Les O.pectinata et carinata à là craie inférieure , et l’O. serraia
à la craie blanche.
PI. I V , Fig. ï • Pecten quinquecostatus§■ S ow ., tab. LVL, fig. 4- 8..................
> (Pag- ^ ^20, 33a. )
A . L e s d e u x v a lv e s r é u n ie s p o u r < fa i r e xvoir le c r o c h e t e t l a fa c e e x te rn e
d e l a v a lv e s u p é r ie u r e .
B . F a c e e x te rn e d e l à v a lv e in fé r ie u r e .
G. F a c e in te r n e d e l a v a l v e su p é r ie u r e .
Ce peigne qui paroît présenter des variétés assez nombreuses de
dimensions', et même de proportion dans les dimensions, est une
descoquillesdes plus constantes dans les terrains de craie inférieurs.
Fig. a. PlagiostomaspinosaS o w ., tab. LXXVIÏÏ. . (Pag. a5i , 3ao.)
A . V a l v e su p é r ie u r e é p in e u s e . L e n om b r e e t l a lo n g u é u r d e s ép in e s
v a r ie n t b e a u c o u p .
B . V u e e n r a c c o u r c i 'd u c o té d u c r o c h e t , p o u r f a i r e a p e r c e v o ir l ’o u v e r tu r e
t r ia n g u la i r e q u i p à r o î t ' a v o i r -d o n n é so r t ie k: q ü ë lq u e p a r t ie p r o p r e
à fa i r e a d h é r é r c ë s c o q u ille s .'
C . ' V a l v e in fé r ie u r e n o n 'é p in e u s e .
Il seroit possible que céttè coquille fût plutôt un podopsis
qu’une plagiostome. C’est la seule qui p*résfeiïté* Couverture triangulaire
qu’on vient ’ de mentionner, ouverture' très-remarquable
dans les podopsis/
Fig. 3» Plagiostoma Mantelli, A. Br . . . , . . . (Pag. 320.)
.. .Cette espèce s'éloigne beaucoup de la précédente, mais elle se rapproche aussi des autres plagiostomes et.gigantea, notamment du Pt. Sow. ; elle estsuborbiculaire, bombée, les plis d’accrois-
. sement sont très-sensibleson ne voit de stries divergentes que sur
les côtés antérieurs et postérieurs, l’oreillette antérieure est marquée
de trois ou quatre gros plis longitudinaux, l’oreille postérieure
est à peine sensible. Cette partie antérieure A B est profon-
, dément enfoncée. .
Sur un individu des environs de Brighton, .envoyé par M. Man-
tell. i Fig. 4^ Mytilus loevis. D efr. . . . . . . . . olnov* • . (Pag. a5i . )
1 Cètté coquille assez remarquable dans la craie, est de la collection
de M. Defrance, l’échantillon étoit en mauvais état et mal ca-
; ’!>ractérisé.
Fig. 5, À.‘B*. C. Tèrébratutapticaiilis. S o w ., tab. CXVIII, fig. i . (P. a51.)
Pour ne pas établir de nouvelles espèces'dans un genre déjà si
nombreux, je rapporte celtetérébratule au T. plicatilis de S o w .,
autant qu’il est possible dé déterminer des espèces si voisines par
des descriptions ou même par des figures lorsque celles-ci ne sont
pas,faites avec unegrandepureté de contours et un soin minutieux. FigiB, À. B. C. Terebratula alataL am. , n° 43. . . . (Pag. a5x. )
A. B. C . f t 5, 6. (Pag. a5i.) Fig. 8, A. B. C. 2.(P .25i .)
( Il y a dans;l^jL,ex.teapl.JL ^ ^ A n i , l^g. r ,rÇ’est une erreur. ) Fig. & A. B ( P a g . a5i.)
,, Tei:ebratula pumila , Lam. ; n? 58.
L a figure est presque le double de la grandeur ordinaire de cette
coquille. ^
Fig. io , À. E. F . G. H. I. Catilïus Cuvieri , A. Br. . . . (Pag. a5i . )
’ ïnoceramiis Cûvierîj Sow. , P ark.
On a donné le nom à'Inoçeramus à des coquilles qui me semblent
présenter des,différences si nombreuses et si frappantes,
que je n’ai pu me décider à les laisser réunies , malgré la loi
que je me suis imposée de n’apporter aucun changement dans
la division des.coquilles,, telle qu’elle a,été établie par les maîtres
de l ’art. Il suffit.de comparer les coquilles fossiles que je réunis ici
sous le nom de Çatill,us avec les Inoceramus fig. n et 1 2 ,pl. VI,
pour être frappé de cette dissemblance. Les espèces de ces deux
genres habitent les terrains de craie , mais elles se trouvent dans des
couches de ces tèrnàins'ijùi'éoh'fc frëê^éïôî'gtféeà les unes des autres.
J’ai Cru'devoir‘cdnsefvéf le nom (Ilnocëramus au genre composé
défe Coqüiïlë's "qûé ;M. Parkinsôn a fait cOnnoître et figuré
sôusW hoiïi datià^b ’jîréiïtiér" Voltuhë’ des • Transactions de la Soc.
géôl. de Londres, que M. Sowerby a établi et présenté sous le
même nom à la Société linnëenne de Londres en 1814, et dont il
viént de publier ïesrfigures dans les planches- 3o5 et 3o6 de sa
Conchfôlogiè, étr 'j’ai préféré donner un nouveau nom à l’espèce
dont je ne vois de description et dè figuré exacte nulle part.
■ Je n’ai pu voir'éûédré’ adèuÛ individu entier de cette espèce,
en sorte que le genre est lui-même difficile à caractériser ; mais
avec le secours des fragmensde charnières re'çâsieilli.es dans diverses
collections, avec les figures publiées1 par MM. Parkinson et Man-
tell," on peut arriver à caractériser ? suffisamment ce genre pour
le faire reconnoître par les géologues, et leur donner le moyen
de désigner d’une manière uniforme une coquille si remarquable
et qui se trouve si constamment dans la craie blanche.
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