cessation des phénomènes géologiques qui ont eu de l'influence; sur l-inclinaison
des couches du Jura et le creusement de ses vallées, et qu’il à éprouvé l ’influencé
de ce s phénomènes; ; x ; !
Ces'CQiiehe&sent prineipalement composées des rroches 'suivantes^? i l
i°. Un calcaire compacte , fin >■ grisâtre, icrihlé . de petitesi cavités * iferavéràé dè
petits canaux sinueux à la manière de tous les terrains lacustres et rempli d’empreintes
de coquilles, d’eau douce ; les cavités sont souvent tapissées . de calcaire-
spathique cristallisé. >
L es coquilles sont : des limnées ou qu’on ne .peut déterminer à cause de leur
état imparfait on qui ne sont pas décrits. Le plus gros est certainement dans ce
dernier cas5 il a près de cinq centimètres: de long- Une plus petite espèce parûît.
avoir beaucoup de ressemblance avec le limneus strig&smj des planorbes qui par
k forme et la grandeur se rapprochent du PL prevostinusj des hélix en moindre
nombre, qui paraissent très-voisins de Y hélix Moroguesi.
a0.-Une marne argileuse, friable, feuilletée avec les petites cavités angulaires-
indiquées par M. de Boch, et qui me paroissent; être, au moins pour quelques-unes,
dés empreintes de cjpris faba.
3°. Une marne calcaire , blanche, tendre, très-fissile, renfermant entre quelques
uns de ses feuillets des empreintes fort nettes et quelquefois même le test de la
coquille d une petite espèce d’anodonte. Là longueur des plus grands1 individus que
j ai trouvés, n’attéint pas cinq centimètres, k
4°* Un silex corné brun, fissile, à texture1 un peu grenue,' rempli de;planorbes
et de limnées tous petits et d’espèces différentes; de ceux qui se voient dans lé
calcaire n°. 1. Le limnée à quelques points de ressemblance avec le Z . aeùmirtatws^
mais il est plus atténué , et beaucoup plus' petit ( au plus treize! millimètres ) pet-
on y compte sept tours de spire. Le planorbe dont les plus gros1 individus n ’dnt
pas trois millimètres de diamètre, paroît appartenir à une espècè non’décrire qui
se rapproche un peu du planorbis cornu.
Ce dépôt siliceux renferme des lits d ë -silex grenu, qui semblent entièrement
composés de débris de végétaux qu’on ne peut reconnoître et qui.loi donnéntpùue!
couleur noire qui a probablement été prise pour un indicé de chafbonfossiléi On
Ta recherché dans ce Heu, et on en a trouvé en effet une couche de six à sept déci- ,
mètres d’épaisseur, mais de mauvaise qualité et renfermant, suivant M. de Buch:f,
des hélices.
Ces différentes roches forment des couches qui alternent entre elles' je n’ai tdéciût
ici que celles que j ai vues et recueillies; en employant des expressions minéralogiques,
qui ne permettent pas de les confondre avec les roches à peu près de même
nature» mais de texture différente et qui appartiennent jà des terrains beaucoup, plus1
anciens. i l paroît que, la marne calcairee fries silex sontjsitués le plus 1 profondémentl p
et querlé lignite.terreux «sliplus près delà) surface i 1 too
' ^ fvrtain lacustre nest iremarquaMe pqrFsa .position ?éléyée y par T’inelinàisoA- do
sès^ëouëhésl, icfe pariai présence des coquilles bivalves si rares dans les terrains
dleau 1 douée «onaa|ès jusqu’ài présent 5 il -montre; d’ailleurs.tous les caractères des
autres terrains de cette formation, c’est-à-dire l’aspect du calcaire . colngaete éfc
caverneux, l’ass®iiati,oujdesfi,ochesixalèahïça';maraiO(CTsésqetrsïlipeuse^..Ja,rpréseilce
des débrisde végétauxrefc celles -dès(éo:quilles?terrestiles
■ Un terrain .célèbre depuis long-lenapS par <lés nombreux débriS/o^gâniques' qû’il
renferme, et qui ont excité la curiosité de tops les amateurs d’hiytoiT'e'natürëlle,,
estccekti quir est placé'près à'OEnimg0mj.mv/la rive droite- d u Rhin à sa'sortie du
lac de .Eonstaiice^îaujplns à une heureJet demie de; dbeminr( k pied )’ de lap e thé
villei.de tStein. sti
Les iroches qU^ renferment entre leurs' assises lesfnbmbreusesfpétrificationscde
poissons:, de/iteptiles'} d’insectes, de\èbquilles»! de: plantes, sont à mi-côte sur:la?
pente qui part de la rive droite \du Rhin; Ce terrain m’a paru composé de deux
sortesldç aroches très-différentes minéralogiquementmaispresque toujours-associées
d anak <grandei(V^ée, de la Suisse: quisépare de-Jura des’ AlpeSy et au; milieu de
laquelle est situé le gîte d’OEningen, Ces roches, que j ’ai souvent; eu occasion de
citer dans CêtuOUvrage parce que jo ie s regarde comme de même époque.dé formation:;
qun lotcîraini d e Taris ., sont .y en aflaàt des? supérieures .-auix inférieures^»// ap. îLfeipdïtdielgWO} polygénique^iiagelfiuety II est ïebmeuble?* seqmppsé dë 'cailloux
roulés et de sable, forme le sommet dekeollineauip ied de: laquelle ds£ située -
ka#ahOîà^pdtrificàtion,y>çten reqonvre,.en partie :> tes penifeesd Mal grédaldififér oUce
dé texturmetomêmeide nature; qu’on tféùVe entre'éeiÿaggidgateeifrlessàuferas pbuv..
dingues polygéniques, beaucoup deicajîloux etdersâbl^ lui-même^dtant siliceux,
je-ne (doutôxîpâ&*; d’après Ja icontinuité d e de terrain ÆvejP>lpàtipoüdingùeS ;dit,-reste,
deîlàxSuiése/yiquihn’app arfrienne à ja même.’fnxàuàtion qu’eux./. >oi
-a;?. LaVdcbo)in£éripure>oontribuoàdo-prQuver par;sa resseibblanéo*générale' avec'
le psammite molasse qu’on voit près de Vevay et dans, d’aiitrés lieuxau-dessu^ de-
ce-,poudingue. Ce..terrain appartient donc à là spiis-formatioh du psammite' molasse,
quoiqu'il oaxolsoit pas: entièrement formé de. cette? roche;
aDétdtiactueldlesi carrières1 qui sont-abandonnées.dépuis long-temps >,-• ne m’a pas
permis jc|’^ s e r v e r !( eri 1817 ) la succession complette des lits et des douches 1, mais;
j ’eiî'aihViitsufBsàmment, pour mon .objet'qui é toit- de .'dé terminer à quelle {formation ’
précise on pouvoit rapporter ce gîte célèbre de pétrification.
La'éarrièLqdoiïtijodonne'ieida description ;e b k coupe‘(ph H-, B v,‘ fig-.'4)y e&Ola
plus inférie ure' e t p i^sente un- escâ rpemen t dé huit: à 11 euf.mè très .9. rrp,
'An^essotisùdesixàilIohxanuléâK[üi dontînnocdépdnd^n^ d u rdépôti éupéfiopi^
doriqj^!iviensKÜei.iiparlér2‘sè .'présentent ren: -do'marnéeàrgileitsW'dt-'
sablnniQt^isGljaqiîMre^i B-uiiipetit haine deicc^décimètreidl^aisspurode] j&affiîiïtte-
molasse, mais dur et tids-consktabtvCiudecéoqGhécdé,mapne,ài^Iêü^éj^tinâti’è'
trèsHtoihathe;iyép*idéên''pHtsieürë5tssises»par?dèsuM'lu:e5'tïèS?ïnirf4ë8-d>lifipsâMihite