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m on des Tommes pour fournir à cette dépens
fo. Ge qu’il y. a dé plus louable y .c ’eft qu’ils
exercent cette vertu fans ayoir égard.à ta difs
forence de Re ligion j &; que les Chrétiens ôc
les1 Juifs y ont part aulïi-bien que des Maho-
metans. - - - *
Mais fiqelâ'eft à louer àb’iègarddes pér fonues
riches, que ne dira-t’ou dohe pas de s (pauvre s,
j ’entends de ceux dont lès facultez. font fort
berné es, &; qui n’ont juftement que de.quoi
s’entretenir? Il eft bertainque parmiies Turcs
ceux qui n’ont pas de moyen d’aider les pauvres
de leur bourfe, lès affifBent autant qu’ils
peuvent de leurs propres mains : par exemple,
ils réparent les grands chemins imeftire qu’ils
fê rompent, ils empliflent d eaùdesiàbbreu*-
voirs qui y foned’efpace enefpacë, ils fe tiennent
auprès des Rivières des Torrents qui
fe débordent, afin de montrer aux Voyageurs
lés endroits par où ils pourront palfer a gué,
& tout cela fans demander:j amais unliard
pour leur peine, comme j e l ’aÿdbuvent.«pro-it-
v é môi-même^-fi triême l’on leu rib& e quelr
que ch o fe , ils le re fu fen t, parce , difent-ilsi,
qu’ils font cela pour l’ amour de D ie u , .& non
pour en tirer quelque profit.
Leur charité ne fe borne pas aux hommes,
elle s’étend meme jufqu’aux bêtes ôt aux oi-
féaux. Car il y en a quelques-uns qui vont
. tous
EN E g: Y PT. Ë | S" Y K %m y &<• ÿ $9
fous les joélÿ'de mareké acheter une certaine
quantité; dfoifeMxjpour:les k ilfe r en v o le r ,f &c
leur rendre la liberté m Sur quoi ils ont cette
penfée étrange que les âmes de des.-oifeaux
vfohdron t au jour du Jugfomentrendrè téitioi-
gnage d evant Dieu y du bien que
leur auront fa it,-('<*> . ,<j * Æ G’èlft
. :j C a î On pourrait ajouter
foi qup- qetfo ^jb&riee jboùf
Jfes an imaux vient de ee
qu’ils lijentdan? foy Livres
dejeurLqy,, qu’iiy çnanra
plu.fîeççr-s ^ajîèjs.
fie ucefi x, pgg r .e nt r çr S j Ifo-
radis., .Tefe que font le Cfia*
Ri£|B du Prophète -SV./e/;, le
fianyra;la plac^-cfo fop Ms
ifk$î* k tfop$ny fie ifoiog
mon; , lé Perroquet de la
Reine de,Sa,ba, l’Àfoe cPEz*
SjfegJh ^^iue;<dedqqasA;unj
petit i.Çhien, nopimé -j^"kT;
mer, & le Chameau 4e Mar.
fieymetf Et yoiçi;,en peurfo
mots les fiables qu’ilsraçqn-;
tantpflu
fipns.; Safoh, ;étpiti uq fir-o-*
pfiêtepli^ ap^foniqu^ jM?-!
hornet qyi étpit; fort -glfo
timé> parmi les Arahes j, fos-
Pçrfos St fosfiTqg^-^tyiyt,
afcdarts. fos;4rt4egr B0^r}
convertir jes Infi^ede?, iis.
fui demandèrent un
d e , & le Proppetè tqdQnuf
h, yie a> un. Çltameau qùfoft
nommé Ohudar ayoit tuéî
Ce. ÇJhafneau.afoêten.£-ils efl
encore en viaSt onf ente,nd;
|fs .qrfo forfqufoq p^ife-Wéÿ
4& 4;a fikffitne çù 41- é^y^ÿr
fermé j maïs les'Voyageurs
opt .foin de faire -grand
brpit , .deppuyqueif leurs
Gnameaux. feiyîient ‘^fos
entendre > ils pe demeurait
font immobiles.. Par la. Vache
de Moïfojiis entendent
ççtt^^eifo.jrpis^dont; le^
qçpdfe.^ ; foryofont.. auy é-f
preuves aux Purifications-
don tiieil parlé dans fEcri-
tu refit®. Comme Salduon^,
par ,fo ■ fagçfie diient- ils^
in fo jré du , refp L
tpqs> fos| animaux a ils firêpt
une députation dans cüaque
èfoecefpqurtiui apporte^ des
prefopyçsi^foF^rq^yfouies
en ayan t pr^fopté. un -d’uns
pfo^-fgraq(|yq|ûme qu'ÇÙe
n’étpit ^ie-même» cçÿria..-