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est deg.inèt.
. ïfp minéral que nous. yenqnîgçle designejç §oujs,le.nom de rnagnésite
É f M ' - , B f i f t h i e j | , 1qp^i;a trou ve composée
ainsi qu’il suit ;
MSgiesféUUXQ î j WlV. îpH . ^ ‘.j. B 9W ^H 0O ^!> i!tVHj;c> ?.9?,?,B^B
•,-9Hk4îsi->iso- oU. ^.àiülejfhs. .\.uuji i afer ./HiiiifÜfifle
x l a tu . . . . . . .r . .......... r. » 1 . J . - . X I .■ * r -, - i
j iÜ a în in e ................: ....................... B H hB § $ _,rirfTrrp t q ‘f['V\ Y/f HaaaiiHH VT i i IUhIB S ■ ■ v\h ??,/}-
irionoa.
JVon-beul('TU(;iit oïl il avoit reconnu la présence d’aucune pierre
lïotn'blciricri 1. magdesîèiinë aux environs de caris,, mais on ne ^oup—
gdnribit ipà^‘ thème ceffô .d’un minéral .ou da* magnésie alicatée^àvec
1 éàiï s&It'si pure, cat bïr'voit alseinënt que la pétite quantité cfaln-
mihb'îiîyaëéi' qtfâcfiidèhfeîld/’'"1
‘(Je if’ëst [>as ici lëlïèti de îkire ressortir lés rapports remarquables
quë^ee lifinéial1 pré^ëritb dans sa composition et (1 ans son gisement
aveédeS'SûiiéS 'giséiheiïs'cîe niâ|néslèé connusJf ^Sus'Venv^ons^'u
Mémoire spécial qhë Tùndehdhs à publié lur c e 'su jèV Ç i^
contëntêTëris de'faire fémarquoef’^ é ï a ^ ^ t ^ t& p a & e ^ ^ n r e . r
sensiblement la même composition que la n ^ l^ ^ e è â ld is sO T a ^ t '
de^Gffstellaihorrté p tè ï Turin',' dë‘Tallé'cli m ' i î ^ ^ ’âejéaloene
près1 Montpefflie’r; dë Hbubritch !ën Moravie eFde Kiftsc&i|'^°Na-
tolie, comme sous lè'noniid’écdinede nfèi\ Jlli
. Quoique ïes-tërrainS qui rërifërrnent ces^V^nesiteFsôient.généra^,
lement ideTormàtïOri’quMijùefois ïrei-d|ffere'nfe ®°iiCp'resentent tous'
1 association des silex, soit corné, soit relfiâte^avec^ia magnêsué™
Cesi^énéralitiés'géoldgiqüte'teâdent'y'^nfirîn’M. par de ïôuveaiix
faitsj- que noh-'seulèttïéiit lâfbfinàtibri diés espèces' minérales, maîs’en-
cdre-celle dés tSrrtflftif qtfféK^ffelttéfa't'ÿ^yàiaonj a'1^ snn’mîc^l "
des règles qui parOÎsSent M'toêinès pour toutê'îa surlace''du globe.
La colline # Champigny, sur le bord de Ia ]Marne j; et à iVtréipjté
( iJ M . 'S r o n g - n i i r t / À n n . d e s M in e s , ,18 2 2 .
I MMBHHMB i i r a xte’ fM I s : I Mfe
occidentale du bord'sëpteütrlbnal ddi grand plateau ' ddHiWcaîtè siliceux
,' 'ê8tv,u‘n id'éS‘pëintS'1'OÜ 'cë’halcaïrë puisèef etie 18 plus 'facilement
étudié,’et un dé ceux où il prëSèùte'seS Caractères Üê la'manière lâ
plus évidente. Le terrain est formé dans une grande epaissëur dé
masses calcaires compactes, réunies par des infiltrations,de’calcaire
spathique., de quarz cristallisé , de calcédoine, d e eacholtiiîg et de
silex mameloné et coloréenrouge, en violet ou èü brun. Quelques-
uns dê eés silex, comme Ta découvert M. Gillet-Laumont, offrent
CCS couches planes et parallèles de calcédoine et de sardoine que
l’on recherche .pour la gravure en camées; enfin on y .voit tous,les
passages possibles du silex dur et translucide opaque
et’m wlê comme de là craie. Le calcaire est gris et cpmpapte^.etrfin
doipnjië, celui du Jura. II est infiltré fit pénétré de silfix, et on l’exploite
dans ce lieu pour faire de la chaux 4 ’unq.ttès7lp,oimeiqHalitiéi.
Cette exploitation ayant fait creuseret j-ernuer SjâttiiiuJ gr<ind,iiçiimhre
de pômts léJterraînMe cette_colline,yiq.uSfa..pernijsf.die,,ç.çfihercherHsi.
noüs né pourrions paj; apercevoir quelques débris dp, mqnilla« foyeifo».1..
soit niarinps,. soit fluviâtiles : lions n’en avpnsyu.^pçpn.inqlice j bmî&'
le sommet dé. là miontagne est composé ,d,e çilqx fit de,yneulière uen-r
fermant dès coquilles d’eau douce.*
En Jsuiyapt les bor.ds.de ce pjatqaii sur l&rjve droite de là Seirte SI
on voit pijes de qlelun le calcaire siliceux qfin^érmant <fe;nsJseS.pai>-
lies supérieures une grande qua^tit4,decQqpdlps,d’e4u.,do.«içe,.
Les .collines qui bordent la rive droite, de, la Seinei^.à l’ouèstUde
Mèlün/'sont composées, en partant de.la surface et immédiatement
aii-dessous de la’terre végétale :
1°. D’un calcaire blanc,, tendre, ne renfermant pased’dssises dise,
tinefes/mais disposées en fragmens d’infiga:les,gi;osse,urs.<,Ge calcaire
est traverse par une multitud,e de petits,canaux souvent jaunâtres; il
renferme un grand nombre de limuée^.de planorbes,,,^}» , ^
; a». D’un calcaire très-dur, jaunâtre, susceptible de poli, phfs
compacte que le'premier, présentant, non pas des tubulures, mais
des cavités'lrrégulîèfês remplies de cristaux de calcaire spathique, Il
renferme moins de coquilles que le précédent.