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Terebelhmi conuohitum.,. n
T^urriteua. r * XJohus.
Cemmjqnf Assez sémbiablësàu 'fâreïra
• vulcani de Ronca, •
O s ïr eU d e h o id ë a P ' L am.1'T r è s—grande
très-plate,: -dffFérentèVdéqcelles du
calcaire marin «up#îéûr; ' "
Os créa cyynbula. IiJM.-Parasite èt folia-
“ 'eC semblable en tout à »belle de
Chaumont..
P&çten orbicnfaris. L am . Sow.
— injurn.atus. L am. ^Çqrdium porulosum. L am.
~ ffiUQuwn? - -
—- teîliruiria?
— nitiduîaT
(9 e® coquilles sont en trop mauvais état
•'"‘jpoito i^ ô t î Jufâ'e'iiw sffr àè leur détermination.
)' • 1
PortïSÀVou afticiilhti oiU’ dfuistërias. TurbiriolÛz'süîcàia L amï. A. Br.
pi. y m , 1 Bg^j^
^üne ^ am ité irntuense dé dents de poissons, et notamment de squales, tous
Aux carrières d’Aifligïien , entre Gand et^Bruxelles ^ eàmémes .cïrps ,et le sable
quarzeux d aq sjejuel ils sont disséminés sont fortement aggrégés par un ciment
OE S K I ïffjll extrêmement cavefneuÇ. ?
On fctoira feedétoent qu û y a ÜÜ bien plus grand nombre ^espèceïque c e f â nue
' ' S d : “ ommer ; mais d me semble que cette énumératiolsuffi^pour établir
une ressemblance p r e s s é évidente entre ce terrain et le éalcaire grossie'r Æ -
neuran gypse des environs de Paris. ‘ i '1 ' u>. -l l i « 6 , ijgilaoq 3*q W n
^ é ^ a i l a s l ;afBm.èr également du t& * f c d'Anvers
q 1 paroisk aVonr avec Celui-d ; j ’en ai trop jpea de coquillés,' et celles1 que '(ÏÏ
sont la plupart des espèces inédites. Mais M. de La J o n k lr e , de qui je le/tiens '
compte nous faire connoïtre ce terrain avéc les détails suffisais , pour ou’on p u T i
avoir une qpinion.sur le dépôt mark auquel il appartient. “ 1 ; ’ 1
Je terminera, 1 aperçu des terrains de calcaire grossier dans l’Europe orientale
it éF6T d f ' eSe“ P é A n“ 8 qUatre P° intS asse^ lo ig n é s le su ns â i k u tres et
situés sur des terrains assez distincts pour qu’on ne puisse pas lés regarder comme
dépendant * un même dépôt. Ce sera donc près Màÿeftoej’aux ènvmoris devienne
en Pologne e t etf Hongrie que je choisirifi céS derniers exetnblfeé ‘ ' ; ' ' ' ' 1 P § ’
riveS d„ Rhin
mais principalement sur la rive gauche et ensuite/sur la droite dans l ’angle mÙre
le u éîeWe ’ ,tantbVerS t » « « P * » de Weinheim, descollinll
peu élevees p.pouches horizontales. Ç’est ainsi, du moins que se présentent celles
du Veissenau,que j ’ai,visitées; elles sont composées d’un calcaire q u U t o t e
t e appgrenceai extérieures du calcaire grossier, et qui renferme comme lui dis
coquüles mannes en grand nombre, appartenant la plupartaux mêmes genres- ét
souvent »sort à d e s v espèces* identiques , soit à des espèces très-voisinës dè celles
que nous trouvons aùx environs de Paris dans une position ariâlo^tië:1 ;1J
Parmi ont été indiquées et mêtne'figûr^es pàr Faujas,
quelques autres nomméé&par M. Schlotheim, d’autres enfin nommées et figurées
dans le Mémoire dans lequel j ’ai réuni les descriptions d e quelques terrains de sédiment
supérieurs , je citerai les suivantes :
„• excavatus. ’ ®R* h ; Méap -MK ,les rtççr,ain!s.4e séd. su p., )
p l . Y Ï , f i g ’" i u . ^ 0ÎÎ<
t ]L d& i,ff le lic ite S ç
ampullaiiusj S & j~
M u r e x . Fusus. ,
' Û o n u f , ' ,
■i: 16 un ^dn^u^ria.
C e r ith iùm m a rg a r ita c e um ? Brocchi.
of ^A^'Bfe-cMéiSVëil^p^lî r'.f
Çep.0icaium:BRÔCGm.hm. (ÀtBR.ibid.
; p l . i Y I , f ig . 1 2 . ) .■ ■
— C^^J^êpfLAMri !ï | lJpt§(fâ$pon$erpwfs-&çaiiiP'iiv ■
.JI^tilug{Fauj0$ & An», du Mus.
t . 8 , p i . - L Y I I I , . ;% , ,Æ 35iï4 - ( A . B r .
M ém . c i t é , p l . Y I , f ig . i 3. )
— Brqrcli. F^m.^ibid; 11^2 .
^ ^ ( A . B r . ib îd .^ p l . Y I , f i g . i 4 0 (0 "Pectûncuîus voisin dupulvinatus. L am:.
— angusticostqtus, L am.
1 uüm,èdiniiiiïùia? '?
' ' ‘ Cîé'è cBquilïès^Mfesëhcé ’dès genres % appàrtieqpérit aux .terrains inférieurs, et
l’inspeet^5ii^âèi ^^u^esftson\/de^ caractères certains pour rap^ort&r ,9f v®,rra^n ^
forinàïidh vBBs férrains l e sMiment s.ûpérieurs.
keffi pas posSâe'î'cl'u moiiu ju sq u ! présent, de dite ^l^ublle des deuxfovinations
marines - de ce terrain on peut les rapporter. Sa nature calcaire , . 1 abspnçe du
les- lui- donnent quelque vqsseipblançe
al/e'é!ies'ïeriains supérieurs. C’est, une question que j examine avep.pUis.de détails,
daMToWvrsg^qudyai cité. ^ ^ ananoi/ijqo sa-
Secondement on trouve uàris ces memes couches, ta'ntôt en lits sépares, tantôt
entièrement mêlées avec les eoquiljçs maripes? mais spécialement avec leamouh's,
un assez grand 'nombre. de"qpquille.s non.marigçs. Les unes,.sont des héliçps bien
caractérisées ", disséminées au .milieudes pp.uQbqSjp les autres sont des pietitcs pa-
ludinès en quantité si prodigieuse qu'cllçs fopnent des bancs qui en.sont uuique-
kèdt3!c om p S s !Ui jV ê n a deux esjièçcs quj .onÇ.été figuréesfpapM.du Mm. laujas {Ann. t. 8 , pl. L V l l f , flg. 1 , -x, d ‘; 4 > l'tmi' da.fgpçqurcie; bg- 5 ,- b . 7 1 8,
<>1 JH;’- S c h lo lb e lin d é s ig n e d e u x m o u le s d u t e r r a in d e M a y e n c e sou s le s n om s d e Mjmhles
incertus e t-ù r r iin rÆ .* - M a is c om m e l ï n e !d o n n e m d e s c n p U o n m ‘f i g u r e , g u i l n e " c ité p o in t
c e lle s q u e M . F a u ja s a d o n n é e s d a u y le s Amiates-ciu- M u s é um d ’Ffi.ito îi-f u a tu 'r e llé , ripn-s'cQ-
lem e n t je n e p u is s a v û i r .s i c e so n t c e s ; d e u x m tfu lë s q u e M . fic liîd t lr e im a e d e ï V il v u e , m a is
jeLfioUiUiême e n A o u tè r d.’a p r ç s l'om is s io n d q l a c ita t io n d i i S K i i lb ï r ë id é 'M . 1 F ëtt j'a s,;Sn sê ri;
dRns.tt^vQuvrg guauqueJ .MvSpM^^^i^®' r g n y o îe so iiY ent.
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