7$ V 3p J & Gr^Et A U L ft VJÄNfT ^ fä
to it un^jberfonne fo r t'civ ii^ o <âe qui j*ay ré^
tu depuis c ^ ^ n is -Ta prtiîrçüfs ^oiis offices eil
d iv e ries octiaßons:.
J’ avois déjà ccç auparavant dans la V i l le ?
mai^ je étëèsg:wéTéspromîmes päfce
que k vTu rcs? , malgré're^péTÎeHCe cjaau^ ont
&$FV$ijfc' %it?r dé Pa co n ta g io n de l É f t  ,
die^ n’é v ite n t p o in t de le trou v è re ,nfem b le
à leur ord ina ire pendant le cours du ma l , &
de éi^ôverfet fans* fern pul# les un^ àvê^ Ifs
a i & W r - E * ' ne p e n s e n t pas dfe p r i-
c a u tk^ p d ô r eux-memes, ôl i|tt?rf|* fe* fra%r*
délit fk r s ménagement y a u # nè1 ménagent*
îts nullement le s Fiattosy à u e o f k t a i fd i ils
prennent ptai/fir a- les5 chagriner-' §£ a leur lai“"
Éê péui? i en allant ddelfein | comme leur1 tomber
pou# ainfr dire fur le forps. Ils iie3lâtffie^
r©#^$'p«&- ixtçfoÇ dé If faire ? quand ils fau*
rôién f tp/ils en* déjà pfis le- mal. Gerte témérité
avec I|sk • âjffiioWte-n* -Pt mal
£OBüagfeux vient' a la vé rité # ü n bon prinr
ç ip o , fovoir de la c<pnfiance q iiils ont en la
p ro v id fn c e tkE J ieu , qui a ordonne de leur
v ie ôS de le-Ur mortp■ Ça'f maisÉfren5 font un
-\w g
(a) C?eft moins fitnsdou- J1 flou où ils- font de la pre-r
tes comme eaveonviennent J dfeffination afofofiiëj 8t cfont
tôusriés aiHres* Voyageurs, il*- fon* uri treSr mauvais
gar* la, confiance quilsiont { ufagp* commelf rçcQBUQi!
en Dieu j-qncpar îaperfua- [ l ’auteur.
* fcp É E G Y P T E ÿ ,$ v R T t 3 & C . 7.1 ■
très - mauvais ufage dans l’application v io lente
qu’ils Gen fon t a eux -mêmes,, &: qui
leur e ftfouvent ttés-fmieifte ^puis qu’elle eft
c4nff de la mort de plufiepm d’entre eux*
quand ce fe u commenee une dois à s'allumer«
L ’on en v it e n c e *enrs->Uun trille exemple
dans la brille *& a?ux environ s de Manadffia qui
n’elb quya huir tenues d eSm y rn e , car dans le
même efpa.ee de mois mois., il y montât plus
dé trente milleperfojrnes de ceæte maladie« ;
, A ü r e lie , q u o iqu e les Tu rcs Jcnæbienrn©
craindre podut oetenrible fléau*ion..»me^dqaur
roatjrepmfenTmia mafere q u ’fon irosc ic i dase t-
té ç*saeal«DiL* /Les cris j8c les gémilTem-ents du^
rent ijour flp nuit * de ibrte qu’on -nkft pref-
qiie.pas «n moment bms les entendre ., B
lors que quelqu’un vient a mourir * dlsl lotient
à. prix d’argent de certaines perfonnes pour
les pleurer nuit êc jour , plus ou moins lo n g -v
tems ÿ félon qu’on eli convenu a v e c eux du
tems v& du prix j M pour lors ces pleureurs à
gage font des hurlements lugubres ôc effroyâf
bl.es i pendant qu’on emporte eontinuelle-
ment.cette multitude de .morts a fllré -
ment un'trifte fpetâ:a-ûle. pour edux qui font
obligez d’y affilier.
Pour ce quieft des Franes/ou des Ghrctienj
d Europe* ils font rarement attaquez de cette
maladie * peut-être parcé qu’ils obéïiFent