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AVERTISSEMENT.
D e p u i s la publication de notre premier essai sur la Géographie minéralogique
des environs de Paris, lu à l ’Institut en avril 18 10 , et celle de notre
description des terrains qui composent le bassin où est située cette capitale ,
nous ayons continué sans relâche nos observations , nous avons visité un
plus grand nombre de lie u x , et nous sommes retournés plusieurs fois sur les
mêmes lie u x , souvent accompagnés de naturalistes de toutes les nations,
s oit pour nous éclairer de leurs observations, soit pour vérifier avec eux des
rapports qui pouvoient ne pas paroître suffisamment constatés. Nous avons
par ce moyen considérablement augmenté notre travail. Mais ce qui nous
parolt plus satisfaisant en co re , nous avons donné à nos résultats un nouveau
degré de généralité, de ce rtitud e, et par conséquent d’importance pour l ’histoire
de la structure du globe.
Les çhangemens que ces nouvelles recherches et ces communications
instructives nous ont conduits à faire à notre première éd ition , ont eu pour
objet d’établir des divisions moins nombreuses et par conséquent plus simples ,*
de placer avec plus de certitude certains terrains dans leur , véritable position
relativement aux autres ; mais aucune observation, ni de nous / ni des naturalistes
qui ont examiné ces mêmes terrains avec une exactitude scrupuleuse,
quelquefois même avec des idées différentes des n ô tre s , ne nous ont mis dans
le cas d’apporter, à nos résultats de ces çhangemens notables qui modifient les
règles établies ou les conséquences admises.
Les çhangemens les plus im po rtais sont relatifs à l ’argile plastique, au
calcaire siliceux, et au .mélange, des terrains marins et des terrains d’eau
douce.
Nous n’avions rien .dit, dans la première édition sur l ’origine marine ou
lacustre des argiles et des lignites. Les nouvelles observations sur les mélanges