1 0 6 6 OP H I D I E N S OPISTHOQLTPHES.
1802. Coluier cenehoa. Shaw. Gener. zool. vol. 3, part. 2
pag. 473.
1802. Coluler cenchoa, Latreille. Hist. Rept. Tom. IV, pag.
129.
1802. Bie dünne natter. Bechstein de Lacepede's naturgescli.
Amph. Tom. IV, p. 115, pl. 14, fig. 1, (copie de la fig. 3, lab. 16,
Tom. II, Séba.)
1803. Coluler cenchoa. Daudin. Hist.-Rept. Tom. VI, p. 283.
1810. Bungarus cencoalt. Oppel. Ano. Mus. d'hist. nat. Tom.
X V I , p. 392,
1811. Bungarus cencoalt. Oppel. Ordn. Fam. Gatt. Rept.
pag. 70.
1820. Natrix cenchoa. Merrem. Tent. Syst. Amph. pag. 114,
n» 82.
1820. Coluber cenchoa. Kuhl. Beitr. zool. vergleich anat. —
Abtheil. 2, p. 88.
1823. Dipsas cenchoa. Maxim, zu Wied. Beitr. naturgesch.
Braz. tom. I, p. 396.
1826. Dipsas cenchoa. Boié. Isis, tom. X IX, p. 982.
1826. Dipsas Weigelii.'FHzinger. Neue classif Rept. p. 39, n»
1, et Dipsas eenchoa. Ejusd. loc. cit. n» 2.
1827. Dipsas cenchoa. Boié. Isis, torn. XX, p. 821 et 349.
1830. Dipsas cenchoa. Wagler. Syst. Amph. p. 181.
1837. Dipsas Weigelii. Schlegel. Essai physion. Serp. tom. I,
p. 162 ; Tom. II, p. 278, pl. 11, fi. 19-20. La plaque nasale n'est
pas exactement représentée.
1840. Dipsas Weigelii. Filippo de Filippi. Catal. Serp, mus.
Pav. {Bibliot. Italian. Tom. XCIX).
1843. Dipsas Weigelii. Fitzinger. Syst. Rept. Fase. I, p. 27.
Çipo ou Çurucucu de pattioha, des Brésiliens.
DESCRIPTION.
Ecaillüre. La plaque rostrale a cinq pans, deux petits soudés aux premières
sus-labiales, un très grand, le basitaire, et deux chacun un peu
moins longs formant un angle, dont le sommet touche aux inter- nasales
qui représentent des triangles scalènes.
Les pré-frontaies ont sept bords, trois à pca prés également développi-s
»1¥SA1)1ENS. G. IMANTODÈS.
aualre Inégalement plus petits, qui s'attachent séparément aux deux
n èces de la pré-oculaire, ainsi qu'à la frênaie et à la seconde nasale.
La frontale pentagonale, a les deux pans latéraux à peine convergents et
un peu plus longs que l'antérieur, ses deux bords postérieurs sont notablement
plus courts et sont réunis sous un angle obtus.
Les sus- o c u l a i r e s sont oblongues et près de deux fois aussi larges en arrière
qu'en avant, où elles sont coupées presque carrément et articulées
tantôt avec la frontale et la pré-oculaire, tantôt avec celle-ci seulement.
Quelquefois, les pariétales laissent entre elles un petit écartement angulaire
à leur partie terminale; d'autres foisy elles se joignent entièrement.
Dans ce dernier cas, leur bord temporal forme avec son correspondant un
grand demi-cercle ; celui de leurs pans qui lient à la sus-oculaire descend
toujours le long de la post-oculaire supérieure.
La nasale antérieure et la postérieure représentent ensemble une plaque
à cinq pans inégaux, qui s'attachent à l'inter-nasale et à la rostrale; puis
le plus petit de tous, tient à la pré-frontale ; enfin, les deux derniers se
trouvent en rapport, l'un avec la frênaie, l'autre avec la première sus-labiale.
La frênaie est un trapézoïde, généralement un peu plus haut que long.
La pré-oculaire supérieure est quelquefois confondue avec l'inférieure,
qui est plus petite ; quand elle est distincte, elle offre cinq angles inéganx,
dont le plus grand de tous se rabat entre la pré-frontale et atteint presque
l'angle antérieur et externe correspondant de la frontale moyenne.
La pré-oculaire inférieure, qui est haute, étroite, hexagone, s'appuie par
deux très petits pans sur les troisième et quatrième sus-labiales; et s'unit
par deux autres bords aussi courts, à la pré-frontale et à la pré-oculaire
supérieure.
Les post-oculaires sont toutes deux allongées, mais celle du haut l'est
ordinairement une fois plus que celle du bas.
Il y a, sur chaque tempe, neuf à quatorze squammes d'inégale grandeur,
la plupart oblongues, dont une, deux ou trois touchent aux plaques postoculaires.
La lèvre supérieure est revêtue de huit paires de plaques. La première
est trapézoïde, la seconde en trapèze sub- r e c t a n g l e et la troisième aussi; la
quatrième plaque a un pan de plus que les précédentes, extrêmement
petit et sur lequel s'appuie en partie la base de la pré-oculaire ; la cinquième,
pentagone à pans inégaux, monte obliquement du dessous de l'oeil
derrière cet organe, pour s'unir à la post-oculaire intérieure ; la sixième au
moins égale, est un trapèze isocèle quand son bord supérieur, toujours
moins long que l'opposé, n'est pas brisé sous un angle excessivement ouvert
; la septième difl'ère de la sixième en ce que son bord supérieur est plus