(leuK'5>QTtiOiiiSi, mutilée? .de. ïaàchoiï^.ipfériejire <jS%\j»'$i iÇâtégsj^jlus
,,h%v,t.fLa partie vQSSçuse^est tellement,qltérqç etlKVfiWfppidejs^jDle
qu’on n’y-teopj)po^t;ancittne. forme,,et,ç’çst -ce;,qui jura,dé,ççrrpiné à
n’en représenter que les dents. àoïèsonMtsi» .ta eoJuobol««! ai*
..Cependant il vient^le se faire,deu^ dépfitjiyjerte^jpn^e Ærpjiygnt des
depts.parfaitepapnl.sem^labJesu^flVlçl,3>18sT^urie&j4fe 9fiJtes:,ï l:ieiÎCfus
d’ipidiqpèÇ. ToutesJ#S(detix 4ü8S.ÿRMÉ&Sft&ftp&B î?rai}Cft£,et
•jla preniièreafieempie tqutgSc)#âgïé<;é4wl)?^j;4^BSjlftÆ'f:WÇ^:ifiérjiÿouçrisaHïïïîtti^
Sd^r^t^ftrJ&îPfift» PBW0îYdl%.do dépaçtswwfe.!de
l’Arriége, située près la rivière de S èze qui sujetted^ala.^sqryae,
.,et sur. i’eÿ.çémité <Tppepjp(^ ,c^ jn e |.^ ^ o llio le§qu}idq§ç^n4f.ilt des
tPyreBÔgâe fiRffets«#1. iTW -/prmpit.,iîpi ^jaamelon
en avant de la ville, on découviif .pnqequfdte^dejerreysablân-
^eé^de^B0ttg^îjSiBT#p4foÿ^jisseps,J.î',epftSi%mt)fj^1uji,^(aifc de
marng argilejage t}'èsr;profppd.5Tjesf>p^e^trppyg}’gpjjetcit^g(le .sable et
rSSBSBSfcP'ttSp éhèll gftnt /ei^cqrg SB PÆfiHfeWÇSlJsftb flfb9i$çn$.jefcjd<e
grains de quartz roulés. M. éSf?t’%S1?iW^4!ftfjne
delà Eacultéple iMputpelljej .t).euf. (attention d’eu r,ef;ueillir une partie
(pr’i,liyoul,U.t,j3ien.no4^S:ja.dre^^eft,goiprhle(pal^g^I^q;!{-;piw| pfjr. Tjnter-
I ,médiaife, cle jjdqle bçqpn .$? MÉflBpJgpHHjt de
)¥j4/É!3éfÿ%u et membre de i J K . des députés. en
cinq molaires ou portions de molaires, dont je donne q^J ÿg^l^J II,
td® * » o ? en
une portionjd^ j^tg.infprieuiÿ^dj'uTiïP^ÇiiWdijus, .réméré éb êoâd
La deuxième découverte. a été faite .à C7te«/£p, lieu situé dans la
plaine de Beauqu,.^ d*pi,te de la^oigg trois
(igurg jd^ejte âjïSÎ^fiS^tesnoï «ans îao omàîèioU «J
Eller consiste en Quatre flênts, dont je dojmg(les6fÿçjsr(plit^,jgtéressantgs,
pl.XV, Jfig, t - ,gtpdfi°M^^KÉiEftdiPê||a''
Monnigre, ayec,des, (tggqagRSjtj# 4eJîM 4?j rÿ iîï? 5 j4 fW fc trè^ g ran d
^et^eaijgeijiue^deimâçh.eligre dg r^^^gpj^^.flj^nlgyptf^Ltef,}. .j
Je les dois à M. Ao«.w:ea«rttsecrétmrededaJ.^j^tg;3(jJ’agriqult,urc
4’p.fjéaps, (m a (Mep qt.oulu. Jps ^^ueijjjr ppurjç, Qÿf) jjje^du |.qi.
déterré à A ça ray, sur la pente méridionale de la plaine de Beauce,
au bord de la vallee de la Loire, entre M er et Beaugency, département
de Loir-et-Cher. Il se trouvoit également avec des morceaux
de mastodontes et de rhinocéros.
C’est sur ce petit nombre de pièces que je dois établir les caractères
de mon animal, et même, malgré leur ressemblance de forme,
on peut soupçonner, à cause de leurs différences de grandeur,
qu elles ne viennent pas toutes d’une seule espèce. Ainsi, pour éviter
toute confusion, je ne comparerai d’abord que celles de dimensions
à peu près les mêmes.
Les portions de mâchoires du Comminge (pi. V ) nous montrent
de chaque côté cinq dents molaires de suite, occupant ensemble un
espace de o,33 ou d’un pied.
La première paroît avoir été triangulaire et d’une surface assez égale.
Les trois suivantes sont rectangulaires, ont eu chacune deux collines,
et vont en augmentant de largeur; en sorte que la dernière
des trois est à peu près carrée. Celle-ci paroît aussi se distinguer des
deux précédentes par un talon plus marqué en arrière.
Enfin la cinquième , dont les deux collines sont moins usées, a
en arrière un gros talon, qui (d’un côté du moins, pi. V, fig. i) semble
avoir été d’une forme conique, et qui pourroit passer pour une troisième
colline.
Dans toutes ces dents les crêtes des collines transverses sont courbées
de manière que leur concavité regarde en avant.
La cinquième est longue de 0,08, et large de 0,06.
La quatrième n’a que 0,06 de long et de large.
La troisième est aussi longue, bien qu’un peu moins large, et paroît
avoir eu trois collines; en sorte que je suis porté à croire que c’étoit
la dernière dent de lait qui n’étoit pas encore tombée, ear on sait
que la derniere molaire de lait ressemble toujours plus ou moins à
la dernière des arrière-molaires, ce qui fait qu’elle est souvent plus
compliquée que la dent qui la remplace.
La courbure des collines, à en juger par l’analogie avec le tapir,
indique que ces dents appartiennent à la mâchoire inférieure.
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