526 D ESfâBlP H IttW GÉ £) L.0 G ïQWE
réélise Ces deux terrains • sont ; ®9k a» sud, ceux des., enivirona
de.Cbâteam-Landonpap. au nord , ceux duSoissonnois»,- décrits par
M.' Hericart-EerrancL
IjCHATgsAür-LAWBoix, est une. petite vide, située, dans, le, dépai^e-
inent du Seme^et-Marne,. ù.six lieues-en.viï,<ja et, au sud de Eou-r
taùiebleaji., dans la vallée dp Loing, Ljeg, carrières- d’où l’on extrait,
le . jCaleaire, diçau douce ,compacte, . connu à Paris, sops le nom dp
marbre de Château - JLa?idon à environ une demi - lieue
de cette ville; le terrain dans lequel elles,smitcrçuséie^es^.géQ^j
graphiquement hors du bassin de Paris ; mais il lui appartient
géologiquement, car il lui--,esc-, fiévs;ms .intjerrupfipn.par, les,,pal-
'qaiçes. d’eau douce soit inférieurs^, soit; supérieurs,,dp la fqrûl.dft
Fontainebleau, qui se prolongent vers ,1e midi jusqu’à, .Château-
Landon.,, et peut-être un peu au-de]à. . ;,
Dans le.lieu même de l’exploitation, on ne vqijD>q,ue,lejC^lççi}]e.;
11 est. à .la.surface du,sol et on ,ne sait pus sur quelles rroc-Jj.eH il
reposé.:On nîq.done.ici pour déterminer la position que,là,nature:
de,ces roches.et celle des-corps .organisés fossiles qu’ils . renfermons»
Le calcaire, est compacte, fin,.gris jaunâtre.,, briimàtFe, et mêtstOt
noirâtre dans quelques parties; il est dense, assez dur, très-solidepgfe
saiGassureoest^çonchoïde et un peu esquilleuse. ,Toutes o,e,g quaüîés
le rendent susceptible .d’être taillé) (facilement et même, de ireeevoift
jusqu’à un certain pointle poli. Sa pesanteur spécifique gst âWÜÜg
Mais il est. caverneux , les cavités : qu’il présente sont, ou irrégulièrement
distribuées, dans la masse ou disposées en canaux sinueux
plus ou. moins renflés, e,tà peu. près perpendiculaires ,aux, sarfàcies,
dp strafifipation.^Elles? spnt quelquefois remplies ou. simpleuientta-,
pissées de.cristaux de,calqaire.spathiqueq:cette circonstance est une
deeellos qui «opposent davantage à l’emploi de cette pierre pour les
objetsÆqrjaement, ,pai’ce,qme)le ne lui permet pas.de prendre,un
ppli-égaJ.et.un lnslrti constant. . d,,
Ctoj.n’iS) qbsegyq pi.rognons siliceux ni infiItrations,siliceusesi;du-
mtftP9}qs81 jy #i>G?t»r;eHee Sfeopt trê5;wes ? car, nousnenousvappejons,
ï D B s - ï 'm v ï t t o w o Ë 'pwffiî-sïï a
pas1 d?’en'avoir vu»»-et. lés^exploitans font' remarquer que lesteoncré-
tions brillântes qùe ce tfalcaire renferme ne sont pas pins dures que
la masse ; elle contient des coquilles qui y sont, il est! vrai ,peu ré>-
pandues; mais néanmoins il seroit extraordinaire de voir un grand
nombre de pierres 'extraites de eês Carrières sans' en découvrit» qttel-
qüësnnfes yët si'ë’ëét sur le lieu1 memë qu’on lés (cherche on en tro'uve
bêairtoup 'pl lïs, 'cariles'èbquillesèûnt plias cbtnfmunes dans 1 éS par-
tifô taoiées éciln peu àrgi-Ib-bitumineuses ; qu’on m'emploie'pas, que
débS fies^arfieé’éâmpiifctëSfi homogènes’ e t jaunâtres» ; qui Sont Tobjet'
principal de l’exploitation.
,l'^ ï ,bhquîll4sSOilttduf5e§'M’ohstt'ès.Ç!Gè!sont preÿqu’uniqueiïient dés
pla'fiofbW'vioiSiris 'dW}P^a^rbis''Vo'tlindâtüs ët dës ’KïnnéëS qtti
rfiSsëiïiblent bëauëènp W? Hjfoànetêè' :l&n£iëcàtâs ' 'Ad.1; maisrieLtr'
état ’dë' TiaiSôilr iètftbè' a¥eë'Mr piërrë èn à tellëment émOuSse !le^
contours et effacé les détails, *qu ori ne pëut en déterminer éxlab»J
tèmënt 'lés éSpÊoteS/ ->
Oh'1'remar'qüë dâns'lâ barrière è"dës barieiÿ puîisà,nsB:-dë -plusr
d’Utir:mètië-HàsgëîZl,disptfciemén6 'tstratifiéà ;'"laf;përfië! supérieure5
d*é1%fe'!s''bëÔ'ês ^éiftd’niiëùséüleur plus foiicéé que le resté1 pelle ‘ést
nlOias» dferïsë; moins quire, ' et -(f est celle qui contient'le plusJde
•doqftüfcafrvnit '
'Sisofi1 n’avoit qùe-Ces rensêignëmens ;'les seùls'qneimOS'-nyqiis
ptiepïètidré snrdësilie«ux ; ilafis^ittrès-difficile d’établir'mie efpiniori
probàblfe sur lë itétrain dbéStf ‘dôtië’ë’ auquel U e'âlëaîfê de (cê lieu doits
être 'rapporté :1 8 absëiïèë • de t^Ute' r'oche recouvrant,' 'Celle»d.u-*sMëxl;
la présente'd’un iSsSê^^fànd nombre dfe coquilles sét même* desl
couleurs Uéirâtfés tle ' certaines »parties", lui donnërOient dés analogies''
avec le terrain d’eau doücfe'Supérieur1,' si épais e t si èë&pàcPé'
dans la forêt'dë 'Féntàînébleaa: Mais Saspbsltititi 'dans une -plaine!
asstez'baSse , plutôt qdë'§ût: un platéaü»,'Sés 'infiltrations»ealoaires1;1
sa puissance ;5ison homogénéité ët sfettHit sà' solidité remarquable
et durable , .lui donnent d’un autre cô«é 'deagrâfidëà imalogiës'avec
le !talcaire' d’eau d dû éfi inférieur, Oh''calcai're siliceux ; et quànd'hn
c ompa r e - s a- position dan's ce lieu, à celle de cecaicaire à Septeui!:,