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- jrfÇlê Dans la province <k>!tegfls ÿ^tarameatî dans 4$s jê®YisôfeS» dp ■ tëeif&'ViTle; fèt
j^qttài^l§n(?ià,i,la[ roe^e foi^dwoeiitale iqinplçyi^ei^ausiol^jjQonsitüÎjatio»^ofeshx&ti
§ ^ y É k s M ^ t f â > . 0r ; d b n o M o d ?,;nq o ic Ik '/ £
a0. Dans les environs de Frejenal, sur les . fro litière a de rEètrajnâdn^ letndu
royaume de Sé v ille , la roche est remplie de planorbes qui se rapprochent des
ploetâàrbfPéëPi&x? “ffl
i ^ jj J^ràncel
à s l^ bU e s s ..oà: l’on connoit Les terrains d’e au douee en France jdoaafe d-éjàstfrèss
N.ou,si nous; bornerons àciter leasuiyans :- ;o
p^ns le département des Landej. — A Bernos ce sp^ ,i (J’aplrIsi .M. Groènong)],,
des_ si{ex qui. renferment des planorbes.,
:]Près de Cas tries dans le département du XÆ77?.—-G?e s tün ciaïcâiife eoinpàété
qui recmivreides lignites; il est tantôt solide et tantot tendrei et rèïiférmë WÊ&
tammentf suivant M. Cordier > des planorbes et des limhéès b* ‘;-j
L Dans le departement de l’^wcfe^on voit un* calcaire la,cq^tre cp m pn ç t ç , sol îX» 9
grisâtre ou blanchâtre, criblé, de cavités et rempli de coquilles d’eau douce, parmi
lesqudles^râroi^sènt dominerles limnées voisins du L . oyumlÀ.. Br. Non loin c[ecu
^-îvd^zus InlcL^ffv de $igean, onremarqueidansla y^sede,
^nV une âg^egatipn de coquilles marines de rivage, c’e s t-à - dire dp ç^rj;te.s
et de dardium eaute ^ qui peut contribuer à expiiqûerïes mélanges,de coquilles:
d’eau aouce __et de coquilles marines 8* jjÆÆBM B f e v y
loin de la mér'et recouvertes d’a litres couches (i).
Dans le département de l’Hérault près de Montpellier. et dans de,s. lieux plus
ou-moins éloignés de cette ville (2). Le terrain d’eau douce paroit appartenir a une
dé§I%rina?tidns ïe*s plus Técelîtèsy Il ^St imraédià^éS^en^^^lfqué^sin' cfesTèT r ams1
d’âge très-différens, et plutôt vers le sommet des collines ou sur Les plateaux que
dansTè fonddesvallées; il ne s’offrè que sur des espaces peuétendus. On l’obsérve
i°: aux environs de Montpellier dans là vallée du Lez ; a0. dans la vallée ^e ï’Hé-
ràhlfâ Oahgéé ‘et à Saiùt-Gnillèn-le-Désert : il esc immedia^èmènÉ1 superposé au '
calcaire marin 5 3°. dans là vallée de Condoulous près d’Àvèze : ici il repose sur le
schiste argileux -, 4°- dans la vallée d’Arres près de Lasfons où cette même formation
Jçjtiens ces irenseigneroens e b 'iles;'échantillons queî’fë31 décris =Më'3M;P ^ocpiëljteptPt
■ ^î^ferftbru ÎI,I!> 298090X113 897olodoj >b
.»M - 'W W r S S fflnweJïdeiSërrieFy;Jonrn. àeÈhysïycb.;Mj,Jf)ï
ï § jtS ?f fu i lletf, août et^çntembjieL. j ,, ■
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est UlàcéffJSUr àthtnohitbS^^ff^lhffis ^îgv-àlé’e ’ dê;GâfthSif ‘efft-1# Sàînt-
Jeari-*de*GâirdoueaqüéTefêiAMnzeXq>’e§t dahS^Cëliüucl ^qutP l-'aluïmirA !â1 JrëmâWjWé
Xhélix algira ; 6°. au lieu nommé la Vabre près de Mende y 70. prèsJcl-ë' LodèVè
dans-'l^iviallées dé l’E bgûemdu Brez'. wn
Ce terrain, près de Montpellier, est immédiatement situé au-dqs9qu§-de^ivtqçpe
végétale et composé d’un calcaire jaunâtre mêlé de calcaire rougeâtre. Il renferme
en coquilles fossiles des hélix avec leuR te&Là pçine altéré, qui ne paroissent pas
différer des hélix variabilis , neglectasiricta , et du cjclostoma elegans. Au-
dessus de Castelnaud ce terrain devient plus épais et s’élève de 100 à i 5o mètres
au-rdessus de la rivière. D est etomposè d’un câloaiirei1 tendre t’efc pôte âx dëjpèsé
quelquefois en feuillets minces ^efc présente:aussi quelquefois^des bandé doe'aîeàire
solide quoique lég e r , qui ont de 20 à 3o mètres d’épaisseur. Ce terrain renfeçme
uiië ^âXdé^quarLdti aem^rêihtés0Wé''veg,étàux, 'tànt de tiges"que ae,troncs d’arbres,
dans toutes sortes de directions, et mélees neânmoinstle béquilles extremé -
uifU^j^agiigs,. :Là disposition du( terFaini>semble in&hjuë£*< par letidésordEé (qui
règu§ coucho,à j;Uneh graod;e agitationi dans rie liquide qui l’a déposév> v 1
Près de l ’église de Castelnaud le terrain d’eaîU douce;repQSeiimmédiatement sur
le calcaire marin.
•lÔn0feiMl?^ftë!^ ^ p fë s ‘(juè foutes les comiillesXnmüies dans ce ièffain peuvent
é^ÿâppoïtéXà' üêi es|>ecés^a(uüMlemént Vivantes en France.'M. Marcel ae Serres
fau partie ae a ÿ fossiles y se,
trouvé 'én ëfFét dâiiPWhrôrd’ üé là Frâuce ^màis né v îfp lu s . maintenantaux,’eny 1-
rdns'dë M ontpèlllër.Pârmrlès végétaux^ beaucoup ae fèuillëspeuVenf se rapporter a ceïlés^'^eîa v^àëL,d u ndriiifuj au cnêné vert, de l ’o liv ie r, èfc. j les fruits à ceu^
'uii''çéu âmerent ae tous cqus;’ que,
l’on connoît.
Dans Te département du Gârd on connoît, près de.,Sommiç^e^^et près d’Alais ,
des; terrains d^au doupe qui paroissent appartenir ,à. des ;éppques-de, foimation
assez différentes*
Le premier a été décrit par M. Marcel de Serre,s» Qu robservOfSpr les rives du
Vidourle depuis Sommières fusqu’au-d,elà d^ii' •yiÙg,ge, S^iliïielle : il constitue la
colline de Mbntredon élevée d’environ i 5q ajpètrq^; du nivoaq de; ,1a
riyièrç. 'Cette .colline est composée de . deux^ sortes, jde TA C ^ çalcames.fX*à plus
,des fuméq, pâle,,vres^einbJantpàÇc:
sa cassure et sa texture au calcaire de même formation des environs de Mantes
qu’ori nôtîimWclicart. On que
des pafudines/ et bdes limnées.. Lavroche;j calcaire. supérieure «est -beaucoup ^ plus
•tendre, poreuse , traversée d’une multitude de tubulures sinueuses qui indiquent
les:passages, de dégagelbienjb'd’àinvigazivCè dilcairess^përiêïi^ éât^diVi^ë eu pîüèieurs
assises un peu inclinées-, il renferme des planorbes et dë^hé'lîèfès ■ '(jii/on ne Voit pas