msafësipystrérieitPes/tï?; ib.J,‘;échancrent le palais« versïlaqjinquieme
. molaire. La Suture qui sépare les' palatins des maxillaires» d , ib .,
, répond*à la troisième. Les palatins contribuent beaucoup à Information
deseiles ptérygbïdes; le sphénoïde trèstpeu;ftes aile sssontpourtes
et coupées carrément avec un petit crochet, qui représente l’aile pté-
rygoïde interne, et qui est; assez »long-temps un os détaché. Le sphénoïde
ne va pas jusqu’au pariétal dans la fosse temporale, il en reste
. sséparéjjar Eécailleux. L e palatin; y forme une longue languette qui
se porte en avant le long du bord supérieur du maxillaire jusque
dans le eaoabsous-orbitaire.« ;
0 Derrière là cavité glénoïde du temporal quL est très-large,, est
<• sune lame demi-circulaire, descendant-verticalement et se.dirigeant
obliquement en avant et en dedans;, elle gênele .mouvement latéral
qt postérieur de la mâchoire inférieure. Entre çette lame :e,t,l’apophyse
mastorde^ y-, fest une échancrure -assez, étroite, où se trouve le
méattaéditif internep . L ’apophyse, mastoïde,descend,aus£i bas que
la Jarüe»dbnt >nQus«venons de parler;j«He appartientoau temporaLpar
t [ son tubercule antérieur^ àloccipital par »sa pointe».,
■ An Letronianaloguejausphéno-palatin, est» dans,le milieu,de la,Ifn-
,guette «orbitaire du- palatin. L ’analogue du ptérygo-palatin est au-
dessous de lui sur la suture du palatin avec, le-maxillaire; le, tfiou
optique est. petit ,»surila suture du frontal et dù.sphéHQÏcle.aiitériepr.
i L e Sphénosorbitaire et le rond ne sont séparés l’unde Pautre que par
une lame mince. Il y a un,canal vidien assez large. L& trou ovale se
2* confond aVee-les déchirés-antérieur et postérieur, en sortequijme
t g r a n d e partie« dn «rocher est séparée du sphénoïde et du basilaire par
jUuvide.' L ’os dp la caisseïne paroit jamais bien se souder avec-les os
1s voisins.et tombe,aüisémenticommé dans le,hérisson,(le; sarigue, etc.
3°. Lq ràfâchûii'éïtffénèuré:
-, jj La-mâfbpirqpnférieurq pffj;e,nne largçui: frappante .à. sa brançhe
;,^OBtanw,yj(e^.uq .eoatqvv;.arrpndi en arrière à son angle postérieur
s. Son apophyse coronoïde, t , s’élève en forme de faux pointue au-
dessus du condyle, qui est transverse et gros. Les deux mâchoires
sont un peu concaves latéralement à l’intervalle vide de dents, u ,
u , fig. 2 et 3, et y sont fort rétrécies; leur bord y est tranchant.
4°. Les os du tronc.
Nous donnonsle squelette du tapir d’Amérique, pl. I,etplusieurs
de ses os séparés, pl. III.
L ’atlas (pl. III, fig. 26, 27, 28 et 29) a ses apophyses latérales
élargies, mais peu étendues en dehors ; l’épineuse de l’axis est une
crête élevée ; ses transverses sont petites et triangulaires ; l’odontoïde
large et obtuse ; les transverses des trois vertèbres suivantes descendent
obliquement, sont un peu élargies au bout et coupées presque
carrément ; leurs épineuses sont très-petites. La cinquième cervicale
a une petite apophyse sur son apophyse transverse, qui du reste
ressemble à celle des précédentes, mais est un peu plus longue :
son épineuse est aussi un peu plus longue; encore plus celle de la
septième, dont la transverse est très-petite et en simple tubercule.
Les facettes articulaires des cervicales montent obliquement de dedans
en dehors; en sorte que celle d’une vertebre est en dessous de
celle qui lui répond à la vertèbre précédente. Leurs corps sont convexes
en avant et concaves en arrière: ce qui se répète plus ou
moins dans le reste de l’épine. Il y a vingt vertèbres dorsales; l’apophyse
épineuse de la seconde est la plus longue ; elles décroissent et
s’inclinent en arrière jusqu’à la onzième, à partir de laquelle elles
sont droites, carrées et à peu près égales. Leurs apophyses articulaires
se répondent de manière que celles d’une vertèbre sont en avant et
en dessus de celles qui lui répondent dans la vertèbre suivante. Il y
a vingt paires de côtes dans un individu*, dix-neuf dans un autre,
dont huit vraies, toutes grêles et arrondies sur la plus grande partie
de leur longueur. Le sternum est composé de cinq os ; sa partie antérieure
est comprimée et saillante en forme de soc de charrue. 11 y
a quatre vertèbres lombaires, dont les apophyses transverses sont
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