Londres.' ( Pag; 420, on y renvoie par erreur à rla planche I , C.)
Le bassin de Paris d’après M. OMA.Lius d’HA.LLOY, Annales des
'Ï^ jp&g;üâ3'i. v
Le bassin de Londres d’après M. W eb^t]Iî{:, Mémoire sur la formation
yd’eau douce ,(Je l’ile de Wiglit? süc.j e tc ., Trans. ofthe^eol. vol. 2 , pag. 161.
Les mêmes couleurs indiquent sur les deux cartes les terrains
qu’on regarde comme ânàlo.gués.
PL II, D, Fig. i. L e calcaire siliceux sous Te grès de la butte de Montmélian , au
lieu dit les Pressoirs du R o i, près Samoirèaü, à l’est dé Fontainebleau.
...................... (Pag. 447 et 507.)
A. Le calcaire siliceux traverse dèveinulesde calcaire spathique en bancs
puissans, exploité pour les Constructions.
B. Bancs supérieurs de ce calcaire.
C. Grès en bancs divisés en blocs par des fissures verticales et séparés par
des lits irréguliers de sable'.
Fig. 2. Le rapport des deux terrains d’eau douce aux environs de Nemours
, d’après M. Berthiek. aâd . .33 •wb.vn-oq . (Pag. 528. )
Aux environs d uFayau S^, et près deNemoursisur la rive gauche
du Loing.
B . P o u d in g u e s î lic e iix en'Bancs trè’s-püissàns'siir la d r a iè , e t fo rm a n t le
■ bas d eS iC ô te âü x e t lé'fottïdi d é ' ih f v a l lé e . ' G é o p ô ù d ih g u e e s t u n p e u
c a l c a i r e d an s ses p a r t ie s s u p é r ie u r e s .
C• Calcaire d’eau douce, avec tubulures,en bancs, puissans, renfermant
-des cailloux roules dans sa partie inférieure. '
D. Grès en bancs, divisés en blocs et formant dès petits monticules.
E. Calcaire d’eau douce recouvrant le grès et paroissant vers Lavaux.
Vallée des Châtaigniers, au "sud de Nemours, rive droite du
Loing.
A. Craie et silex pyromaques,, visible dans la vallée du Loing.
B. Poudingue; C calcaire d’eau douce ; D grès en bancs puissans comme
sur l’autre rive.
’ E. Calcaire d’eau douce sirpérieur découvrant le grèsT"5^'
. F ig ï i j . Impositiondu gypse date leoterrain d’eau douce,*etc., au Puy
1 i i en Velay,..d’aprèsiM.EBEKXniBD-RonK.. .■ ja o - jc j r f i» (p ag. 4g4.)
La cBupe’vadumfflrdnestEiau:sud-oiiestiP.-u-■
ififiîjoa: fil u A^'^Srèinîte.- -
joiq ^iBv.iPsamxnitje gr.anitôïdeu:j oi aufib 89JiDjnJao io\ Inncq
biBdnoùJ oÜ ÜVIaroeS arg^enees^. \
D. Terrain lacustre renfermant des lits de, gypse;-TT?. Colline au S. O. du
Puy.;. . . . E j Saint-Michel.
E. Brecciole volcanique, et^aiatres roghjes volcaniques A’aggrégation.
Basante.,
PL III, Fig. 1. ÈeleinmïesInücrdnaïus^BWid. ,P o lÿ th ., ngTi-6|^ScHLOTH.
; ; • • • â * ‘ * ‘ (Pag* 25ov>
A. Coupe longitudinale^faisant voir l’intérieur $B vue à l’extérieur.
La troncature nette inférieure est artificielle.
( Individu de la craie blanche de Meudou. )
Fig, 2. Crama parisiensis>/PEfciL.-xbïL am. , • v o L 6., -pag. 239, n°. 3;
(Psg- a5i. )
M. Defrance a reconnu la différence de cette espèce d’avec les autres
cranies , et cette distinction a été admise parM. deLamark, etc.
(Individu de la craie Manche de Meudon et de la colli. de M. Defrance.)
Fig. 3. Trochus Basteroti, À. Br . . . . . . . . . . . . (Pag. 2.5o. )
Quoique ce trochus ne soit qu’en craie moulée dans la cavité
■ laissée par la coquille j il est très-reconnois,sableiet ne nous a paru
pouvoir se rapporter exactement àaueune des descriptions , figu-
■ guresjou individus avec lesquels, nous»l’avonsi comparé. L ’espèce
dont il se rapproche le plus est le trochus punctatïis de Sowerby,
mais dans le nôtre les tours de spires, sont nettement séparés par
: ■ un sillon assez profond et par un cordonnet à,plis obliques.
Fig. 4- Mjtiloides labiatüs, A. Br . . . . .1 (Pag. 317 , 320.)
Cette coquille qui se trouve dans presque tous les terrains de
craie, tant de la cr,aie blanche que delà craie tufau, a été remarquée
depuis long-temps par les naturalistes qui se sont occupés de pétrifications
j elle a été figurée un assez grand nombre de fois, mais d’une
manière toujours très-incorrectè ( K norr, I I , I , tab. B , I l , b* * ,
fig. 2. Mantell.— Descript. des terr. de craie des eny. de Brighton,
tab. 27, fig. 3, et tab. 28;, fig. 2, 3, et peut-être 1 et 4), parce qu’011
n’en voit ordinairëment que le moule, ou bien lorsque le test
existe il est si mince, si fragile, si adhérent à la roche, qu’on n’a
pas pu encore en voir la charnière. On ne peut donc dire exactement
à quels genre cette? ■ coquille appartient, sa forme extérieure la
rapprochant des moules, nous la ^plaçons provisoirement près de
ce genre .en lu i donnant le.nom de mytiloide , -et le nom spécifique
de labiatüs que M. Schlotheim lui a assignée,; en la mettant
parmi les ostracites dans le tableau .des pétrifications propres à
chaque terrain inséré dans le Tascheiibuch, été. de Léonhard,