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seùr;1 él'lle est, d’aprèsile rapport des ouvriers', mince sur les bords
d'es'dotëaüx, et elle diminue même tellement d’épaisseur, qu’elle ne
Vàùt plüÿ'lè's’frais d’exploitation ; mais vêts le milieu elle >à jusqu’à
six mètres de puissance.
’'C’est'dati®'ce'’eànton et dans le village “de Fontenay-aux-Boses
qu'ofi' a tfàvéi-sé toute 'lit masse ‘ dë' gypse-et qu’on a pénétré jusque
dans là "formation èàlëàife; en creusant un puits',i:ainsi'quë nous
l’avons annoncé dans la première sectiOMi Ce puits étant1 terminé
èf muraille lorsque !üôtis l’avons examiné1,“ nous n’avotisl pu “avoir
une 'connoîsstaée‘exacte des 'couches qu’on a traversées; nbusrnvohs
été’ ‘obligés de nous fier aux -rapports' qtl’on nous a faits, constatés'plarfes
déblais’ que nous avons'vus Sur le'-'sol. H “eu résulte
qii’én a d’abord rèncé'mré’uiïe douche de säble de trois 'mètrësppins
dès'niarrfes sablonneuses’renfermant desdiutreS’, 'environ un-mètre;
ensuite1 qtaâtrë'à cihq métrés de’màrnè’ Vèrtè' et d'#1miäuväis'l'gypsq;
enfin des couches nombreuses et épaisses de marnes, puis ’entern«
do glÿpjè. O îr a 'alors trouvé ce fcélcàifé tendre qu’ on nommé mku-
v d i s 'r h t f ê l M r i s ,~ 'z t~o'n',èst arrivé" au càîcâirë dtir' c’ôquillier' appelé
r b ô h è . ■’G é s t à'ciifC[uyntë-Six ’métrés dpi’bh ’a rencontré ‘ëettù1 pierre
et qü oh a trotiVè de l ’éàu; mais, depuis bètté ëpocjUe, nous1 nous
sommes assurés d’une manière encore plus précise de1 ‘ëette superposition,
ét nous avons pu'vôir clairement le paSSgë de la formation
gypseitse1 à la formation du ’câlëaire marin. 'Wbns sbmraes descend us
dâhà'ùiiè dèséarriéresde pierre däfda'ire la pl'uS-Vôiéiné deBagneuX;
et quoique la position gênante où on se trouve dans ces RM wïll
rt’ôù^à’ît pifs jaërrhis dë'détaillèr toutès'les^ cbttches'dë'màfné qü’on
aVbir traversées pour ampt® afi1 c'âîfcaire j ndüs avons pu 'farté “fes
o’bsiéiHiâtîânéliuiVahfîè's: t ~
Le calcaire exploité se trouve dans ce puits à environ vingttdeux
riiétfës dé’ lâiürfafcé du ^èl; il f i t récoùvèrt par des bancs alternatifs
dëmâtùéÔalfiMreblanèhe peu solide jet de marne argileuse feuilletée :
ces derniers sont très-minces. Au miliet!' de ces bancs noüs’ävöns
réconnù uri pétit lit de gypse dur, d’é deux à trois centimètres d’é-
paisseür;mi poi'i'e' sttp'î’mïë’ clé1 ses snrfa'ces'des’ empreintes d é ' coa
DE) § 4 § 3
quilles marine® difficiles à déterj»jnér ,,;ipÿ® qui ppu,s qpt paru appartenir
à ,dgs> lufiiqps ml h dé® PW l vù, G
couche de marne vertet, et Jes,o.uvrier.s nous,ont assuré: qu’elle n e,ps-
toit pas ici. ‘mst'-uoq ®b -ovfsm /;■
Avant d’arriver: au calcaire; marin, on trouye uu biinc(de saple
gypseux d’eavppu. cinq décimètre® d’épmæenr ; il confient aussi des
coquilles marine®; on peut:mêmeuy)fecWfl'9Îfïe trèsrdistinc,terne,ut
des céii tes, tubercule es,1 quoiqu'elles soient [t3pds--£riable,si et presque
toujours brisées. Lemême.banA-renferme epfqptre,derpetits .rqgupns
blancs; de: stroutiane iSiilfatép; ,,il:est ^putenu par une çoucjie, dp
gypse impur,;épaisse d’un décimètFie;euydoft,fl.e,gypse, quelqppfpis
tjès-durjufofme>un,|a®sez,b,on;,çip}tÀ},a (paffiièee; mdsd^ns,dpPta'es
éndroitsi -il,est, friables, et. tub?mé„dp-iblWt)ifÿ de %>Yfe'-ïlf.W?^
presque .entièrenmnt, ®ur,le',daléftjr& PWifU.Çai d o 11 P1-1 ,e^t,,séparé
(jue parmi lit,mince, de deux, à trois, centimètres # e , infime Arq®-
argileusp,i, . „jim-ur u)> r-s-viana iu rsmyidmou ma jsfo Httlfb
premier b m ç q u i ^ e , p i m e n t e . , au-dp^on®,.^ Jjfî
appartient au lit qpejles quyri,eres appellent roche , .et qui e®t,prinçi-;
paiement caractérisé,rajj le f (périte^ Je® ,ampulllaiie1%,,d;f&^’lcm?svÇl
les-bunarde® qu’il renferme., G’,est une.pierre très-solide,et d’qnpjfoFt
bonne qualité.: ,,, j|jjg|| -nij,,: - , , o h • “ .— i,--“o“ “ ' -
Nous .avons, reconnu d p ç j^ lits çlg7sable .argileux,, çt dp^sable
calcaire qui.précèdent. le,gypse dans Jabuttedp.Claroarj:, un ij1
qui renferme une grande quantité démérites,,et d’autrqs ^oquilles
marines. ;>a6J> aviioii os no no uJimnâg noiliaoq" cl enpioup _ i->
De Bagrjçux à, Antpny, nous .ne ^çpunçissqpg, pqn,
régulière de gypse l,j! [>aroîl que 1rs couches, y sont trop minces ;
mais on y voit les marnes du gypse et les huîtçês qui Ip s^ à c té -
risent. •• -, ) I r ^ ® > bO
Nous .avons reconnu 5 près du chateau de Sceaux 5 les huîtres
dans des gables, argileux, et prè^deg .cascade®, an.,voiples mern,es
yprtes.et l,es sphéroïdes, de strontiané ^ulfatée, ,,
A Antony, feutrée des, carrières à,plâtre est au plus, à,dix mètres
au-dessus; dp fpnd de l'a yd^ e ; d’où i l .yésidte, coname les,détails
bi *