% 0 f O Y À G TT % U :L >ÉV A N-;T & I
rencontre, dans le même G olphe, furda g&u®
ehe y en jcirant vers le Midy g une petkélam-
gue de terre qu.i n’a pas plus de cinq ou jfïx
brâfle? de-large, &c qui eft longue d’environ
un demi quart de Lieuëv au bout délaq&élléy
du côte terre, il y a une Mofquée donf
lès Tu#ps fon t un nonçeddif divé.r tiftant.
Ils dirent qu’un certain jour de-grandè Fêr
fcè ^ il y-eut un Der^is y is uM o in e ll âhpmeV
tan , qui démeurçit à l’autre .côté du Golphé
yprs le Nord} qui voulut, félon fa-coutume,
#lier faire
te ayan t emporté1 la Barque j & Hé vbyant
pas de moyen dé pàdéf d loutre; ,epc4 y ni pria
Dieu de lui vouloir inspirer oé" qu?iÿ kUrpit 4
faire datts cette $$Éf.
prière fut éxatëcée :, '&~-Mehtè: ^ 'S ra ib^ f’éfl-àr
dire, l’Ange ■ Gabriel lui revela aufti-tôt p u il
n*aÿ.ok ,i|u-à-pÿéndr^'£uf%' $iPÉj|p de ri%dMef
autant de fable .qu’il -eii pourrointenir dans
Je pan de fa robe, qju’enfuite il n’avOit qu’|
le lemer devant foy fur l ’eau en maniéré de
petit chemin , &c mafc'héf hardiment {M^dê^
fus. Le dévot Solitaire ht ce qui lui croit ter
yeîe y mais comnie il n’avoit pks pris jLifez d.e
fable , ou qu’ il l a voit femé u n peu trop larges
ment, il fe trouva fort embarafte au milieu
du «jGolphey caf le feiitier qu’il ayok fait air,
Coûte di-
<vqrti£Tant «
. au fu)gt
d y n Moinjp
É ’N " E G Y P T E ‘ *; S Y R I t $ j & & ti%
loit-a fonds , à mefure qu’il avançoit fon ché-
min y &c.il n ’avoitpas de quoi en faire d ’autre
devant lui j le labié lui ayant manque. Il
pufc.daBie-feéou^ b & aux, larmes 1
j|OulB)fe^irèr^d#'i.eMïl».rpefpi*çxitéi.f 1
voyant l’e xce lien te pieté de ,ce.b o n Muful-
mangs ôc, Irouehé d u â * t a g e j r > i t o k -mis
f «Htfoailer à 1 a Moiquée, obtint auftî-tÔD de »
Dieu3-qu’une avance de terre ,‘s ’:4tendii ju i-
^ ’aù'ip-auvjfc.E^efvIsÿiâfin.^il'^eür-iainlrle
moy en d e ,£e rendre dans) le Temple,d 1 ’heuru
dé la priexe.. Depuisrce tems-làxe.tte langue;
de terre; eft toujours demeurée poumonfer-
ver léfernellement la mémoire de cé Mi-
ïaefev, >/i\; t ' sp
T Dé ée Golphe d.e N iconTedie on e ntre dans:
la Mer de Ghaleédoiné, appelle© par Les An-?*;
Giétis >Fmum Chakedonium „ ïïofybomsCbakedonmî,, Met
IBe^bÀnMdFkraàus'y- &c de quelques autres noms
encore. Au milieu dé nette petite Mer , qui
nelcoUtientpas p la id e huit m illes d’éténduë,.
l ’on v o it tout auprès de ChaAcedoine un Rare
fur un P romontoire, avec une mai fon de plai-
fance du Grand Seigneur appel!ée EanariKiof-
ceft-a-dire , Maifon dl Plaifhnce du Fanal om
Fane. .. ï;< >
Ce mot de i^ io^ iftgnifie,, en IangueTur-; %
que, une galerie couverte. Les Kioskj ne confî.-
(fténtbrdinairement qu’en plu fleur s col om n e st
difpo^