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j ifègi f&- i^Qmffrë^
ks Etangs & Us Lass que U N il fait var Us inondafu
t àpp elle e ,füivân t S teph a-
nus y ÂfeJw.,1 àcaidfe?qüè: cte
Séant y ayant été frappe de
la foudre, ,;yravpit répandu
fdn l^g.Onppurrqit^iten-
cke touf celaÙ’uriemafaere
M4iori^üe4^ô*l>ètrî? süffig
ènla tournant à Pallegorie,
dire que Je nom de Typhon,
marquant, fui van t Suidas,
le leu & les exhàlaifons de-
Feff qui î(fô r ten t. de la terré ;
§C le ',Lâc Serbonide étant
rempli de foulplire & de bitume
«q’eflt icf quj: a^ît.inr
yeqter toutea cpa .fables,
Quoy qu’il en foip,- la vilJe
de Damiette fituée dans la
EajTe Egypte p fur le bord
Orientai du, bras du Kil-quf
paile auprès , & qui lie Jette
dans’ la iMet : à une, demie
lieuë delà > a été bâtie des
ruines de l ’ançienpe- Opélu-
Σ\ , li fâmeufç autrefois dç
qui étoit près delà, pamiet-
te a été bien plus confidéra-
ble qu’elle neleftaujouff
d’huy» Elle fut prife 'deux
fois par les Chrétiens » pem
dant les iCroifades; favoir,
par Àmaury, Jloy dp jerpfa-
• tions
îem en tïïsi*18c trente3 ns
après païS-. Êôtiissqü! àyâik
(été pris prifoftniëlF dans' la
luire, fut obligé de la rendre
aux Sarralxhs .qui laii-
rentbfufer. liàclrnîjbeébté
deXaE.adei qu’onSppèMbif
anciennement g Pélufiacum
pjliufn, rembouehûre de Pç-
lufe, lès qb^è^giaVê^^
dans là BSt&f mais ëMê éft
fort: léçhuë de ifoit àndëB-
nè fplendeür, depuis qu’élu
le eftpolfedéepar les'furcs,
ui la ,nqrrnnbi i Je
^pis ayertir icy, cependant
qu’il y a des Çeographes qui
prétendent que la ville Je
Damiette n’ell pas àt 1’ep*
droitrj4|e^ t4|éJùfe &: ils
partagent fefKil dans .cet
endroit duDeka.en deuy
branches; c’é toiefu r le -plus
grand » & le plus orien tal de
ces^démç canaux » qu’étoit
l’ancienne Péjufe ; &,Damiette
ell fur le plus petit,
qui eu a quelques lieues & à
1’Oc.cidpnt de fautre, de je
ÊÊÊÊhà ceit^opinjio/r la d.pg
yray-jfenjbjable,
- ÊN:; Ê (3 ŸP TE , S Y ' k l É , & à . M f,
tionsI dans tàs-enàroitï qui de leur nature font ehfonce^
($T marécageux. D ’ic y Fon p e tit,' en deux fois
V in g t- %/Timd, de -at*
l a f n i I V e W i f èh peu déf tëms à Je-
rufalém; aulïi adr^ls-|e tle h e tie lé fÜié; niais1
comme Fon me dit que dans huit ou dixjotirs^
je trouverons fa n s'ni an que r une oecâfiôn, je
me ftâtay de l ’efpé rance de pouvoir encore y
aller par earn
Entre Dam ie tte , de la mer d on tjë viens d e 1 Très-beat»
parler y orr pâfle par;litt bois fi ferf i le , fi agréa- Bols’
bfeV & fi divërtiff'inti qu il fattt quë j'a^oùë:
qqe je n’ay jamais rieh vû de p a r e il, & que
j ene croy pas qu’il y ait rien de plus Beauau
mondé. J ’y trouvaÿ quaritivéJd%î:gboÿ Or an-*
g e r s ,, & Citronniers ^ de même que diverfesf
1 or tes de Figuiers^ & ëtttrrautreiëékiy quon
appelle Figuier d’Adam. Le fruit en eft fort gro^
de fort lo n g , de même que les fueilles. qui ont
bien une braifè de long ; &: environ deux paumes
de large. Il y en a encore une autre forte*'
du même nom , dont les fueilles font rondes.
de fort épailles. A ceux de cette derniere ef-*
pece les figues y font attachées eamme une
grappe de raifin, de elles font doutes comme
du fu ëre. Il y en àencoreune troifiéme forte
qiii porte atifii :1e* mêmenom. LVrbre en efb
fort gros 3 & les fueilles au contraire p e t ite s ,,
mais ferrées les mies auprès des autres, Sz tout-
‘ S 1 * ' à fait'