face du aoU-UipeuventÉ d’après cette théorie-s’être formés ,Uoutes.les élévations
ou de semblables eaux ont pu se faire jour, et la hauteur où ils se trouvent
n.est pas toujours une preuve de celle à laquelle les eaüx douces ont dû être éle-
V es(i).; ce sont les plus rêpandu^ïea<j0tïffetaÊdes environs: de Paris , du-Locle
de 1 Italie, etc., ils sont rarement mélangés: de corps d’origine marine.
Les autres de structure grossière, résultants pour ainsi dire de la désagrégation
ef dsi 'làvagevdéila stirKôe: du sdnt fefAùfe $ S r^ ie -d e •« ffikW tS tS b r fd
des eaux d w a fe ^ ï i lè ç i ih ? o ç t i i t é tTO®i!és»dlsMQntrJseaiiooup moins
répandus, moins purs et peuvent renfermer des débris de corps marins; c’est
!? te! 2 m ? ° EJnmgen’ °’eSt Une partie la Limagne d’Auvergne, c’est probablareenlscslHi
rdesoalrdgisl.edsc; ptleursr taiiqnu eds’e.,aeqt .ddens^jeû,i gqnui’toens. ToGbsièesrvtieië §nigingi& Ip'sse,bestWa.mJemMijsees. molasses de la Suisse. * . r
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du etre soutenues alors à cette élévation. ■ ÿ S 9? , • -c r - ■ & ■ > “ ïT-Tufü? I9.upiD.QX 119 D 91Cflg20(J 8Bq 389 XI II jjp Jlïloq U fi 4mAmf JnfiJbno^flos
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■roulés,mim9^''j3?''àTWBRmÿsxiii-Bmi ■ 2
...NioüSeavohs peu de1 cltoses' <i ajoutor il co que nous avons dit.sur
b!ês,'Wrràini§!, la distinction qüë’ÏÏbRs ’a^tiqs'adrïiisei'en'tVë'lëS terrains1
de transport et d’alluvion, les uns anciens et les autres ïnodérnés,
distinction quç npus.avions dèsrlors indiquée, devroit nqqs qondpire
à ado]it(tsv la même marche dans lour description géographique. Mais,
oetîte -préeîsioinî quèlquefois‘impossible 'à suivreÿ seroit toujours:
sftjhttë:âi’dët|i%nds> incohvéhienS jhëstêrraîns Se touchant souvent, sé,
confondant même au point qu’il n’est pas possible d’en indiquer les
limités; d’ailleurs, outre cette distinction d’époques, lesol de transport
et d’atterrissement a encore deux positions différentes aux environs
de Paris, qui marchent souvent d’accord avec leurs époques de formation.
Dans la première il se trouve dans les vallées ; tantôt il en
remplit le fond ; il èst alors ou de sable , ou de limon proprement
dit, ou de tourbe ; tantôt il forme dans ces mêmes vallées des plaines,
étendues assez élevées au-dessus du lit actuel des rivières. Ces plaines
sont ordinairement composées dé cailloux roulés elles descendent
vers le lit des rivières en forme de caps'arrondis qui correspondent
presque toujours à un sinus à bords escarpés qui forme la rive
opposée.
Dans la seconde position, et c’est la plus rare , le terrain de transport
se trouve dans des plaines éloignées des vallées actuelles, ou
même sur des plateaux assez élevés.
Nous ne parlerons point ici du limon d’atterrissement que forment
encore actuellement nos rivières, et qui appartient évidemment aux
temps historiques, mais seulement de celui qui, par sa position, sa
nature, la grosseur dé ses parties, etc., ne peut avoir été déposé par