pas partie, mais qu’il appartenoït au terrain meuble quirecouvroitle
sol avant que la terre végétale s’y soit déposée (i).
Nous terminons ici' ce (jii)e n<-Hi$Hivo#s h ddtôtdu sol d’atterrissement
des environs de Paris; nous ne prétendons pas en avoir fait
1 histoire completLie Ce sol, dont la connaissance est très-importante
à ravahceniënt de la géologie, comme l’a fort bien prouvé M. de Luc,
demande à être ëWdiê avec un Voin particulier , et pourrait à lui
seul occuper pendant long-temps un géologiste qui voudroit le con-
noître avec détail et précisions
S i n o u s .a ’ a v io n s p a s e u o c c a s io n d e v o i r .l e - f a i t n o u s -m êm e s , o n a u r è t t ,a f f irm e jm ’o a
| | e t n 9¥? n ’ a u r io n ^ e p p o u r .r e je t e r jg c ç t e a s s e r t io n
q u e le s r é g lé s d e l a g é o lo g ie , M a is h e u r e u s em e n t q u e l a d é c o u v e r te e n fu t fa i t e p a r u n e
p e r s o n n e in s t ru i t e (M . L a n g lo i s , d an s l e ja r d in d e * t ~ . f o u r c r i > ÿ ) i j u i ^ à U M M W
l e s p r em ie r s m o r c e a u x d u bois. d e c e r f , f i t su sp en d r e l e t r a v a i l ju s ^ W M b f c e n t ' é i x M W s
p ûm e s n o u s t r a n s p o r te r s u r le s l ie u x p o u r v o i r l e s ch o ses d an s l e u r p o s it io n n a tu r e lle .
« •R O IS IB )M E « S® -€ IT iO W .
NiVÉLLÈslENS ET COUPES.---JÙjffOBTS DEs'mVERS TERRAINS ENTRE
. EUX \ 'ET ^CONSIDÉRATIONS^ GÉNÉRALES. ,
Les hauteurs relatives des différentes formations du bassin de
Paris que nous veuons de décrire, étoient uneconnoissanee curieuse
à,acquérir, utile pour établir les lois qui ont pu régir ces formations,
sijamais-on parvient à les découvrir, et nécessaire pour completter
l,histàÈC0 ''^f&^gfûc^.sti«juo. du so l,des environs de Paris; aussi avons-
no.qs entrepris avec autant de suite et d’ardeur que les circonstances1
dans lesquelles nous nous trouvons ont pu nous le pennettrè,'ies
observations propres'à obtenir cette conuoissance.
Le peu de hauteur de nos collines, et par conséquent les différences
très-foibles qui peuvent exister dans le niveau des différens
points d’une même couche, nous avoient fait croire que le nivellement
géométrique étoit le seul moyen que nous puissions employer;
mais dans ce même temps les travaux de MM. de Humboldt, Ramond,
Biot et Daubuisson ont, d’une part, tellement perfectionné les méthodes
de nivellement barométrique et l’instrument lai-même, et,
de l’autre, tellement simplifié les méthodes de calculer les observations,
que, même dans un pays presque plat, nous avons vu qu’il y
avoit un avantage immense à adopter ce moyen simple, sûr et expéditif
de nivellement. Nous avons donc mesuré, à l’aide du baromètre,
la hauteur de plus de cinquante points aux environs de Paris; nous
avons répété nos observations deux fois, même trois fois lorsqu’il
nous a été possible de le faire.
Nous aurions désiré pouvoir les multiplier davantage , observer un
plus grand nombre de points sur une surface plus étendue, et n’inscrire
que les résultats des observations qui, répétées au moins deux
fois, auroient été parfaitement d’accord entre elles; mais le temps