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fielars petites fleuri d ’or enmabîèàe de bon*
quets , & au milieu, de chaque fleur on y met:
quelques pierreries-. Il y en a aufli qui y met--
Behf »des fleurs naturelles > (^rnm^'des oeillets:
& fembiables,
-La maniéré ordinaire d e ‘s^habilléir des qTürGs:
e-flb d’avoir un bonnet de; velours rouge, avec
un Turban blanè enveloppé autour,. Q’eft une
elpece de bande de toile fine de lin oude eot?»
ÿod3 eommo on lepeut voir dans la figüïev -
: Lês 0anidaiïds reprefenteiz ^ ont une forte
dé bnnners lpdgss-' qui pendent par derrière 7
&:dl y a par^ devant-un tuyau qui vient droit
au milieu du frontd il efl: d’argent doré, ôc
baut d’environ un demi-pied; e’efl: leur Bon-r
net de Ceiëmonieyqn on appelle $Wëola ; mai?
ils porter!t pour. l'’ordinairpiun bonnet - com-r
me les autres Turcs , autour duquel ifsirou-*,
lent l?eur Turban df une maniéré tout parfait
differente de-celle des a ut mes i & t ceTur b an
eft ordinairement de foyeblanche, rouge oij
iâune.
ÆIhaï
« N ; E GYPTRÏ pfcl RIE. 7 & c . i t y
•• € h -.a -p -i t; r e »f ■ X. I. - ■'
"Defeription ië la Propontide * m Met Blanche , ($f
: des -fimèés % nthë de-ConJlantinople
~ "pé^fohop* '
J \ P r e’ s c ett e : cour te do fgrip tipn des en-
J ~ \ virons de Conflantinople & du'Canal &
d e la Mer,Noirej/il tfaut conduis Ie lecteur
du ç&t&devdn-Trppojetidje. ou Mer Blanche *
^aiindplui faire voirjauflia.de Gejco,té-là, cette
.V illefarneufo qui efl ,1e Siège des; Empc r e urs
cQttomans...
Quand on arpafle Gaüipoli , qui eft la demie- Divers
sX e v il lë de l’Helle f p o n t & donc nous aurons p°op0^ a
occafîon dè parler jcy - après,, on entre, dans1 delà
Propontidp * qu’on appelle ençorgaujour-
d’bpy Mër Blancbe. » ou la Mepde Marnipra*.
bP premier de §p& noms lu ia ^ é d o n n é
par oppofitipn au Ppnt Euxin,, qu’on a apèl-
ie .Mer Noire., à caùfe des fréquents naufrages
qui s’y fo n t, des nuages pbfçurs dont
fotte Mer eft. epntinuebënient couverte ;
le fécondj kçâùfe des. IJJes.de Marmora qifljfpnt
,z huit ou neuf milles avant dans cette -M*f$H
Tout le circuit de la Propontide, qui corn- Sa.fitua-*
^pren d en ÿirpn liîjc u °*
m Tom. I. A a .d’Àl