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beaucoup; éù-'Ce, que iles deux'bords de la poulie« rotùliênnd,’cfd,
sont à peu près,égaux..,.«g ,-,
,;Le.péroaé:asfi-courbé eu dehors; ce qui l’écarte un peu du tibia. -
i Celui-ci ( pl. I I I , figt 5ÿ 6 et 7 ) a son arêtedupérleure >asSez mar~
quéq,, mais la Æubérbsité qui, termine cettefsarète dans de .haut'‘est
obtuse,et peu courbée, ■ v
Sa tête -inférieure (fig. 7 ) est plus, large que longue; oblique, et
son diamètre antéro-postéïdeiir du côté interne est plus grand, et'cë
bord plus saillant quevdu côtéidu péroné, niùj
Le tarse du tapir, (pl. bafigi !3()o est encore mieux modelé que son'
carpc.surcekiiduijihiuoçéros,-dont' il semble n’ètre qu’une tépétitioh.
SeuipipeaiiJe jÇ.aleafléum.^pL ill., fig. 1.9 et.2«*)iesi; beaucoup plus'
allongé et plus compriméjimab SOS ! facettes «eu sommes môm[esr»''-J
astragale ÇpJ, -BB* %*-. 4J y- aa*»3t *4net’ a&>» fasqoft*.!;* troA-
catiure dubord externe.de sa poulie, dans te haut,;, torn aeoî est1’seule1»
iqept.un pe«,plus.long «t il'touche ,au.içuboïdé ,pan üpffl faéëtte ptesii
étroite. Il 11'y.a-de ntfune-aucun vestige de pouce v'tnuisde petit doigt-’
egtreprésftPtéparun o&allongéjoroichtMunbQut, articulé aùîsc-aphoidfe,
aspetitiCjunéïforiïîiestaümétatarsienextèrnéiLeitubereulépostérienr i
dufiuboüde. est moins saillante! mwns crocfamque-dans’te rhinoeérostL
. : A^T.JCJjg IXjj • ' ,1M. ,
Comparaison ostéologiqile du tapir des tndës dpéc celu i
d'Amérique.
Nous.dcmnqqs,, pl. IV , fig, 1 , Iqsquelette de .ee beau tgpir, découvert
dans les Indes par tyb Djard et par M. Duvauçel ; .et pl. V,.
fig. 1 et 2^,sa tête y.ueen dçssus.et par le côté.
11 suffit de comparer son profil, fig. 1 , avec celui du fflpir d,'Amérique.,
pl. I l , fig. 1, pour,qtreyiyem.eut frappé de leurs différences
spécifiques.
Le front du tapir des Indes est tellement bombé’qu’il s’élève pluè
haut que l’occiput; il élève les os du nez avec lui, ce- qui prolonge
beaucoup la partie montante des maxillaires et la partie descendante
des frontaux le long de l’ouverture extérieure, des'narirçes esseùs'es,
et donne ainsi beaucoup plus de. gro-sseup à la basé de la'trompe et
de longueur aux sillons où s’insèrent les muscles. C ’est ce qui explique
comment ce tapir a la trompe plus, forte êt plus extensible que celui
diAmérique. Il y a même dans l’eépèee des Indes sur la base deÿ
os du nez à leur jonction avec les frontaux, ét dé chaque côté, une
fosse profonde ,1 qui n’existe pas dans’ l’autre- espèce.,'
Cette élévation;du front,testr accompagnée d’un abaissement1 de’ la
crête occipitale, qui loin de former une pyramide comme dansl’espèee
d’Amérique, va plutôt en descendant en arrière;
Cette-ouverture desmariiies Osseuses,, -si agrandie par lé prolongement.
des os maxillaires se termine- en -bas et en avant pardessus
intermaxillaires plus, relevés^ qui sont d’ailleurs; ;comme dans te'tapir
d-Amérique ;isoud.és-ensemble *dès la première jeuuéssei "
.L ’intervalle entre la,canine et 'la première molaire est moindre à
proportion dans le*tapir* des Indes1/' dont' la dentition est"du' reste
absolument semblable (à,la -grandeur près ) à celle du tapir'-d’Amérique.
L ’apophyse zygomatique des Indes est un peu plus haute en arrière
et moins en avant; son apophyse mastoïdé est plus contournée dans le
sens transversal.
La face, occipitale du crâne offre une différence,-,correspondante à
celle du profil, en ce qu’elle est,moins haute, mais elle est aussi
beaucoup plus large à proportion'; et de cette largeur il résulte une
autre différence à la face supérieure du crâne ; c’est que la crête sagittale,
au lieu; d’y demeurer sur toute la longueur linéaire et étroite,
s’y élargit beaucoup en arriéré, et demeure même encore assez large
dans l’endroit où elle est le plus rétrêéië par le rapprochemeùt des
deux fosses temporales.
Le triangle que-cés deux foèSes'lâiSsëùt en âvant'sur'IeS'frontaux,
est aussi plus large, et sa surface est plus bombée, Le triangle formé