CONCLUSION.
Dans la partie qui précède, nous avons restreint la
question du développement commercial de l’Abyssinie
à l’exposé d’un petit nombre de moyens, propres,
selon nous, à faire obtenir un résultat immédiat; mais
en nous renfermant dans les strictes conditions du sujet,
ainsi limité et d éfini, nous avons laissé à entendre
qu’il embrassait un cercle de considérations beaucoup
plus vaste que celui d’une discussion purement pratique,
et que les éventualités politiques pouvaient apporter
dans la marche du système adopté, que ce fut
celui que nous avons conseillé, ou un autre reconnu
préférable, des modifications tellement graves, qu’il
est impossible, a p r io r i, de ne pas chercher à s en