f De la craie de.Rouen et :Il est souvent tellement dédfeo lram Pée rqtue’ donu Rnehô pueeu»t ( le reconnoître qu’aux stries de la boucle,
if terM qouuel ec ein ntéer iseouitr ,c meluaiis d o’unn n ea mpepuutl lgauirèer.e dou-
Wi faiDteemuexn et srpeèccoensn. o—is sEalbleles ss poonut ér cêrtarseé dees vméariista pbalers- iI acuér ithes, et l’une d’elles est tellement semblable cerithium mu t a b i l e de Beauchamp près Paris,
VI rqéuree njec en ee nptureis ejlulesqs.u’à présent voir aucune dif-
Cassis avellana. — A. Br. (pi. VI, fig. io).<
À m p u Ü a r i a . ............................................ '... <
C e r i t h i u m . .......................................... ............J
T n o c e r a m u s concen#r/c«*.-pARK.-(pl.VI,fig.ii). De Folkstone, de Rouen etdela Perte du Rhône.
— sulealus. Park. r— (pl. VI, fig. 12 ) .. De Folkstone et dela Perte du’Rhône.
t y t h e r c a ? . . ..................................................| Moules absolument indétérminables , même
L a r a i u m ..........................................................T pour le genre, excepté ceux de Y a r e a , qui ont
Pectiincuius ....................... •...........................\ beaucoup de ressemblance avec lès moules in-
A r e a . ........................................................... .... [ térieurs de l’arca^noe. ,
Terèbfirea. tulaornithoceph..a..l.a.....—....S ow.tab.ioi.\f 601.(r ' Maigre l etat imDpea rlfaa mit odneta gne <1u Repo- ................................V paroît pouvoir être rapporté à l’espè1c ien dinidviidquu é,e .il
— plicatilis. — Sow.tab. 118, fi0s . i ........ ƒl celle qui sWe trobuÊvéÊ dRan As lbas oclruamiee. nt semblable à
— obliqua ? — Sow. tab. 277 ,fig. 3?
Echinus.”. *.. .’. .*. .*............................. .*. î..............................................................(< beaOuvcaoluep > palsusesz p seetmit.blable au mamillaris, mais
S p a t a n g u s C o r a n g u i n u m .. . , . . , . . . . . . . De tous les terrains de craie.
| Il a la plus grande ressemblance avec les iV. trrootpu lbarnèsv ed eet Lleasm fiagrucrkes , cmitéaeiss tlrao dpe svcargiputeiso np,o eusrt | qu’on puisse déterminer une espèce avec certi-r
Nucleolites? Rotula,— A. Br. (pl.IX,fig.i3).
— Cas t a h e a . — A. Br. (pl. IX, fig. i%)...
Galerites ? depressus. — Lam. — (pl. IX , fig. 17).
Les echinites sont très-abondans, mais tous en
très-piauvais état,
On voit par cette liste que le dépôt coqüillier du sommet de la montagne des Fis
présente un assez grand nombre de coquilles qui appartiennent presque exclusivement
à la formation de la craie inférieure ; il n’y a point de bélemnites et peu de
térébratules, parce qu’en effet ces coquilles, sans être exclues de la craie chlo-
r ité e , s’y rencontrent rarement.
Les coquilles que renferme ce dépôt sont tellement semblables à celles de la
craie cbloritée qu’il m’a suffi de les nommer pour les faire connoître, et que je n’en
ai eu qu’un très-petit nombre à faire figurer. On remarquera aussi combien les
ammonites sont différens de ceux qu’on trouve dans le corps de la montagne.
Je dois convenir que malgré le soin que j ’ai pris de me procurer à Servoz, â
Chamouny chez les guides, et à Genève toutes les coquilles de cette coiiche que j ’ai
pu y découvrir, malgré celles qui m’ont été données par MM. Berger, Lainé, Soret ?
Selfigue et Beudant et qui m’ont été envoyées dernièrement par M. Deluc, je dois
convenir, d is - je , que cette liste est encore très-incomplète, mais elle est déjà
assez étendue p'our nOttsiftdiquer datiS- quelle proportion se trouve , à la montagne
des' Fia, le, nombre des coquilles de la craie ‘chlorîtéè, comparé à celui des
cpquiîles qu’on trouve dans le . meme lieu et qu’on n’a pas encore rencontré dans
cette Craie inférieure (f).
NÔus sCmmes dô/fë autorisés à conclure' que certains terrains de la Perte du
Rhône et,des sommets d’un des chaînons duB uet, doivent être rapportés à la formation
de la craie ïnfériéurey ou, pour plus de précision, qu’ils sont semblables par
leurs caractères Zoofôgiques;aux terrains de craie inférieure de R ouen, de Folk-
stçne * e tc ., pialgrélgs différences minéralogiques tç-ès-considérabies qu’on observe
entre les roches, qui composent ces, terrains et celles qui entrent dans la composition
dés terrains de craie généralement reconnus. » .
(1) Maïs tout ce qui pôiïvoît’ me màttqiîé'r pour®compléter ce rapprochement autant qu’il
é toit-possible, pour confirmer ’ce qu’il'y avoit de. dontemç-dans.,l^;;positiqn.4 es t.çrrains, et
pour, en ajoutant au nombre des-ànaTôgie^’diminuer ainsi les grandes-, dissemblances extérieures
; ce qui pou voitdis-je’,;-me manquer m’a été fourni par M. Beudant, qui a visité la
montagne des Eis en ,iBi8 , et-qui est descendu dans le vallon des Chalets de SaléSv 11'a vu*Ta
roche, noire coquillière en place, à très-peu de chose près ,.daps la ppsitioni®ù'jexilai indiquée
s»r nia .coupe,. mais il ,y a trouvé une roche calcaire grenue, micacée, sableuse , qui n’a plus
cette couleur noire qui pâ&oît si étrange’ dans ?ün terrain qu’on rapporté à la craie ; celle-ci
est d’un gris blaiïchâtrè<et analogue à là craie tufau , elle renferme dés.débris deiédqàilles
indéterminables-;-enfin'ôl"k'itëGonnu' dans ;la ro.che noire une multitude de grains d’un vert
tellement foncé qu’ils paroîssent noirs aussi. Ces grains broyés donnent une poussière verte ,
ils sont 'i;ndiSsojub|e.S; dan's :l’açid.e3pitriqji® *“*14 sont donc pareils en tout aux grains verts de
la craie chloritée , et complètent ainsi'‘lès-points de ressemblance qui existent entre la
roche noire, supérieure de la ’nfOntagne1 des' Fisl et la>craie inférieure,*Cette circonstance .qu i
paroît si minutieuse couronne le tàÉlèatè des analogies que j’ai présentées, et offre une nouvelle
et remarquable application de la cohstîhce‘ des phéhomèhès*géolbgtqües~dans prësqfde
.tous }es points,çqnnus>de là surface duglobe«*- t( im <* * ' ^ 3 - ,
ab !■ --iq Sa-'iaawiSd V> t fo q f v •< h , $ ■ ' « o s i »h
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