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CHEVAUX FOSSILES. 109
D E U X IÈ M E S E C T IO N .
D e s Os f o s s i l e s de C h e v a u x .
L es os de chevaux sont aussi communs dans les couches meubles
que ceux d’aucune autre grande espèce , et cependant l’on en a peu
fait mention dans les ouvrages sur les fossiles, soit parce que l’on
considéroit leur présence comme un phénomène fort simple, et qui
ne meritoit point d attention, soit parce qu’on ne les reconnoissoit
pas pour ce qu’ils étoient.
Il y a des preuves nombreuses de cette dernière cause de silence,
qui paroîtroit bien extraordinaire, si l’on ne sayoit avec quelle légèreté
les géologistes ont presque toujours procédé à la détermination
des fossiles et des pétrifications.
Ainsi 1 on trouve dans le T ra ité des monstres d’Aldrooande,
publié par B em ia , p, 37, deux dents de cheval, données pour des
dents de géans, tandis que dans le Muséum metallicum de cet
auteur, publié par Ambrosinus, p. 83o , des dents du même animal
sont indiquées pour ce qu’elles sont véritablement.
Nous avons déjà dit ailleurs que La n g , dans son Historiée lapi-
dumjiguratorum Helvetioe , tab. X I , fig. 1 et 2, avoit pris une dent
de cheval pour une dent à’hippopotame.
Nous pouvons ajouter que Kundmann en a fait graver d’autres
sans savoir à quoi les rapporter ( Bar. nat. et a r t., tab. II, fig. 4
et 5) , et que TValch, qui en avoit reçu de Quedlimbourg, se borne-
à remarquer leur ressemblance avec celles de Lang et de Kundmann,
sans vouloir non plus les déterminer. (Monumens de Rnorr
I I, sect. I l , p. i 5a. )
Il n’y a qu’un petit nombre d’auteurs qui aient été plus hardis,
tels que Bourguet, qui cite une seule dent mâehelière de cheval
trouvée à soixante pieds de profondeur, en creusant un puits près de
Modène ( Traite, d espétrifications ) , et Romé-de-Lille, qui compte