Fig. 2. Phjrllites multinervis.
Fig*£j. Equisetum brachyodon.
a. b. De grandeur naturelle.
A . B . L e s m em e s g ro s s is .
Fig. 4* Phyllites remiformis.
Fig. 5. Phjrllites retusa.
Fig. 6. Pfiyllitegspatulata.
Fig. 7. Phjrllites linearis.
PU m. 'Fig. IV Piruts T)efrancii.
. a. Détail des écailles.
' b. Une écaille vue de profil.
. Fig. a; Culmites anomahis.
Fig. 3. Lycopodites squamatus. a. De grandeur naturelle. b. Grossie.
■ Fig, 4- Carpolithes thalictroides, var. Parisiensis.
Fig. 5. Carpolithes thalictroides, var. Webstéri.
JFVg. <3. . Carpolithes Ovulum.
a. De grandeur naturelle.
« m |. ffjAfjfe h. , Vue enjdçssous.-
c. Yue de côté, grossie.
Fig. ’j. Chara medicaginula. ( Dix fois grosse comme nature. ’^ 51'
" • a; Yue de côté. > OlùiStt S’il bi Vue en dessous.
p o l i j j . 102 f j u y.a Détail des crêtes qüi séparent les valves spiralés. 1 ’ d. Les mômes, telles qu’elles se montrent eâ ïileu^dens les de
Montmorency, etc.
Fig. 8. Chara helicteres. ( Dix fois grosse comme nature. )
a.V u e de côté. b. Vue.&Q dessous. (jÿîQQSÏâ (J(J ÇTîTr2 d. V u e en dessus. c. Une des valves spirales séparée.
Fig► 9. Chara Lemani. ( Dix fois grosse comme nature. ) a. Vue de côté. b. Vue en dessous.
Fig. 10. Nymphéa Aretlmag, — Impessip» d’a l e partie de la tige. Fig. 11. Nymphéa affiffi.,sTOj>qjÙQA.de-,tige viiVaate p o iç la comparaison
avec l’espèce pr^àlêltevnDtnEig ad .4 -o Fig. ta. Phylliies cinnaniomeifalia. - S .A
Fig. i 3. Phyllites abietiiia.xmnS^«p.‘t^Xh^f\
.»usUn is i iS V ^ i .2 .%ÏA
C A R T E G É O G N O S T IQ Ü E . 3 ^
Cette carte embrasse, dans quelques diE^Jipw^lt\fÎNd%teri^in,gne nous n’en
ayons visité 5 mais nous avons voulu la mener jusqu au baçsiii de craie à 1 ouest, qui
y a été marqué d’après les observations^de^ïÆ. ÎD^mar^t-j membre de 1 Institut,
répétées par JVI. son fils.
Notre carte a été dressée pour la partié^ébgVî$biq^^stirècellês Rb^Cassini, sur
la carte des chasses, sur celles de ^ °^ '^ y °ns Rnsupprimer
tout ce qui anroit pu la charger de detailsymq|i^e^^notre objet; nous n y
avons placé que les Communes, et parmi les nameaux ^*gp^ n^avons mis que ceux
qui désignent quelques points importans, comme Grignon^, Beauchamp, etc.
Les lignes poiicMl^^'i^iqüêHb f^'uRht^^c^êèr-ït-dire'les terrains que nous
avons connus par no& propre s e rya lions .^Le s espacesàntermédiair^s ont été déterminés
, ou d’après des renseignemens pris aur les lieux auprès çbîs architectes
et des exploitans de carrières, ou d’apr^cètix“d ^ 5saVâhs"qùi, aarfS divers temps,
ont parcouru ces contrées.
Les parties laissées en blanc et qui ne sont pasîè^sdl d’îftïdrritsement des rivières,
sont celles sur lesquelles nous n’avons pa^êtPde1 fénsligWèmèhs précis. Nous 11a-
vonscpaa ijugéiconvenable d’e^lutraii^i^îo.;:6qlvd’att^Frisiseiûétit m odefiie, il est partout
le même , et cela auroit surchargé la carte de çpulpuïs et de travail inutiles. Les
terrains y sont moins subdivisés que dans les,j^igpeSv-Qn ’enj, sentira aisément la
raison etquelquesriins^êm^iquisUeTfoUïieiitjamais la sürface du sol, telle que
j'argile plastique^ n’ont pas dù:y être marqués.
.ois ^ansiomJnoîô
( siutfiiï ommoo sasmg aiol xKl ) .8 «ÿft.
FIN DU SECOND VOLUME
simab ccs sa Y «b
9èisq^k tslstiqe «9vl«v •«£» snD .a
( %wi&a ommoo âs’ oig asol xiG ) p
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T. IL 78