JJjS l)K.S<JRJ-Pa-fp]N,C.>EOJ.()«;iQüF.
JQHX .siliceux j'pulés. Mais ce, qji’ils offrent de pljqts remarquable qug
les premiers, c est tpi if-, ne percent pas les çpuçhes supérieures; ils
Commencent tous au meme niveau. On doit conclure .naturellement
de çette disposition que cgs puits avoient été ouverts et étaient déjà
reippji^lorsque les couches calcaires, .supérieures ont été .déposées^'
:wî^t$>?2rva^on» joÎRt® )à.cell«g|.qae npus avons, faites.sur Ies.fjjffé-
rencea qui existent constamment entre les coquilles fossiles des, prin-
cipaux systèmes de lits calcaires, concourt h nous prouver que. les
É fâ Î J p ont,été déposées, à; ffe^époques^ssez; éloignéesA‘f,
I l|É Ê î évident qu’il a fallu que.lqsqouclÿesj jtj-|
tpntes déposées, que les puits eussent été çrppsgSipai}
, fiae pfr nnHf qui les a formes, et qui a çjù agir pendant un .certain
|tp ip arois comme elles. Je,sont; il a jfallu .ensnitg
cJr;ijt l^SnLSf&ffffipll.8 Pat-lp?,'argilp4 ferrugineuses., les, s,abl,eg.et,le§
que les .eouchqSiÇajcaires qui les ont, ferrp^f1ç soient
4fdRl4??o:?ci^l^S,i’‘1P0P§ °®t dn .n.éçess,virement se,,sucpéd?r'» fifo leur
temps gssejz, considérable, Majft npus, n'avons
aH£uRc donnée qui puisse nous faire évaluerçe temps,, même par approximation.
..
Ct's puits sont (1 ailleurs asse/, communs dans le calcaire marin. \ou^
décrivons pas tous, parce qu’ils ne sont pas tppf[ apfsi remar-
(1 rm^.fs flHer feux_c*; ®ais il y a peqpdç,Ça.rrijèFiÇS qui.p’jeji,présentent;
toujours verticaux. INhus en connoissons un dans jes
carrières de Sèvres, qui ressemble;« un long oaual oblique, à parois
«nJ^mak.jiiUonnées par .un courant; il est rempli de sable,quarzeux-
Il y en a un assez grand nombre, dans les .panières,sdites 4v~JLopp,
daps la plaintj de JVanterre ; , et . tous, sont remplis d’un mélange de
caillpux silieenx et calcaires dans, un sable argilo-ferrugineux.
Le long de la cote, entre Triej e^ Meulan, la formation,.calcaire
çst tr.es-épaisse, et le coteau lui-même, trèsrélev.é, présente deux
sortes d exploitations de carrières .placées immédiatement l’une au-
dpssus de l'autre, le calcaire en bas et le plâtre eu haut. Ici la formation,
calcaire présente quelques particularités que nous n’avons
pàSvués ailleurs. Premièrement léS’couches y 'sd’iit"înfclinééS1 dans
d é s F.is’ v n t o v s d é r .v u ïs . 379
quelques éfldr'ôîts, notàinment' à la Sortie de'Triel; inâis cèïte inclinaison
n’a1 aucune ré’gtthfrité. Il pàroît cependant que toute ïa massiè
va un péu en montant du côté de Méulan, et que lès bariés qui font.
aU' tiers inférieur de la Côte; se rélèvènt du Côté de la rivière. CeS
bancs présentent des' silldhs longitudinaux, arrondis dans leur fond,
et qui semblent avoir été creuséàs pat un côurànt, ils sont eu tout
semblables à ceux que nous avons observés près dé Houillë ifr jj’Cès'
érôsions se représentent encore srir lés rochers calcaires du mamelon
d’fssoud, entre Meulan et Mantes, et se continuent jusque vis-à-vis
Rolleboise. ErisëcondlieUon remarqué vers la partie supérieure de là
formation calcaire des bancs pûissàns dé sàblè siliceux, tantôt pFescjuè
pur, tantôt mêlé de calcaire, mais renfermant toujdüis des COquiHéf
plus Ou moins nombreuses,-et changées'en calcaire blanc'j elles sont
très-bien eortservéès, d’espèces'àsSéz variées! et ariàlogüës la plupart
à celles dé Grignon. Ge sable est quelquefois friable, comme on
l’obsérVe immédiatement à ht-sortie de Trie!'; triaïâqylûs'sotfv’éiit? il
est agglutiné1 en grès,: tantôt tendre, bland èt bpa’(jué j ‘fahtSf'’dur,
luisant, gris'et translucide. Ces deux sortes sont mêTéès’dàlis la thème
couche. On prend la plus dure pour paver la route. Toiitè l'â“céïé‘,-
jusqu’aux deux* tiers de sa hauteur, présente ces Jyanés'dé gfès co-
quillier alternant avec dés marnes calcaires Ou àvéc diÿ'càlèaire it'ssèz’
solide , et qui paroît moins coquillier que ce grès. Il rie fatltt jpaS1 côriL
fondre Ce grèSJfTcf." âveC ceux qu’on trouve présida’ shtnih'éi; dé la
Côté, ceux-ci recouvrent le penchant do la cdllinê, ils'neTont poinf
partie de la formation calcaire, et ne renfermentiSÜOTrie”'co<quille';
2°. ni avec les grès à coquilles marin é ï ’qiii‘Fé'cûttvrOht quelquefois'
lés môhtagheé dë gypSé/ commé à Mdntmàrtrë, ëtC.' Le'ë "grès cch-
quilliers de Trie! sont bien certainement1 ‘àtinlusliotis du 'gypâe’ él
appartiennent‘à ‘là forriiatioh calèàiié,' ife1 ôrit l’es* plus‘grâitds rapports
dé structuré, de formation, de position et mérite dé hauteur
ï i j N ô u i fc’onriois'sobs' lé s otièritionà* fa ite s M . ÏM u d ’ b ô n t r è u n é ’ ü r îgm ë “s e tn t ta lilè '
a t t r ib u é e p a r d e S a u s su r e à d e s é ro s io n s r p f i l a v o it r em a r q u é e s d an s ie S a lè v e ,; cfes e b jé c t io h s ,
q u i p e u y e u t ê t r e fo n d é e s d a p s le ,c a s ^appo rté ip ar.M . D e lu q , n e n o u s p a ro is s e u t pps. a p p l i -
c a b le s à c e lu i - c i .