ijsjb D E 's rn iP T 'foK tî'ïctrr.-'b'GiQ't'r.
l‘La mmS? jbi jptoifs à‘ cètte description fait ébiïnOîtrë toute
l’étendue du terrain de calcaire siliceux et ses limites exactes aiïN.’O.
On vb’it qtféti partant de Meaux, la vàlléé dé là Marrie forme la
limité naturelle de ce terrain jusqu’au cap b&’est situé1 Ambbisei;
qii’il n’y a qu’une seule île de calcaire siliceux sur là rivé droite dé
éètte riVieré ,'celle qui porte Dampmart et Carnetin.
On remarque qu’il quitté1 la vallée de la' MSrnë'à Àmboi|eV!péttir
àllei“ jrfyëque' éri ligne droite cèlle de là SéiUéàVillëneuve-
Sàint-Georgés‘;‘alorsilla suit jusqu’à Draveil. En 's’étendant ' sur la
rivie gîrùclië'dé Bette rîvîêrë, il prend pour limitéj'âTbüestÿ la* vallée
d’Orgejusqu’àSaint-Yon, au-delàd’Àrpàjon. LèS'SablfeS'déî* BbSücse
qui le tëçbüvreflt êntièremént’j empèchetit dë lë’ shivte plus ’loin* de
fcl’Hm^mfflsetî revenant vers le sud*ëtt'è%nleèbndiiit patt-delà'la
fôfêt de Tiintaiiiêbïeàü jusqile près* dè‘ Nemours. “'Là fôfmUtioti dè
caibàîre siliceux est terminée' au Sud par lPéràie11(j^î;'reÿiàïôîttîcl;nftbn
pas que ce calçaire spit caché par la craie, puisque cclle-cr'llli,ié§t
toümünsdiîïçiÿéüïe; mais il n’existe pTusnDuèôté de là Bè'âUéêy au
cpniraîrëI,’tiï,'nleit’, comme noüi ^efiSris'cië reétiiiVëï't
par l immenseplateaudé sable qui formé;lit'bUSé' d)è0èë- tëfëâiiil'‘En
éffet, quaiid bb aescéWd cfe’ platé'àii AU u&wxfXjMIKfii0jiolfr
dans la vallée de la Loire, le calcaire siliceux reparoît. Là jfîfifiàrfëtês
mafijopj)1tfë jà'Villé d’Orléâns, SéS‘quais J1 effc., ’éiÿ’Sont'éotftttttîtS,(i ).
. lyem Tesinom n*avbns pu déïéfminef'ses lffeïtés'‘d’Êft'èLifïiànlè,fé
aussi'certaiile, ‘enês sont et trop ‘ëïoi^nléfes,Iét,ttdjj'Jsfmvé!ÉibÔaelïéèS
par les sables. Mais il paroît qu’elles finisséhtt^môihmë’du'Bôteô’dè
Nentours,.aux coÏÏirles' de ctâië qui' côrbiùleBcent' à ‘Mîèhtnïirail l e .
•"merest 'fâstiaïèux'dé aëcHré’stfecëssivëinent tdiis'lëS ^ëtits’jÿlèftéattk
renfermés mans cette grande ehé’éihtë ;uéë! sëfoiï’ é^aléineüt inutile1,
car il y a peu de terrains d’une structure plus uMfbfmë’tiu&CéMl'tt;!.
(x) Ljaris cescantonsîl est très-difficile de le distinguer du calcaire d’ eau douce supérieur,
lorsqu’il est en^Pàtffâéii^sbïé'sf'f 'le câlcsire d’eauIdouee des èüf ifcmSidiQrleansi-et de I?çnjqwss
étaat|^iYent p^6^çopapqçtes-,ay^ç.peu,de cowijle,s .,i l n’y .a que IJ^ame» des
bancs en, place et leur position respective ,, qui puisse,permettre d’établir entre ces deux cal-*
caires une distinction certaine. *
44.1
Nous nous contenterons d’indiquer quelques-uns des points les plus
remarquables parmi ceux que nous avons examinés,
La colline de' Dampmart, au nord de Lagpy,.,est le seul terrain
de calçaire siliceux que nous commissions sur la rive droite de la
Marne- Ce calcaire siliceux, sans,coquille';,, est recouvert ici de calcaire
siliceux d’eau douce, ,et. vgrs. ^extrémité rtord-opest, cette
colline porte, le terrain.gypsçux de Cacuetin,
En continuant d’aller vers l’est jusqu’à Coulommiers on a occasion
de .remarquer quelques, dispiqsitiqns du çglçpire siliçeux qui ajoutent
à son histoire.des particplaçités plus,saillantes et même ;dqp;fgits que
nous n avions pas çnçqrqj.pb.serjfês,, ;
La colline as?ez éleyé.e qui ept.à.l’eft; de la Chapelle après Crécy
qst,.formée td’pSfjses nqmbreusgs de marne.palcmre. blgnche .duré,
de marne,calcaire blaiicbg /riabl^de çglçaire gompacte fip|Bt de silex
çprné en.rognons irrégujigrs^apposés en jifgmterrqmpns mais pa-
rallèl^j^.iiy', enpaiu
Ces silex sqnyâçpopipagnég de marne .calcaire feuilletée , remplie
de qyclostonia iriumia et en outre de là magnésite parisienne impure
( dont nqus allons, bientôt papier,plgs particuligpgipent) qui esi placée
dessus et .dessous ces silex, gt qui |)énètre même quelquefois dans
leur intérippy, u r ,
L e caJpaipe çqmpaçtp fin mentionné plus hayt ppt en bancs-peu épais,
interrompus b e j çegfPipbie.èftjout à çejui de la mênre yariété.qui
dans le Jura e t daps les,terrains ealcaipes qui lui sont analogues, fait
partie de cette formation.
Ainsi,,on. pçnpontre, ici, d|?px oiçgqgsmne(êsj,gsgez;, remarquablesr:
j,o, unçalcairp compacte qui, par s.M cpmctèçe^ minéralogiques extérieurs,,
ne-dièere en aucune manièyg, d’un calcaire d’une Iprpaptjpn
beaucoup plus ancienne.
2°. Le dépôt séparé et bien distinct de la matière siliceuse et de
la matière,calcaire qui, dans la plupart,des autres lieux où se yoit
ce calcaire siliceux, sont liées et comme pétries ensemble.
En continuant des’iivancerversl’est on trouve à Mouron, une lieue
environ avant d’arriver à Co u loin mie rS ét sutle bord meme du chemin,
T. II.