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environs désira Ferté-sous-Jouarre, sur la rive gauche de la Marne,
des buttes gypseuses absolument semblables par leur structure à
celles de la rive droite, que nous avons décrites au commencement
du § for. Ces buttes, la plupart exploitées, sont celles de Villaré au
sud de Vitry, de Tarteret. à l’est de L a F e r té , de Jouarre, de Ba-
russet au sud de Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux, et plus à l’ouest, en
allant vers Meaux, les petites buttes de Dieu-1’Amant, de Baubry,
de Boutigny et de Nanteuil-les-Meaux.
Oh trouvé ensuite, en allant toujours Vers l’ôuést ji,ïés1plâttièïës
dé Quincy. On y voit les marnes argileuses vèrtës tfui 'ïëéôilvÿytit
ordinairement le plâtré1, et au-desàùs le terrain siliceux d’ëàn ddnëë.
L ’el ‘Couches gypseuses renferment des os fossiles ; c e q ù id o i t
ftire supposer qu’elles appartiennent à la ptëmilfé massé.110
La colline d’Ebly appartient à la formation gypsettsëill y a dë‘6e
point, jusqu’auprès du confluent de la Marné avec la Seine1, Une
grande étendue de terrain sans plâtre ; mais on doit remarquer que
lè calcaire marin dispàroît également, et que cés deux formations
reparoissent en même temps près de Cretéil.
La colline qui domine Creteil, au sud-est et au pied de laquelle
S'éivdit lé hameàtt de Meslÿ, fait partie de là formation gypSéuse. Le
sommet de cette colline est plus élevé de quelques mètres que l’entrée
dès plâtriëres. On trouve d’abord des marnes argileuSés vertes,
dés marités halcaires dures et des rognons de gypse ëristalHSë, vulgairement
nommés grignard.
On y admet aussi les trois masses. La première est !à trente mètres
de profondeur^ elle avoit un mètre seulement de puissance : èlle est
maintenant épuisée. La seconde est à trente-quatre mètres ;-- elle a
environ un mètre quinze centimètres de puissance. La' troisième,
qui èët à1 trente-huit mètres de profondeur, a un mètre trois»' décimètres
d’ épaisseur ; c’est elle qu’on exploite actuellement,1 Elle «et
composée de deux battes distincts. Ces masses sont séparées pat dés
lits de marne feuilletée. On n’a point encore trouvé d’os fosètieë datts
ctri Cétfclfes de gypse.
- Onmë 'chiinolf an sud de la ligne que nous venons :de parcourir
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aucune carrière.:: idçs plâtre, ni .mèm&attewneiefilline qui puissetlétre
:regafdée. çomtne-!ap,partenant à.ce,tte formation.> -r
l $P III. Rib&gauehë.'da-la> '.Seine. «£>
La rive gauche de la Seine présentg.upg. vasis! çfjentjue, de. tesigin
,qut;appartient.,.^jJaqfqqpgatipn^gypseusgj, Qn^’y,,;netrquy“y.^asidu
plgtyg^ns JpnsAq^?points|ymfi%5E.àKt9^c^[yj!y;pit,leç1marn£!S!ygyt,ep,
lgg,gyis1taMJ(fc,sélp9ite.,;gti jfwent,iqêm,e lgq
.^fliSt^pptigne.sulfgtée qui x^aGt^üent.,çette)|qcn^tipu^^aggrtgt,ep
fait voir pç' â lÉ & i tîfSf
plus, ^epiafqg^]gjS..qup( À .
JjuJlia3^perpp^tian 4H ,8S;P,sf lq,g^gire'gi}$ R9PPrTje'i!Mifv*4pi?>Ïe
d4p^cg,fiap,tqp. Ainsi, dès qu’on monte jTiiiais,; â ^^lî^ejjijf? j q.
.gnepx, à|"i Châtillon,, à1Qaq^art..ûn,quii;tq;lp(iplailiean Q,P
s’élève sur le terrain gypsauy» j .
jirJjé.s pçemièps^^Eriqresgqntjgelle^^éf.Y^piPè^jÇA^jgfiilA6^ 11!-
tçeS;,.4,esjaagrn.es (Ygrtç§, les^tronjiapqa^’îViltées et.ijjeSjljagç^dçîgypge
coup leur ab èvalè gnlq .
, J1 y aégalenaent.dugypse |y,ers;r'gxuxirnité,qcicîdentaje de ce plar
teau, dans. Je vallonulqiMeudon, .sur le.chemin de ce village aux
Moulineaux ; mais on ne l’a pas exploité,
En suivant les jientes.de ce nicuie plateau, on trouve les plâtriçres
de Bagneux, de Chàtillpn et deÇJlamaryquiforment la première
ligne de ce,côté,,,,et qui. sa ressemjilentdans tous les points,,:, ,en
décrire une;, {c’est faire .connoître les- autres.
l i y a vingt mètres euyiron dp i’oqyerture des puits à la première
masse,1 c’est-à-dire des marnes àilaimassa exjiloitée; car ou, se garde
bien de traverser', les . sables qui,, pl us. au ;sjid °u à ,i’ou,est, roepu-
went les formations gyps£p$es.,Ppl!Ç01uy,e4’4 )0.rdlllejS marnes grises
et jaunes sablonneuses renfermant des coquilles.fossile.yd’huître,
comme à Montmarti'e., La,rnass,e de gypse yarie beaucoup d épais-
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