. Y owa;©®" A u & e y J, i .
fomme t b e«Ate duuNo r d eft g^t&par
d k # f borfirrfO nous I’abfonscjdiib dei 1’autrfe.- u t
petite & de *peum,t o p b l-
tan.ee. On c ro itq u eltea c&<$autfefais teyiCJtu&-
de-pierres, femblables a celles du Tombeau
que noasJavbns d k qui etoit dans fo premiere
Pyramided ce qui adonrie lieu^ cette peiifee,
e ’ert qu’en trouve aux environs .une grande
quantitede femblabflespierres ..QueLques-uns
crbyen!tJ q&e le lieu p u fo n t Mtijesle^iPytajni^
dbv;reft I'endtqi^bdJPon etoterB3i t td:Utifefbis
les mor ts,& que e’etoit le Cemetiere de Mem?
phrs; & ils difent que tousles Hiftoriens A tabes
s’accordent en eedy * que cette v ille -la
Arbit; dans l’en<fredt' me me on Pont lessPyta-
niid'es^ & v is -a -v is dti vieiix Caire.
I l faut que j ’a fbn te icyq u e lq u e^ em a rq u eT
fur les Pyramided, tiroes d-un certain M elton
Voiyk^eur Anglois. C a ) ^ ; o') 1; Que
( a ) Nôtre Auteur a emprunté
j à la fin delà deferi-
ption qu’il fait des Pyramides
»q uelques réflexions de
Melton voy ageur Anglois ,
qui font très-peu importantes
j. il aurait mieux fait
de copier celles de Jean
drmyesi Prpfeflèur en Af-
tronoftnie dans l’Univerfité
d’Oort, qui font uô mélange
curieux de ce que les
àhciieûs & lési^dâ^ènêpqnt
dit fur ces Monuments *
qu’il avoit vifite? %£?•
me j & comme le Receiiil
des Voyages qùefl; cette relation
n’efl pas entre les
mains de tout le monde » je
croiray faire plaifiraüxLec- 1’ teursderinferer icy j il fer^
vira de fupplément à ce qui
1 manque dans ladefeription
de Corneille le Bruyn. J^es
' EN £ 6 Y P T E , "S Y R> O ï #' ~&C, .
î li Que toutes les P y r a m i d e s mt* Ri
y erturc j par où on entrait dans une allée fort
K k k k ij profon-
'AncifeÉs qui ont pailé -àéis ,
'Pyramides » dit cet Auteur^ j
font tous d;aécotd qu-ëlles j
ont été bâtië^poUr iêrvi#de j
‘Tombeaux aUx Frinées qÆ !
dès;:âv®i€É.,tiéleyéèâ: Diôdô-<
jet Sk Strabon le difefl-t ciaif j
rement ; les Arabes confir- 1
<m.qnt la même éhofë-j & le
Tombeaù-qu’on voit encore
adj oür d’huy dans la grau- \
4 e Pyramide » foit qû’i'l foit
de-cbeops i comme le dit Hérodote
» ou de Chemmis 3 ït-
lon BiOdore, met la cliofe ;
hors de doute.
: Ç’eft trrié i recherché curieufe
de fàvëir pburquôy
des Roisd’Egyptee ntrepri- j
rent ces grands bâtiments. J
Ariftbte dit queç’a^té pour1
exercer- leur ty rannie : Pline
Oroit qu’ils les ont bâtis ;
on partie par ©(tentation,
on partie poüf tenir iéuts |
fujets oécupez & les diver- ;
tir dés perrféès de révolte, j
?Qaoy que la raîfon ^qu^ap- :
porte Pline ait pû énttdren i
confldér ation ; i t oute-fois ,
félon mon fens » die n’a pas j
^éfaprinçip^evPourmoy, |
je croisPavoir trouvée dans
la Theologtedes Egyptiens..
2Seeviims ], .lQrfqu’il explique
•ce vers de Virgile » i
AnîmamqUe' 'cbŸtt
dit, que les Egyptiens cro-
yoient que l ’ame. demeu-
roit attachée au corps >. tant
qu’il demeuroit en fon en-
fier- ; qbë) -les Stoïciens é-
toient déda même opinion.
Tes Egyptiens ,: dit cé:Sçâ-
vant Commentateur, em-
"bâument^leurs- corps, afin
-que l’ame ne s’en fépare pas
fl^tôt, pour pafler dans un
autre corps. Tes Romains,
-au contraire, les brûlent,
afin que’ i’Wme puifie plutôt
retourner à fon prirïcipei,
6c fé réunir à fon tout! Gfefl
pour eonferver plus long-
temsleS corps, que les Egyptiens
ont inventé ces pré-
cieufes compofitions dont
th les embaument, & qu’ils
'leur ont bâti de fi fuperbes
Monuments,efpérants par -
Jàde lèspreferver-de la cor-
j -ruption te les ruidre ea