pomme dans lié tapir ; tandis que cet os ressemble plutôt au rhinocéros
par la facette calcanienne supérieure. Enfin le col se dirige obliquement
du côté interne plus que dans aucun animal que je connoisse.
Il y aurait une dissertation toute entière à faire sur cette moitié
d’astragale, si l’on vouloit indiquer toutes ses ressemblances et'ses
différences; avec les astragales des autres animaux.
La corde de l’arc externe de sa poulie .esti de .Q,o65, - celle du col
de o,osim
Dans le jeune tapir l’arc a o,o3ü ;• le col, bien plus long à proportion,
0,02v
Cet os approche beaucoup de la grandeur du rhinocéros.,:;
S i, comme il est à croirç^jçéjféjam;^cetihunjérupÿ cettè omoplate,
ce cubitus et cçt astragale, venoient dunemèmeespèce, nous, n’aurions
pas besoin de ses dents pour affirmer que c éioit uu animal dé
plus à,joindre,à ,1®: liste de? pacbyd^npjs^enüèt'etpenjciimpnnu&ùda.
surface - rie, la, terre g et .s’ils, as'pieut .appartenu à plusieurs espèces j
,(iacun,dieuXiÀ:®art êBfe<86fp&81 conduire ià.Ja iticum conclusion
par rapport à l’espèce à laquelle il,,app$rt9dpkv,Ea -sortSerquode
UOmbpftdéoéfUlétaesincG^flars.sèi'oitiepfiere!^!^!!?, dt) eao -nu l
- îMaisi .nous pensons^même n’êtr.e juw entièrement- déjmutv.us dé
moseeanx -ceintenanit des idents qued’iQP ipourtoit rapporter,à dette
espèce avec une vraisemblance suffisante. .ansalso Jnomi:> nn -iect
,Le pln| .considérable, est un, fragment de ‘mâchoire,, . représenté
pj. 111*%,,?* gnu 89j ,
À la vérité ldrriere-niolaire qui s’y est conservéen’excède pas
beaucoup en grande uneellè de l’espèce moyenne^ même, p i , fig. i
et a). Elle a,o,o4è de long:et o,,oaa de large; .mais on y aperçoit
déjà unepetite différence dans le rebord antérieur».' et
Plus usée que!celle ale la mànhoiiie.iprécédemment décrite ,-ses
collines,semblent se rapprocher davantage dë.la, forme desicroissans ;
mais, ,ce, qui me, fait principalement supposer qu’elle vient d’une
espèce plus grande, c’est que la partie de mâchoire' qui; la porte -est
plus haute que ilaq)artie> correspondante de fiespèce’moyenne. Elle a
dans ce sen6'0,o65,.e t en,épais3euriO,o3a', excédent qui n’est ;pas
sans doute;aussi fort que celui des os que nous venons de décrire,
mris qui peut s’être ttoüvé'restreint dans cette limite, ou par des
causes individuelles,'ou parce qaè cette-grande espèce, comme il est
assez ordinaire,- avoit les membres plus'gros à proportion.
, Nous avons vu que dans le lophiodon moyen d’Issel, ces:dimensions
sont de o,o5y et de 0,0.80. Dans notre jeune tapir d ’Amérique
elles sont de 0,04? et dé -0,0*3.
On rapportera, si l’on.veut, à cette grande espèce, la dent intere
médiàire’ à deux collines (même pi. yfig. 4),-quiétoit probàbleùfent
la pénultième ou l’antépénultième. Elle est longue de 0,027'iplarge
de 0,020. •
Voilà donc au moins trois espèces;d’un genre inconnu découvertes
dans- un seul lieu, ety req u ît ést bon de rdtnarquefj'avec des fragrm:
r?s d’un a®tfe gem'einctjnntl quénonsdéérirèms’âa^'no'tfrëséconde
partie; celui: dès jyal'ù;'<ylhériurnê-‘çk't il y â à'ISsel1, ainsi que nous
le ’ferons voirg 'de véritaMesipriamthériutÙsetrês'-diffiSi'efis-,de‘-cesi f >-
phiodons, min.si'iloht l’éspdè,é^-ahîSiiqéé)f}&fià le’ méiitrcrdtis' aussi,
siest'-'retrouvéé.pi'èS d’OrléaüsJ ' |
Tous ces os d’ Issel stfnt empâtés daire une'eSpècé de povùlingiie ou
d'e girèsdè-TtranspOrtctrès-dims.; éôlnpôsé dêOgrainS’si'licétfXî-'dé différentes
couleurs, roulés' ast irrégulièrement arrondis; ‘liés 'ensemble
par un ciment calcaire. omr
sJî^jtoeîgrândèîpartië-'deÿ-ùs éïôiéns totrtilés^ ettitt nombre pins grând
encore avoit été roulé avant d’être incrusté. Les uns sèot; teints -en
noir, les autres en fauve, les autres en violet assez fefcàiné
: Outre les os des trois; espèces de lophiodôiis1 et celle dé pateothé-
riuna dont nous;'.venons de: parler, -on. relire de cp1 ciment; dès os dé
crocodiles, des os de gnuides tortriesi probablcTfient du genre dés
émydes, et des'os inconrestaMes dé trionÿx ou de tôrtües molles,
circonstances d'autant plus remarquables que nous r errons eesdivers
genres s’accompagner presque constamment daos les lieux où ilsont
laissé leurs dépouilleé.'
■ Il jiaroit; par le Mémoire d e S'il Dodun, qué las dernières pentes
A&X& MvMtagne jNoive et:les;environs de Castelnâudari sont très