tête un
O y