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r è r à fa nouvelle Loy ces «Arabe's- Idolâtres^»
q u i étoiettt en trè s -g ra n d nom b r e , ôcvoifins-.
de là Montagne dé Sina ou il avOitfetéMoi-*r
de s leur ren vo y a ee ndiiv eau Législateur
afin de leur faire accroire, qu’ayant depuis-
con fuite Dieu fur leur réponfe y le Ciel et ois
^ontetït qù’Üs-coutinuaiïojiitv1 toujours laittê—
r&èjylir4 ratiodpt>iiir leur Hdtkav9poxirv& qu’ils
dcfof|dfeô**ttÆi-Dîeu > &ujuepôur marque-d®
Cèiavdeformail! totfs%les bons-Musulmans # oit.
ÿfdis f id è le s tJpfèroienc f^ppelèez. i La ::Prierè;
aiinom de Dieu & d e Hacbar. Les.Arabes Ido*
lit r e s -s’y accordèrent, & Lon. n’en ten d oir
pltis parler parnti ces pauvres- aveugles que
de Llnvocatioh' de ^ièt^'fedAj^c^rvjj.tidljiï’A-.
ee'-qbei iMkbotïïet- $>’ 'éttàkt t e.ndu~puMant y f i t
Ater cette Idole de leurs T em p le s , & y meurtre
Ces mots en brodes> lettres Arabes^
m §$*baPXtDÏet#i$*Hatbdr ) que lès Mt&fim ont;
depuis employé pour appelle r le monde Lu La.
i^riérei.'• G ’efb-làTe fendment de. éeù. ancien
Auteur ^mubïEhtM'jfaacElk,w&> qui a vé cu en*
yiroribâM §?oo< de JeïüséClirift ,-unpe.u moins
de: deux cents ans apr-es. Mahomet al
L f s Turcs n’ adorent donc qsuumfehl Dtèu&
erèatCdddu CrdTôt de la Terre & M a k m
:àbfoluidetotttcs:ehofesh C ’eA aufii pour cette
tû ùm i qd’ijs- n e‘iveulent fouffrir dans leurs
Mofquées aucune Image de.ee qui; a eu v ie y
r k # e Y P 'T ’E j j S Y*R I E y & € . . 15 5
fflienrplatte peinture ni en bofie, &c s’il en eft
re fl: é que 1 que s *une s e n Mofaïque, que. l a de*
votion des anciens Chrédens avoit fait mëti
sre dansTEglifede*S?e. Sophie a" c ’eft qu’étant
placées trop-* haut. & dans- quelques coins ob-
feurs y les TutGSj quilorfqu’ils {ont dans leurs
Temples, ont toujours la vûji bai fiée n’ont!
pas- encore remarqué s’il y enia.r.o u q u e s’ils
s%n font âpperçû.sir il& n’ont pas voulu dredev
d’é ehaffâu-ts; aifez. hauts pour y montéer: afin
de les aller effacer.- Car IfeA aifé~de . remar^
quer qu? Mé l^on t: fa it dans nous les en droits o à
on les pouvoir apperçevoir y &c fur-tout dans
ceu x qui n’êfoîentrpas trop élevez'}nar ils ont
défiguré toutes ces. Images ayec de longs bai
tons ou les ont même entièrement effacées
en paffant de la chaux par- deffusU
r Le fécond Article, dé la Ç réancedes Malio*
metans* w fbivant M.. G r e lo tc om p re n d , .en
abrégé toutes lés rêveries toutes les extra4
vagances d e l ’Alcoran &c de tous fies Gom-t
mentairess, comme de croire que Mahomet
eft l’Envoyé de.Dieu 3 & qu’il ne.peut jamais^
y avoir de vérité plus certaine, que ce qu’i l
leur a la iffé , foit par é c r it , ou par tradition ,,
Et comme c e t Article, eft La; fource de
cous des a u t r e s i l îi’eft pas neeeffaire de rapporter
ic i Les vifionsqu ’ils ont fur la Création
du Monde, y fur. £a confervadon:*. ôc fur les.
■ Mfs ' ■ •" ' moyens;