grand nombre des quadrupèdes, mais dont les incisives , les canines
et les pieds sont disposés d’une manière unique dans cette classe,
toutes ses dents ne formant qu une série non interrompue comme
dans l’homme, et ses pieds n’ayant que deux doigts comme ceux
des ruminans, sans que leurs os du métatarse et du métacarpe
soient pour cela réunis en un canon, comme ils le sont dans la famille
que nous venons de nommer.
Au milieu de ces divers débris nous en découvrons qui paraissent
se rapprocher du tapir plus que des autres genres, par des collines
transverses et presque droites dont plusieurs de leurs mâchelières
sont relevées; et c’est par eux que nous commencerons. .