, En voyant cpttç espèce on k croit figuréepresçjue partout, mais
quand on compare „cet ammonite aivéc ces s ’ on ne Peu^ | | |
en r-^npoj'^e^ suceee; ^ èR bien probable que cela est
" en parue u u a l e u f imperfection.
iosg orfl .io .aietTcWtd^fesofise de 'Catèiievetdastiispôsitidntl^s côte^sür le dos en
( d-f f , Ht .ÇÛ.) esjiîjdefedetdiev'rértS quiAaîàctéiisentcâtte espèce.
„ XUserojJj d c r ç^ yw ^ b ^ ^ g e c e ,Ç i t l'Jmjn. de K w r r , I I , I ,
; ‘ A , ' i l , fig. i , cite par M/BcKlolthejm. cgmmeïgure de sou Amm. franconicus, ou Y A. dorsigerans de Scldottheim citant
-BaySP,' èî^Èfi rffeyH#?IITy fig.4®» f maiS'qâe péift-OÂiiéterminer
r i t .s*qt d’après de t e l l a ^ g f f e ^ ^ j j j q ^ 5 ,,,-,5^ ,^ . j , « R
s Fi". B :,*A yB. UrrpheàFoImnbiiiTav. ,An.san*vert., t .Y l ,p . 198,
; h,iv an W M > W | W . . . (Pag. 3ao.)
je GyiêtqaiJ'est fîgWt&crèïi kotroivveksSêz eïnStamment dans les
terrafgSW^lÉ le^ MBtolB ^ étPg ktf^i8%BltPfiBfea u c alpin qui lui
in rdsbemblè béàüeôujESPdbïftiii' est même diffigle de définir la diffé-
'rèttCet'Cèpourroitbiea^êtréPSspëcedéSigSéeîp» M. Schlottheim,
sous le nom de G rfyfntes* rr»t(5'Ao«e«.f àPjicitanl Kjiorr, I I , pl. D ,
™ d -S ’ ; l l ' s ^ ! 3’i e i> 89fe îo l «Waw to sqteD aFig- 9 , A , B. Grxphçaauriculemsy A. .Bn. ^ . . • -^(Pag^Sai.)
;d' ' Elle a bien qumqbe??àpÿBs avecle G?r. mais outre que
3 k carène de celle-knufékiste pas dansda Gr. auriculaire, cette der-
* • 'nièrçfcst gén^i^^mejitbeaucot^piu's 'petife.. H seroit possible que
ce fut Te tjy an^istu^n0« éo, ^e,M• .dé l^timarcn, mais les espèces
‘.â p Iv e q t'é t re y^ rm ÎH r a â i çtés livres qui sont à la disposjtion
qc Hqut le^ o n a e et non. au nioydn cfes collections. C’eut
donc été annoncer unp iuenme très - incertaine que de décider
, d’âpres .une* plirasfe a^nd'|fgne'qur;peüt convenir à bien des es-
t !l pèçes Lqjj que oelle‘ (piê uotijs'dqnndns esll^j même que la gryphée
, “1 _^i^OT&'r»àr cette pTuSse. ‘
™ fë ttfte sp ioe oua^mmns une qfiî énësf\resr8toisinesetrouveà la
1 ' rfoâa ffè'd anHn terrmngu)onp£ÛÎ1âqssi’rap'porW àlacraie tufau.
lomnsè'iq lwoq noup atsnt iS t fin sm o l un omioi si aunouTAq Fig. 1«, A ,B . Càssi»Vi»eU>iiàtpJ*îBi>.J4M *(•$•8) 319, 33a , 336.)
mol si n ^ i^ è n d Jà'rf^eftriieràd(iiéct '!cette coquiltelpour une ampullaire
|-eùn Jw bu «n tnrbô, ««SbIWOfeitWteKtt de iàlpatjtiesjpterne du bord ex-
.'ie ik '^ êU fi:âfil^VHfMrfe,t «fà’éW voit même'éiffJles moules de l’inté-
finoOob le canal iïJéOjirbéq iÿM&drd de la lèvre en font
.aoiatisjalb iibiifitg mtq ço tnab «anémilnoo et s ____________
Pl. VII.
D È S E N V I R O N S D E P A R I S . 60 9
un vrai casque assez voisin du cassis O})li(l 1 KttLl ( buccin uni obi. ,
Brocc. ) , qui lui-même a des analogies dé forme, de s trie , etc. ,
avec l’espèce vivante nommée cassis granulosii.
Fig. 1 1 , A, B. Inoceramus concentricus, Park. , Trans. of. the geol.
so c., vol. V , pl. I . fig. 4* — Sow. « tab. CCCV. . (Pag. 333, 336. )
Fig. 12 , A , B. Inoceramus sulcatus, id . , ' i b . , fig. 5. — S ow .,
tab. QGCVI. . . ...................................................... ( Pag- 333 > 336- )
Fig. i 3. Scajihltcsobliquas,Sow., tab.X Y 111, fig. 4-7■ (dag.31 9 .335.)
Fig. 1 j. Ammonites clavatus, D e l d c . . . . . . . . . . . . . . (Pag. 335.)
. Cette espèce est très-remarquable par ses tubercules saillans ,
un peu aplatis, disposés sur quatre rangées e t sur fin fond lisse i
. . et par sa double crête denteléeen scie, qui ne se remarquoit dans
l’individu figuré qu’à l’extrémité de la spire.
Jen’aitrouvé ni dans Knorr, ni dans Sowerby, ni dansReineke,
ni même dans les collections que j’ai pu consulter, aucune .espèce
qu’on put confondre avec celle-ci.
Corps organisés fossiles de k craie ancienne.
Fig. 1. Ammonites Seltiguinus , A. Br.............. .. (Pag. 335.)
J’ai cru au premier aspect que cette espèce avoit été déjà déterminée
, ou au moins indiquée par des figures, mais en 1a comparant
avec celles qui lui ressemblent telles , que les ammonites Greënoughi, heterophyllus, etc., de Sowerby; et en comparant
Ces figures avec celle de Y ammonite que j ’ai nOhimé Seltiguinus,
on verra des différences qu’il semble suffisant d’indiquer. Ainsi
les côtes transversales, dont j ’aurois vu quelques indices sur l’empreinte
extérieure d’une partie de cet ammonite, et 1a forme
de l’ouverture le distinguent du Greenoughi, ou du moins k
figure n’est pas assez nette pour qu’on puisse en conclure l’identité.
J’en dirai autant de Y heterophyllus dont M. Sowerby n’a
pas donné k forme de fouverture, mais qu’on peut présumer
d’après celle de k carène, etc.
Je ne tire aucune différence caractéristique de 1a forme ellipsoïde,
quoiqu’elle se montre dans deux individus, il est très-possible
qu’elle soit due à un état de compression particulier.
L ’individu figuré qui m’a été donné par M. Selligue de Genève,
a aa centimètres dans sa plus grande dimension.
f k j . A , B j Ç. Ammonites Beudanti................ ujf fttf- 33j , 335. )
Cette espèce a beaucoup de ressemblance avec Y À. discus de
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