i . T e r r e m e u b le e t v é g é ta le , e n v i r o n ........................................ j . m è t r e s .
' a i C o u c h e d e s a h l e ja u n â t r e assez p u r , a v e e id e s li t s d e s a b l e a r g i le u x 3 9
f dans^sa par t ie, si^ér i èur je^' . . Q j k ' - m y g . * L ,
Dans les li t s d e sable argileux su p é r ie u r s on trouve des limnées et
d ès planorbés t r è s - b ie n c o n s e r v é s , b la n c s é t à p e in é lô i s i lè s . î®
3. L im o n d ’ a t te r r is s em e n t t r è s - n o i r , m ê lé d e sable ja u r ië ' ë n lif s t im P ' ‘
! dttlés.' . . 'J '. f ô â ü t ld î& l JI I . Q 3 « v i A V v » î f o i n o i f i : '
I 4 >- Lits a lte r n a t i f s d ’a r g i le v e r t e f r i a b l e , d e m a rn e a r^ ile ysQ ja u n e
de, maïn.e argileuse, b l a n c h e . . rt. v ï w , . 1 . , , r . ...........
Dans la partie que nous décrivons, et dans doux autres parties lui
peu plus éloignées, mais dont la structure est absolument semblait)
eà celle-ci, les lits d’argile verte et ceux qui l’accompagnent Sàaâft
foncent comme pour former Un bassin qui est rempli par le limon
noir et sableux. C’est dans’ la partie inférieurede Ce limon qU’oiitiété
trouvées les dents d’éléphans, les têtes de boeufs,1 d’antilhpés-'ëtfidë
cerfs d’Irlande que l’un de nous a décrites.
Il né parok pas possible d’attribuer Cet atterrissementnaux eâfax
qui couloient dans la vallée de la Seirié ; »cette valléiè test 'behoeoup
trop éloignée dé ce lieu, et beaucoup trop bassë'par rapport* à Jiii:
H ëst probablement beaucoup plus ancien que ceux dé&’valMesy cet
sènrBlè1 plutôt üvoir été;déposé au fond de laés; dé marais loti diSutrés
cavités dé vmêmè ësp’ëëe qui éxistoient alors dans-lë'tenMh jdï®9rmàfe
élevé, qui constitue actuellement la plaine Saint-Dënisï Tua dorme
de cës dépôts, 'la nature et la finesse des matières qui les aOmpnsAit,
leur disposition en couches plus ou moins inclinées ou courbées,
tout concourt à appuyèr'cette supposition.1
Lé terrain de transport 'se présente aussi sur les platëauxiquister-
minent la formation de calcaire grossier, et même sur «oiwqwi,
® b rgpM 3?eIê.vës>, surmontent1 le gypse; Mais nés deraxisoÉieside
terraffi'-’dëkrahspbrt ont pèuvêtrë «ne; origine- différentetàb 'iiovnoq
■ 'bti vciit lri pt-ëtniér dates la plaine de Montrouge immédiatement
uü-dessous'dé la terre végétale.ljïl est composé» deioaiMbuis rilfeenàl
roùîéâ'ârffiS Ufl'Sable rongeàefopon pecWy rapporter tesJserrainHuia
triih^ôHidùlbbk' tlefBtyéi'logne1,' de(laforêt de Safot*©*ruiaiag!nioy,
q^Wofif abBiftPdêjsfcfté^m ni snsb însmelfeè'r enpîonp enp , atugi]
On remarque le second vers le sommet de la colline de Sanois et
dans les sables supérieurs des bois de Romainville,mtr la partie septentrionale*
du plateau• de Belleville- ou Ménil-Montant. NiSiis avons
parlé, pag. 3yo, SyS et 374, des cavités cylmdroides en forme, de puits
naturels qui .trpv.prsenties co.Ujfh.es de divers terrains et notamment du
calcaire grossier.. Ces.cavités sont rarement vides , elles sont au contraire
SQüven«Iempliesides matières de »transport du sol supérieur, et
on peut trouver àiUSi au milieu des assises d’un tërrairt ancien de
formation sédimenteuse, des objets du terrain de transport1 qui ap-
poràennent à une formation d’une époque beaucoup plus récente,
vje.st ce que itou s avons eu occasion d’observer dans une cavité semblable
£ traversant la craie, et découverte en creusant un puitg clans
ujtjardin,-ygrslè milieu du-co.teau duBas-Meudon. Nous en donnons
la figure pl. l, B, figv 3.
Le sol montre successivement, en partant de la surface A, des dë-
bris-.de:.tjOiïteS(SQr.tèg;,,mais non roulés et probablement transportés
partlesitrUvsmix des hommes; B un banc .assez poissant de terre végétale
;i 6kim^roraje,marneuse;,1 c’est-à-dire impure et friable; D de la
craie»aWéréejfoagsentaire ou en petites amandes, liées, ou entourées
ri.argilü; jim no ire; K un banc composé de» grosses masses1 de craie
raarnessès rlf,la.craie blanche ordinaire ave.c .ses lits :de;£Üex pyro-
maque cil rogmabsiu;.
C’est il travers les bancs inférieurs à la terre végétale que s’étqit ouverte
un© cavité cylindrique qui a été.remplie d’ argile impure et de;
fragment de craie, et au milieu desquels on a trouvé plusieurs
parties yl’un bois de cerf comme; calciné; il étoit dans.une espèce de
cavitésituéedans la partie du puits qui commençoit à pénétrer dans la
elaiesOoeiren a pas ÆroUvéjdjBf;morceaux assez considérables pour
pouvoir déterminer l’espèce du genre cerf auquel il a appartenu.
' Nous avons vu ce bois die.eerf eu place et encore engage dans
lksftèite de» brêobe crayeuse, que; nous .venons de décrire. Mais au
ptemier moment on vint non-, avertir qu’on avoit trouve un bois de
cerf'dans la craie. Onvoit, tant, par notre description quepai cio t ; e
figure, que quoique réellement dans la masse de craie il n en faisoit