§ I. E n Françe^iV ~Vl
Nous li’indiqueroiis ici que' les terrains analogues au calcaire grossier, qui sont
non-seulement hors de notre' carte, mais ïibrS des limités du bassin de Paris , 'tel
qu’il a été Circonscrit par M. Otnalius' d’Haff&ÿ' (i).
On ter ra facilement, en' exAnïinant la circonscription de Ce h^ssintélie que le
présente la càrtéjointe' au Mémoire de M. Omatmil d’ftàlïoy êt que nous reproduisons
ici (pl. I , G) , que le terrain de Parié, en y Comprenant tés diverséâ WrtiéS
de formations qui lé composent, s’étend air nord êt à l’est Érès-peù a'ù -déiOèiF jfôÿ's
renfermés dans" notre carte. Son extension cfe ces deux dété& OôM^tè uniqii'ëWéht
en Calcaire grôésïér ,'1 ordinàirèment trop friable pôur éti^ëtojfféy^’d âd fles xMf-
strucrtions, et formant des petitéà bîiéték on~ dê^pfâtëàui peu étéfidus sut ia-crçW7
comme On petit l'observer ânx environs de N d ÿ iiï, dè. Saînt-^dbàîh1, de ^ d t î , !â
Cotutagnott pfëS Rhéihté, ïied bbri mbiiîà célébré que Ôrig^db' ^âr3î ^ JCd\iüîüef
fossilëé qù’d renferme,"et k Tertn, qui ëà^ plâC’é sûr une butté1 dé" cë câîbalre isoiee
de’ toute pàrt, été. Tdtte céS poihtS *n’bntLpas* encore été détérmineS âvéô précîsibii •
c’ëSt un travail îjm résté affaire jiôuf cbffiptéteî la carté ^eblô’gîqüe aubà^sm^fe1 Fans'.
Non-seulement il sera curieux de déterminer exactement lé nombre de ces points1,
leur position p récise, reitr ‘étendue, leur pmssance ou épaisseur , léüf bàûtétîr'ati-
desStis du nivéàù de là nièV, mais :surtnüi$laquelle'd^é1d éu i‘fomâtî6À*s a e calcaire
mafifl ’ils' ' peUveiit'êtéC ‘rappbrté^. Je pénSe ‘ qtié ‘bdux ^ué j'e'' viêttè' Sf&Qëüÿiér
appartiennent au caièaifë'grôSSier'inférîéur ët' m êmè’aux
ce'terrain ; les^eapècés de coqriiHéS"qu’ils tébtértétéif, là’ 'friabilité dé îà rdcftë, Ja
préèencé du sablé iriété de fér chloriteux, cëïté d^'riümmdïïteSr, la pôbifion de^W
bancs immédiatement au i- dessttS dë Fargilé plaàtiqftë? ‘ né' p’éuVént M^r^MÛctéî1
doute cet égard/ 1
Au sud de Parié le fèrrain dè sédîtéeiff supëïtéùr éfità' dëilâ lCà,rtléj léWlpFéVqdé'
entièrement composé de calcaire d’eâü dOÜCé'ut dé câlCarté' s ï l î c ë ü x sè r Àbhàtéh '
parlé roirsâ l ’article de Ces - téfrlfristéh détaillantms jfeüx-ou 'iisIcse8ÿ)iWéntélit.
Mâis'aù S; O. èutTé IMoi^,1 pîâcéJ àür la limité 'dü^tèrrain'pàrisrélP, et 'TbüFF^Ür
la craie tufau, së rencontrent des oe* télfi^îU^è’flb lé ^ â ^ S 8^
marines'*èf dés débrfs de fiés cd^mMs.1 Ê'é1 Sol dé Ces plâmés ësFbéfébtéiWépuis
long-tempS'soùs le nom defàttin tfè ffiâtà&TÏël1 ftïbiîè' ictéÿtfns ' pouvbîF ‘râppbrtéV'f
sa surface au moins au Calcaire grôséyè 1 âtftéiîéttr r'’âÔl'gÿffeé. L ’énümératPbn -dës1
coquiîlës ptOuVeta la jiistessé dé'%ér'r2q^FdctiëmèiitV ‘M .fJdë' Ÿrîstâd^•'ènIî, 6Bêdpé* il
y a déjà long-temps, et nous attendons que ses observations et ses deSdnjMins9'
confirment ou détruisent cette opinion.
(i) Ann. des Mines, volume de i 8i5.
Ce terrain paroît s’étendre jusqu’à Doué.près de Saumur, dans le département
d e Mayenne et LOire; des aggrégations de sable et de débris de coquilles peuvent
être regardés comme lui appartenant!
En suivant le bassin de la Loire toujours vers l’ouest, on retrouve dans les en-
yironsjd’Angers, et notamment dans]etén’d 0h’e de Rocheminle^, uoe réunion de
coquilles,fossiles qui offrent tous les caractères de celles du calcaire grossier, et
qui indiquent par conséquent la présente d ’pn dépôt de ce tprraip , ^ut^ut dp. moins
qu’un semblable caractère puisse l ’établir, .quajid çcpxqqi fa^cçpmpagnept nç spnt
pas connus.. Çtést de M. Desmarest qp,e je ti^nspeltp^sqi^ nombreuse,fi.ç çoqvûltés ,
qui s’élève à plus de cent vingt espèces. Elle présente deux sujets d e ’réflexion.
Premièrement npq§ n’aypns pa^. .^ns^.cetl;e?b^...po^6ç^ii^e,i,, .trouver
peut-être dix ^spèc^spar^itenjent identiques ^yec peltéa.ctérQrignpn et ,
depms 9gu milieu du b.assté, de Parisj,r et ^cetta cp^isidératioii ^pojirrmtfak^ naître
quelques doutes sur l’exactitude du,rapprochement que je ;fais dans ,ce moment
entre.ces .terrains coquilliers de l’Anjou et ceux de Paris. Mais la seconde considération
diminue beaucoup la valeur de.ces doutes. Tous les genres , à.<dq,tcèsdégèr1çs^
expeptions ,prèsf? spnt lqs.(même? qqe.rcqux du bassin^ etjçe*jqri’'il4y .^
de plus.frappant j^ ’gst. qu’on n’a encorre Aro,uyé p|Lrmi ces epquiffes au.ç.uu^gem’ç :
de3s terr^ips^iptémprs,,oç’est-à-4irp.ni bëjémnjt^s,tp i iin ijgrypjiées„,m'
triemiies^ .
. En s’avançant toujours vers J’eipbouchure de la Loire pu repcontre dans plusieurs..
endmits 4 f s ;,priyimns de , ipt notamprent apx.^nvimp^du ]^çq,pqj:Tqt ^aqs.[
les lieux .nommés les Cléons , le Bas-Bergon, commune de Missilliac ,.la Freudière.,
commune de la Chevrotière, .etc. , des roches calcaréù - sableuses 1 généralement ..
très-friables., souvent remplies de coquilles fossiles et d’aiitres 4jébris.prganjq,ueSj
i M m tdst|que des.|[,qstresrf|des.milbegMes^ètÇf,i
nent ^uxlfg.epre|fqui ge, tr.ouvertt le nlu&-çqmmqpémcptl
inférieur, et même plusieurs espèces qui pa'roissent identiquesi^yep ppllpsMn|
Grigupu ou,a,urmoins des te^ains ^analogups^tels que le,peçtunçuli^puhi^q.tifs^
Vcrwq.mptmata> t f .té baigmf^^,^i t<r ,
Çes.teiTaius.s.ont assez circonscrits ; celui des Cléons, au S. E...de-, N a n t e s e s t .
accqiupagité de ana^. rpulé et, est disposé en ppu.çh^horizpptjal(e^ dp, dçux^à jgraq
mairies,,de puissance sur ^uue yoche amphibolique. r
Gplui qui est au S. O. du Loroux semble remplir une eçpèçe: de bassin d’uiv,
quarFdpjtéuq d,e l p n g t r o i s , à quatre ponts mèirgs,de large., tbest immédiate-.,
ment placé survté. gneiss pu sur un micaschistei^ès^lt^fâû)» f.
Ont trouye,dans cç^ terrainçdes débris d’psse.inens qui m!ont paru.être de§,cotes,.
de6lamaiitin,,(
(iF-^e-deis-ees-H?6nseigBem«as-«tl6S'é€liantilleBtS-qui'eir-s©ut"les-ppeuve»-à-M.-DtibtM44e$t-,-
p ro fe s s e u r d e m in é r a lo g ie à N an te s .