ontlui trouve encore dé plusigrands rapports avec cetteufofmatian
d’eau douee inférieure:^ qui nous a fait voir à Septeuifi près Mantes),
des coquilles d’eau douce, dans sies assises, supérieures, noirâtres ét
argileuses comme à Chàteau-Landon. Le calcaire lacustre de Chàteau-
Landous,' observé: isolement:),! paraît;donc avoir déjà, des analogies
asse^iprèdomiuantesbarec le teàMake. lacustre .inférieur ! ees. rapt-
ports sont puissamment fortifiés lorsqu’on suit les. couches calcaires
de proche en proche jusqu’au terrain lacustre évidemment
inférieur. ah MiotWm tab «mob unVb c® vlT; -H
Au F a y , entre Chàteau-Landon et Nemours, mais plus près,de
>e aernîèr lïeu, ônrenrarqùe’sür'le bord de là vallée du Loing, la
:SufcéesëidH Suivante de roches’en allant de bas en haut; lui
- ,io.;fl|Jrt dépôt puissant de ipoüdingiie'siliceux qu'au sait’être dans
'ièefe^èatüc^ls' immédiatèméntî'siiperpoisé'ià ’la; craie. Il 'estpurement
siliceux dans sa partie inférieure , et un peu calcaire dans sà (partie
banc'ras.çez:épais'de çalcaîre!lacustre , Semblable :en tout
■ à ■ efihiî de Chàteau-l'iandmi. é rnsil «ènpJ snp snob lu ittueiinoe iup
t s 3«. Un dépét de sable mêlé de bloc. de grès qui paroit analogue
au grès de Fontainebleau, «ai® ttlMWti Ut , mM&IMI
*»* En s’approchant encore plus de Nemours ,'on retrouve aullieu
dft fà vMléeadesUMtarguiers’, la succession complette des couches
■ qhiuêoïBpôseUt toutes les formations connues; (dans çei.Scamttm,
c'éèt-â-dîre toujours en allant de bas en haut.
i°. La craie avec silex.
1 !§&fl Lé poudifigUe siliceux que Uotis venons de mentionner. I
3°. Un calcaire lacustre avec des silex roulés, disséminés darwisa
l9p£f®‘ffifëiiedfé.l;’ ■ aallmp .. taon .: al
4°. Le grès en blocs et même en bancs avec un peu de sable.
ü 5®.‘'Et au-dessus, mais pâs dans tous les points j-le calcaire labbstre
•Supérieur. • - **>» »88 tsiliui
Nous n’avons vu ni ces deux endroits, ni la succession dos cou-
ebésKpie^hoüs venons de décrire ,’m'ais nous tenons cettesdé&rip-
tion de M. Berthier, ingénieur des mines, qui habite souvent Nemours
, qui connoît parfaitement la géologie de ses environs, et
qui instruit de nos doutes sur la position du calcaire de Chàteau-
Landon , a bien voulu faire les observations précédentes avec l’intention
de les éclaircir.
Il est donc extrêmement probable que le calcaire lacustre de
Chàteau-Landon, appartient à la formation.d’eau douce moyenne
ou gypseuse.
II. Terrain d’eau douce des environs de Soissons.
Celui-ci a, été observé et décrit par JV|.-, Héricart-Ferlrandj il est
superficiel efcne,doit pas être confondu avec le:premier terrain d’eau
douee de nositerrains de sédiment supérieur, qui esf accompagné
de lignite et d’argile plastique, et. dont nous avons parié p, a58 et
}>• 344. t( ■
Ce terrain H. (pl. I. B. fig. 1 , coupes AB et AC) est composé ,en
général d’un calcaire marneux coquillier, de silex .et de meulière
qui contiennent dans quelques lieux (à Louaslre) des gyrogouites ,et
des coquilles d’eau douce’, qu’on, peut rapporter, au planorbù ro-
tundatus, au limneus comeus, etc.
IL est toujours superficiel^ et ne se montre même que sur les
points les plus élevés,acomme le font voir les coupes AB et A C ,
allant la’première du nord-est au.sud-ouest de Soissons en B à
Louastre, et la seconde du nord au sudde Soissons aujiont Bernard,
sur l’Ourcq.
Les couches sur lesquelles il est placé sont eu allant de haut en
bas : ;
FGE un banc de sable sans coquilles renfermant des masses et
des grès également sans coquilles.
D des assises pins ou moins multipliéjes de calcaire grossier coquillier
analogue au calcaire grossier des environs de Paris, renfermant
les mêmes coquilles que lui.
C une masse considérable de sable qui recouvre les lits B d’argile
plastique et de lignites.
T. II.