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de la Lune ou de Diane , & qui n’elt qu’à qua^
torze ou quinze lieues de Smyrrie. H
Entre Ephele & Sedequi, on a prelquë
toujours une grande P la in e , qui n’elt pas désagréable,.
Nous; nous arrêtâmes dans un bois i côté
de la V i l le , ou nous dre dames nos Tentési
nous dîmes pendant la nuit la tonde de *deut
heures en deux: heures avec douze hbmmes;
„outre les fentinellcs qüé nous avions fait
.avancer , afin d’être bien fur nos gatdes , car
i l ne fa i tp a s t r o p f i i r e n c e lie u - lâ , & nous
^avions déjà été avertis que les Turcs s'a tten daient
de nous venir furprendre pendant là
nuit; ®
Le rnafîn, des q iM fit jo ü r , nous allâmes
Voir fi nous ne trouverions point quelques
reftés d’un lieu qui avoit été li célébré autrefois
i mais nous ne trouvâmes que les tri-
ilé s débris d’une magnificence que le tems a
.dé truite.. On ne vo it par tout qu'un amas con- MifôraWo
fus de morceaux de marbre, de murailles abat-* état de cet-
ruçs , de pièces de colomnes , & de c h a p teViile*
te aux, écc, Cejqui en ell le plus habité au-
jourd'huy ell à l’Orient d’une grande Plainë’
<qnt s’étend.jufqu’ à l’A r ch ip e l, & qui au Mi-
• d y a u N o rd , fie au Couchan t, ell .environnée
do hautes Montagnes.
jla v ie ille Eglife de S. Jean I’Evànetelî-1 A f f t de
M i j r