x 6 6 : V a y a g t a u. L m M m m
re cette. fentence.,. & pour la faire; executear^
Audi daferiti-il^ qu’ il eft defcendu d irÇ iu l^
p a re eq u ’iLleur imprime p.ltis de. refpeét >> 8£
q u il.lus retient mieux dams leur devoir > que.
les Loix : lus. j4 ns. faînre a> fervent parmi
mous.; Ç ’efi affez que Ï^SoMbacby^ille de enté:;
d’autre, par les rues,pour faire,longer au*;
habitants d^une.Ville^ que le. moindre : bruit
• qui pourroit arrive t e n t r ’ eux,*,fe r o i t capab 1 e
de, faire tomber,?non-feuiement fur ceux^qui?
l ’auraient excité., mais aufILfur lesiplus imnor -
cents fpejdfateurs, une grêle de coups de bâ~-
t o u , fans qu’ils sten •.p^lTeh't*-,garantir^ çim
crian t TZoha Sultamm-s^ cômme.onn.aceoutumé;;
deyfaiie neux quehon châtie , & qui demandent
qu’on Mur p ardonnej,la faute;qu ils on t
faitei. Dans. Gfittb appréhenfioJi { ch a cu n fe ;
tient en repos , ceux qui feroient^d’humenr
â quereller, jx oferoient.'lai^r-émouyoiideW'
bile ,.de peu t d’être châtiez par lajbourfe, 8c.
qu’il leur en coûtât quelque mille*.4 fprçs. s’ils
étoient, accufez au, Divan ôc encore moins,:
o fe r o ien t- i 1 s s’en treb at t r e , de crainte d’être.,
battus d’une, autre forte.. :...ainfi dès qu’ils
v o y en t un commencement de querelle x ils
fo n t o b l i g e z fu r les mcSiespeines ,rde faire,
leurs,efforts pour l ’appaifer, èc d’ordinaire ils ;
ne quittent point la partie qye le différend mes;
fait vuidêi. A u lE vo it-on Janlûpart du tems*.
3en.V€ g^ p t e ; SyiR t i ;
Qu’ils ob èi gen t c eux qu i • fe font querellez dé
s ’embrafTer après leursdémêlez, & de renouer
feroit rompue pour iâniaîs',
il l’on laiffoit agir la paüïom de, deux emporte
2?^ ifaate d e s ’emtrémeitife de les; âooordef,,
.comme coia mefe yb it quérrop en divèrsdiéüîr
parmi les Chrétien si; 1
Quand ceux qui' lè querellent , ou qui le
-battent, ne veulent point ceCer , quelques
-exhortations qu’on leur faffe, & quelque paf-
f&g;e de l’Alcoran qu’on leur allégué , ( ce qui
.arrive rarement ) on les fépare malgré qu’ils
en ayent y & en criant C^r^ «//^,;qüi veut di-
>reparla Loy de-Dieu > oiï les mène devant M Kadi
ou quelque autre JugOjaf inde les faire chât
ie r de leur Opiniâtreté. Ce Juge ordonne
alors qu’on fade coucher le coupable fur le
d os , après lui avoir donné deux ou trois
«cents coups de bâton fous la plante dés pieds,
qu’on lui a attachez à une Falaque 3 on lui fa it
encore pay er deux ou trois mille Afpres, pour
«s’ être laide emporter â lacolere j ufqu'àfe fait
e ainfi m altraiter ?
'L à feverité dé ceS loïxfi non-feulement retie
n t par force dans les bornes de leur devoir
le s Turcs qui voudrOient quereller Ms autres,
•8t leur faire r o t t , mais elle lès a encore infen-
fibMmencaccoûtumez â ne point jurer ôc"â ne
noint déshonorer M SVNom de Dieu par Murs
U § . blaf